Gueule de bois

voilà ! Te voilà ! Ne t’inquiète pas ! On ne voit que toi ! » tel le miroir de sa vie. Généralement, Sarah ferme ses yeux et s’arme de courage pour courir jusqu’à la porte de sa demeure. Elle était arrivée devant cette porte en bois massif avec une tête d’animal dont la gueule était ouverte pour qu’on y puisse frapper. D’habitude elle ouvrit la porte, mais ce matin là, elle entendit la voix de sa sœur derrière elle, ce qui la rassura, elle se retourna mais très vite elle regretta ce geste. « Voici

époque que née la chirurgie plastique de réparation à cause des défigurés de la guerre. C’est également à cette époque que née la médecine psychiatrique à cause des blessures mentale des soldats, des chocs posttraumatiques. Les estropiés appelés les gueules cassés sont la réalité de la rue à cette époque d’après-guerre. Les allemands et les français ne veulent pas de deuxième guerre. En pensant qu’après ce massacre il ne pourrait pas y avoir une autre guerre on a appelé la seconde guerre mondial « la

Otto dix a utilisé des couleurs vives (robe rose de la dame traversant la rue, bleu de la veste du personnage sur la planche à roulette) et ocres (le mendiant, la petite fille…). Otto dix démontre dans cette œuvre les conséquences de la guerre(les Gueules cassé), le climat politique et social de l’Allemagne après la guerre. Aussi montre la propagande antisémitisme (le journal sous le personnage sur la planche a roulette, ce journal dit «  Juden Raus !» signifiant « les juifs dehors). Au premier plan

banc en bois, avec cette feuille dans les mains, à la relire des centaines fois. On dirait l'écriture d'un ange, pourtant, à cet instant, je te considère comme un démon. Un diable à me faire poireauter comme une idiote. On ne cesse de me regarder, se demandant bien pourquoi une pauvre fille comme moi se tient là, à pleurer, une clope entre les lèvres toutes les cinq minutes pour évacuer son stress et ses doutes. Les gens rient et pleurent. J'ai envie de les assassiner, de leur gueuler d'arrêter

Les portes coulissantes du Puma sont grandes ouvertes et nous ne sommes séparés du vide qui semble nous appeler que par une sangle tendue en travers de l'ouverture. Mon siège est le premier et donne sur l'ouverture. Je prends tout le vent dans la gueule mais grâce à mes lunettes, je peux finalement ouvrir les yeux et bien profiter de la vue qui s'offre à moi. A ma gauche se trouvent quatre de mes camarades et à ma droite entre les deux portes, le matériel et nos sacs. Devant à gauche se trouve le

La Guerre (Otto DIX) I. Présentation de l’œuvre et de l’artiste -La Guerre est un Tryptique avec prédelle peint à la tempera sur bois. Il est composé de quatre panneaux, chacun mesurant 204 x 102 cm sauf le panneau central qui mesure 204 x 204 cm. Peint par Otto DIX entre 1929 et 1932, l’œuvre présente la grande guerre (1914-1918).Ce tableau est conservé actuellement à la galerie ’’Gemäldegalderie Neue Meister’’ de Dresde en Allemagne. -Wilhelm Heinrich Otto Dix est né en 1891. C’est un peintre

savane. L'un des deux est castré. Lequel ? - Le père, car l'heureux père barrit sans trique. Qu'est-ce qu'un ours polaire ? - Un ours cartésien qui a changé de coordonnées. Cosinus et Exponentielle font la fête. Cosinus boit, fume et a une gueule de bois comme jamais le lendemain. Quand Exponentielle l'interroge sur son comportement, Cosinus répond : "Désolé, vieux, mais je ne connais pas mes limites !" C'est l'histoire de x² qui se promène dans la forêt. Quand il ressort, il s'est transformé

accentuée, isolée, du pape sur le tableau: celle ci est appronfondie ici par la zone noire. la bouche ouverte pour crier rapelle le cri de la nourrice dans le film de Sergueï Eisenstein le cuirassé Potemkine. Mais ce cri fait aussi penser à La gueule de l’enfer dans le Bois sacré de Bomarzo, on peut y voir un cri qui serai prêt à nous briser les tympans tout comme celui du pape. Ensuite, la silhouette isolée du pape évoque un symbole pessimiste de l'homme angoissé,perdu, face aux horreurs de son époque.

Crois-tu, alors, qu'on a le temps de faire le raffiné, de savoir s'il faut dire « oui » ou « non », de se demander s'il ne faudra pas payer trop cher un jour, et si on pourra encore être un homme après ? On prend le bout de bois, on redresse devant la montagne d'eau, on gueule un ordre et on tire dans le tas, sur le premier qui s'avance. Dans le tas ! Cela n'a pas de nom. C'est comme la vague qui vient de s'abattre sur le pont devant vous; le vent qui vous gifle, et la chose qui tombe devant le groupe

Monsieur Que chez ces gens-là On n´vit pas, Monsieur Syncope On n´vit pas, on triche Et puis, il y a les autres La mère qui ne dit rien Ou bien n´importe quoi Et du soir au matin Sous sa belle gueule d´apôtre Et dans son cadre en bois Y a la moustache du père Qui est mort d´une glissade Et qui r´garde son troupeau Métaphore Bouffer la soupe froide Et ça fait des grands slurp Et ça fait des grands slurp Et puis y a la toute vieille Qu´en