Guelfes et gibelins

Issu d'une famille florentine dont le nom — dans sa forme originale — est Alaghieri, celle-ci, favorable au parti guelfe (favorable au Pape), aurait joué un rôle important dans la vie de la cité. Son père, Alighiero di Bellincione, était un Guelfe blanc, mais il ne souffrit pas de la vengeance des gibelins, favorables à l'Empereur, après leur victoire à la bataille de Montaperti, et ce salut donna un certain prestige à la famille. La mère de Dante était Bella degli Abati ; Bella est un diminutif

dominance du saint empire germanique. b) Il y a un conflit au sein de tout le saint empire germanique entre les partisans du pape (= les guelfes) et les partisans de l’autorité de l’empereur (= les gibelins) Les guelfes sont en général des bourgeois, les gibelins sont en général des aristocrates. À Florence, c’est plutôt l’inverse. Cependant, l’auteur (bourgeois) est guelfes. c) Florence de berceau de la renaissance (la famille dominante est Medici. Cette famille cumule le pouvoir politique et économique

Genre : oeuvre poétique Auteur : Dante Alighieri (1265 Florence-1321 Ravennes) Homme politique florentin, il fait partie du groupe des Guelfes qui combattaient activement contre les Gibelins. Mais il choisit de se mettre à dos le pape Boniface VIII quand ce dernier revendique le vicariat impérial sur les communes toscanes (1300). Alors qu'il part pour parlementer à Rome, la ville est conquise et il est poursuivi et subi des procès. Suite à cela, il est exilé de Florence. Voyageant de ville en

possible, mais non certain, que le nom de la ville vienne de Mons Ottonis (reconstitué) du nom d'Otton II, comte de Vintimille de 1162-1200. La seigneurie de Menton est finalement acquise en 1346 par Charles Grimaldi, après des conflits entre Guelfes et Gibelins ayant intéressé toute la région, ayant abouti à la partition définitive du comté de Vintimille. Elle restera sous la suzeraineté de Monaco, moins peuplée, jusqu'en 1848, — soit pendant plus de cinq siècles, avec la seule parenthèse révolutionnaire

politique, cela se traduit par l'affrontement du roi de France Philippe le Bel et du pape Boniface VIII qui cherchent à affirmer la primauté absolue de leur pouvoir. En Italie, les luttes du Pape et de l'Empereur débouchent sur l'affrontement entre Guelfes et Gibelins du XIIe siècle au XIVe siècle. Ces tensions et conflits aboutissent dans un premier temps à l'installation de la papauté à Avignon puis en 1378, au Grand Schisme. Après 1378 , le pape à Avignon sont appelés le « antipape » Le protestantisme

familles rivales apparaît dès le XIVe siècle dans la Divine Comédie de Dante ( « Purgatoire », VI, 105), mais seuls les Montaigu sont de Vérone. Les Capulet sont de Brescia et la rivalité entre les deux maisons s’inscrit dans le conflit entre guelfes et gibelins sans qu’il soit fait mention d’aucune histoire d’amour. Une première ébauche de l’intrigue apparaît en 1476 dans la nouvelle Mariotto et Ganozza de Masuccio Salernitano, dont l’action se déroule à Sienne, dans une ambiance beaucoup moins

deux familles rivales apparaît dès le XIVe siècle dans la Divine Comédie de Dante (Purgatoire, VI, 105), mais seuls les Montaigu sont de Vérone. Les Capulet sont de Brescia et la rivalité entre les deux maisons s’inscrit dans le conflit entre guelfes et gibelins sans qu’il soit fait mention d’aucune histoire d’amour. Une première ébauche de l’intrigue apparaît en 1476 dans la nouvelle Mariotto et Ganozza de Masuccio Salernitano, dont l’action se déroule à Sienne, dans une ambiance beaucoup moins sombre

française de la Théologie naturelle du philosophe et théologien espagnol (catalan) Raymond Sebon, qu'il dédie à son père. Il montre son aversion pour la violence et pour les conflits fratricides entre catholiques et protestants (mais aussi entre Guelfes et Gibelins) qui avaient commencé à se massacrer conjointement à l'apparition de la Renaissance, décevant l'espoir que les humanistes avaient fondé sur elle. Pour Montaigne, il faut éviter la réduction de la complexité à l'opposition binaire, à l'obligation

connaît le début de son essor économique et artistique qui durera jusqu’au XVIème siècle. Au niveau politico-religieux, la ville est divisée en deux factions : les Guelfes qui soutiennent la papauté et les Gibelins qui soutiennent l’empereur. Un conflit naît entre ces deux groupes et en avril 1267 les Guelfes chassent définitivement les Gibelins de la ville. C’est ainsi qu’au XIIIème siècle, l’intégralité de la population se convertie au christianisme. Dès lors, quelle place tient l’Église et le christianisme

cités d’Italie du Nord : toutes les villes d’Italie du Nord sont autonomes, mais sont enfoncées dans des querelles, souvent déclenchées pour un rien. L’exemple le plus flagrant nous est fourni par Florence avec le conflit qui opposa le parti guelfe au parti gibelin, le premier défenseur du pape, le deuxième défenseur de l’empereur. Ceci montre à quel point les cités sont enfoncées dans l’anarchie. Le principe monisme étatique et son objectif Marsile de Padoue souhaite voir l’empereur cumuler à