Guerre Fatalité

maniere suivante : Le roman, la poésie, la littérature d'idées ou même la comédie peuvent ils avoir recours au registre tragique qui exprime la fatalité pour produire pitié et horreur ? la tragédie utilise t'elle d'autre registres ? Registre : tonalité, ressentit traduit par le texte, atmosphere qui se degage du texte. Traquique : Destion, fatalite, divinité. / Pitié, terreur. / Mort, passion. jcndshufiurh cniehr i r"ud jyueh" jueban ieur kziéj cjzse iueb kieb se cjuzb xuzge ,iaeb

Colle de philo « les guerres sont-elles une fatalité ? »D’après Proudhon « La guerre est inhérente et doit durer autant qu’elle : elle fait partie de sa morale ». Cette formule du philosophe met en avant l’idée que la guerre ne peut être évitée et qu’elle doit avoir lieue. D’un côté ce qui peut nous amener à penser qu’une guerre est vue comme une fatalité est parce que c’est une réalité humaine, les hommes créent la guerre, et souvent la guerre fait partie entre autre de nos sociétés, permettant

La 1ere Guerre mondiale est l’évènement marquant du début du XXème siècle. Commencée en 1914 pour s’achever en 1918, cette guerre devait durer peu de temps, quelques mois seulement, car on avait conscience de la puissance meurtrière des nouvelles armes. Au total, jusqu’en 1918, elles vont vomir la mort : plus de 20 millions de morts dans le deux camps sont à déplorer et plus de 21 millions de blessés . Les bélligérants de cette tragédie sont nombreux : France, Russie, Royaume-Uni, Serbie, Italie

des autres a sur la société. JP Sartre, orphelin de père et emprisonné pendant un an durant la 2ième guerre mondiale a, de par son vécu, assisté aux nombreuses injustices liées à l’occupation allemande. La sousmission d’un peuple, la faiblesse et lâcheté des collaborateurs, l’importance du combat contre l’injustice à savoir la résistance la personnellement touché. Les horreurs de la guerre ont créé une réelle remise en question des mœurs de la société. De plus, beaucoup d’éléments nouveaux sont

I). La Guerre vue par les optimistes : ironie au burlesque A. La Guerre, 1 Spectacle magnifique *frappé par côté spectacle : l.27 « le théâtre de la guerre » *champ lexical musique : instrument de la gloire l.2,3=> canons = instrument : + son mais – coté meurtrier=> Guerre = épique * sentiment spectacle bien ordonné : connecteur temporel=> moquerie stratégie : art de la guerre * Te deum : + sacralité guerre => royalisme avec superlatif : beauté guerre B. La Guerre, Un bienfait rationnel

Article Paix La guerre est un fruit de la dépravation des hommes ; c'est une maladie convulsive et violente du corps politique ; il n'est en santé, c'est-à-dire dans son état naturel, que lorsqu'il jouit de la paix ; c'est elle qui donne de la vigueur aux empires ; elle maintient l'ordre parmi les citoyens ; elle laisse aux lois la force qui leur est nécessaire ; elle favorise la population, l'agriculture et le commerce ; en un mot, elle procure au peuple le bonheur qui est le but de toute société

il rédigea certains articles de l’Encyclopédie . Ce qui frappe dans l’article « Paix » qui décrit, en réalité, presque exclusivement la guerre, c’est la violence des critiques contre ce « carnage inutile » résultant des « passions aveugles » des princes. 1.1: 5. 10. 15. 20. 25. 30. 35. La guerre est un fruit de la dépravation des hommes ; c'est une maladie convulsive et violente du corps politique ; il n'est en santé, c'est-à-dire

Antigone est tragédie de Sophocle et sœur de Polynice. Femme de Thèbes, elle devait du civisme à la tyrannie de Créon, son oncle et tyran armé de son frère Étéocle. La guerre fut, civile parce que l’ennemi sans pitié n’allait pas sans Polynice. Concentrée en combat des deux frères, la guerre civile reçut le point final d’un double fratricide. Au seul Étéocle, la loi de Créon laissa droit aux rites faits de larmes et de terre. Ismène, sœur d’Antigone, plia pour vivre. Antigone, penchée sur Polynice

arrêtée dans sa course pour le voir. Dessin de Marie tenant la lettre de Steph comme allonger sur du béton. Derrière elle un bâtiment en ruine : hôpital. PERSONNAGES : Marie : 30 ans, personnage principal du récit, victime innocente de la guerre. Amoureuse de Steph qu’elle a rencontré à ses 10 ans. Originaire d’un pays méditerranéen tout comme lui avec qui elle a émigré en Europe. Se fait touché par une balle lorsqu’elle va le rejoindre Heureuse et pleine d’espoir en rejoignant Steph elle

Thibault de Roger Martin du Gard (1936) Parution entre 1922 et 1940, 9 volume. Le passage est tiré de la 7ème partie, L’été 14. 1. Introduction Les deux frères Antoine et Jacques Thibault se retrouvent à quelques jours de la déclaration de guerre. C’est l’occasion d’un débat où les deux frères pourtant liés, développent des idées complètement opposés : Jacques est un pacifiste convaincu et Antoine préconise l’obéissance aux autorités quelles que soient les réserves de la conscience. - C’est