Guérilla irakienne

prêtres adeptes de la « Théologie de la Libération », aux méthodes d’analyse marxistes, et bientôt condamnée par Rome b) la « subversion communiste » s’organise autour de plusieurs pôles. 1. Cuba. ® Les tentatives de multiplication de foyer de guérilla soutenues par Cuba et Che Guevara au Venezuela, en Colombie et au Prou échouent finalement du fait § De l’efficacité de la répression, § De la passivité paysanne, § Du légalisme de la plupart des communistes latino-américains

conflits dérivés : Le Japon est sous domination américaine. La Grèce connait une guerre civile. La monarchie est restaurée par les Anglais mais en 1947 la grande Bretagne annonce aux USA son impossibilité de se maintenir en Grèce où règne une guérilla communiste. Les américains sont comme appelés à l'aide puisqu'ils chaponnent l'Europe de l'Ouest et ont les moyens d'agir. En Allemagne, la situation est aussi tendue. Berlin cristallise les tensions entre l'Est et l'Ouest. Les américains y jouent

d’une reconnaissance d’Israël par ses voisins. Yasser Arafat, chef du FATAH, profite de la défaite des États arabes pour prendre son autonomie. Il prend la direction de L’Organisation de Libération de la Palestine (OLP) et il lance des opérations de guérilla contre Israël depuis la Jordanie. En Septembre 1970 ("Septembre Noir"), les combattants palestiniens sont chassés de Jordanie et ils s’installent au Liban où la guerre civile approche. Les Palestiniens se lancent dans le terrorisme (prise d’otages

l’ont montré les « printemps arabes » de 2011 avec la chute des dictatures de Ben Ali en Tunisie, de Moubarak en Egypte et de Kadhafi en Libye, ou encore la guerre civile actuelle en Syrie qui a déjà fait sans doute 70 000 morts, la guerre civile irakienne entre 2006 et 2008 qui avait-elle même succédé à l’intervention américano-britannique de 2003 et à la chute du régime de Saddam Hussein. Il faut bien sûr ajouter l’interminable conflit israélo-palestinien qui dure depuis les années 1920. On peut

En Grèce : l’opposition de maquis communistes au gouvernement royaliste légal d’Athènes reste forte. - le gouvernement royaliste est soutenu militairement par 400 000 britanniques ainsi que sur le plan militaire et financier - la guérilla communiste est soutenue par Bulgarie + Yougoslavie + Albanie - les Britanniques continuent à occuper l’Egypte + Chypre +l’Irak + la Transjordanie + la Palestine : - le 24 février 1947 est annoncé le retrait britannique de Grèce

militaires en 1961. Johnson prétexte l'incident du golfe du Tonkin, en août 1964, pour intervenir massivement au Vietnam. Les effectifs américains atteignent 543 000 hommes en 1968. Malgré sa puissance, les USA s'enlisent dans une guerre mêlant guérilla et grandes batailles. Le Vietcong déclenche l'offensive du Têt le 31 janvier 1968 (attaques de plus de cent villes et bases militaires). Les Américains repoussent l’offensive, mais celle-ci 4 Thème 2 : la guerre au XXe siècle De la Guerre

peut décider d’interner certains civils dans des camps d’internement. Cette mesure est généralement prise en territoire occupé, mais il est arrivé qu’elle concerne des civils ennemis sur le territoire national; ce fut le cas par exemple des civils irakiens internés par les Britanniques pendant la guerre du Golfe. Les internés sont traités, dans les grandes lignes, comme des prisonniers de guerre. L’internement représente une restriction considérable des libertés individuelles. La mesure n’est autorisée

classiques telles que : c • l’envoi de conseillers militaires (par exemple au Viêt Nam dès 1955) : p • le soutien logistique à des États (la France pendant la guerre d'Indochine en 1951-1954 ou Israël pendant la guerre du Kippour en 1973) ou à des guérillas (les moudjahidines afghans de 1979 à 1989, les Contras au Nicaragua, ou l’UNITA en Angola) : p • l’organisation de coups d’État par la CIA (Syrie 1949, Iran 1953, Guatemala 1954 et Chili 1973) : p 42 Avec quatre exceptions : c Cuba (fermée en 1961

des guerres de l'Amérique. Il a plutôt laissé entendre que les Etats-Unis devaient trouver de nouveaux moyens plus efficaces et moins coûteux de les mener, sans avoir à déployer des dizaines de milliers de fantassins et de Marines dans les villages Irakiens et Afghans. C’est pourquoi, dans son intérêt, l’Amérique souhaite se retirer peu à peu, d’ailleurs les Etats de la coalition préparent leur départ de façon non coordonnées en respectant des impératifs liés à leur propre calendrier. L’objectif

d’intervention dans la crise qui secoue le Golfe Persique à partir du mois d’août 1990. Le 2 août 1990, l'invasion du Koweït par l'Irak de Saddam Hussein incite le gouvernement américain à intervenir pour donner un coup d'arrêt aux ambitions irakiennes qui menacent les monarchies pétrolières du Golfe, leurs alliées, et pour établir un équilibre à leur avantage dans cette région du monde. Le 17 janvier 1991, les troupes de la coalition passent à l'offensive avec l'opération « Tempête du Désert