Guinguette

Mansarde : pièce aménagée dans un comble en principe sous toit brisé, avec un mur incliné et plafond bas. Bassinoire : bassin de cuivre à couvercle perforé et à long manche qui, rempli de braise, servait autrefois à chauffer les lits. P 81 Guinguettes : café de banlieue où l’on va boire, manger et danser les jours de fête. Canne : rotin filé propre au cannage des sièges. Paroisse : division territoriale ecclésiastique, subdivision du diocèse, confiée en titre à un curé. Voltigeur : soldat

travaux du Dr Villermé durant la monarchie de Juillet ; ce dernier déclarait que « l’ivrognerie est tellement leur vice [aux ouvriers], que j’ai vu, en juillet 1837, au plus fort de la crise d’alors, un assez grand nombre d’hommes ivres dans les guinguettes et les cabarets des faubourgs de la ville où beaucoup entraînaient avec eux leurs femmes et leurs enfants » L’alcool est donc représenté comme un danger social, propice au développement des maladies mentales et autres pathologies néfastes dont

La misère, à dix ans, tout chétif m'a jeté. Depuis, j'ai lambrissé le boudoir que parfume L'haleine de la volupté, Blanchi la cathédrale où l'encens divin fume, La guinguette où l'on boit le vin et la gaîté. Dans les maisons de jeu, dans ces antres infâmes Où le vice effronté prend le masque des femmes, Sur les toits, dans la cave, on me fait travailler.

Classiques & Cie collège GUIDE PEDAGOGIQUE Aux champs et autres nouvelles réalistes, Maupassant GUIDE PEDAGOGIQUE par Benoît Dauge PRESENTATION DE L’OUVRAGE La structure de l’ouvrage Une édition « spécial cinéma » DECOUVRIR LES NOUVELLES Les lectures actives  Lecture active 1 : Aux champs  Lecture active 2 : Le Vieux  Lecture active 3 : Toine  Lecture active 4 : Le Père Amable  Lecture active 5 : En famille  Lecture active 6 : Deux amis POUR ALLER PLUS LOIN :

Essarts », un coin de campagne où les oiseaux, les vaches cohabitaient mais pas les écureuils. Sur la place qu'occupe actuellement les Galeries Lafayette arrivaient des bohémiens en roulotte tirée par des chevaux. Le quartier était célèbre par sa guinguette et les Lyonnais venaient s'y divertir. La fête du quartier était organisée par un bar restaurant avec un ou deux manèges en juin. Dans les années 1950-1960, il fallait loger beaucoup de personnes. Une famille connue des environs Mathieu Laroche

Raphaël quittant la Famille de Tobie, Rembrandt. Auguste Renoir Un paysage frais qu’Avril acidule, Tel autre tout brûlant d’été, Et ce bord de rivière où luit au crépuscule La feuille du saule argenté ; La ville, les passants, la rue et la guinguette, Le bal, la loge, son velours Où, du coude, s’appuie en haussant la lorgnette Quelque dame en mondains atours ; Des visages d’enfants, des visages de femmes En leur jeunesse qui sourit, La main au piano faisant vibrer les gammes ; Sur un

accueillir d’autres artistes indépendants/compagnies de passage Possibilité de développer des activités annexes : Accueil et animation d’ateliers de team-building pour les séminaires d’entreprises Soirées le samedi soir (marché porteur des guinguettes) Mariages Partenariat avec les écoles : faire leurs heures d’EPS au chapiteau Partenariat avec des associations de personnes handicapées Accueillir des spectacles de 2 roues, concerts… Accueillir des dresseurs canins locaux pour qu’ils viennent

de "Grand Robinson". Celui-ci fut rebaptisé "le Vrai Arbre" en 1888. La mode est lancée et le tout-Paris se presse les dimanches à Robinson pour fréquenter les guinguettes construites entre la deuxième moitié du XIXeme et le début du XXeme siècle Photo 5 : « Le Vrai Arbre » Photo 6: « Le Grand Arbre » Photos: vues anciennes des guinguettes de la cité-jardin du Plessis-Robinson [réf.14] Cet aspect nous amène à aborder un autre grand thème de la cité-jardin, celui de l’aménagement de l’espace et notamment

épicerie fine (page 353), Nana travaille chez une fleuriste employant plusieurs ouvrières, page 402), un marchand de boutons est en position d'entretenir des filles (pages 410 et suivantes). Les établissements de plaisir se multiplient : abondance de guinguettes et de bals, apparition des cafés-concerts (pages 303-305). Une gaieté assez vulgaire et une débauche sous plusieurs formes s'y déploient (pages 430-433). Mais le développement du machinisme est ressenti par Goujet comme une menace obsédante («Un

Blois est en cours. Il s’agit de former de jeunes stagiaires de 11 à 18 ans à la prise de son, et à la vidéo, ainsi qu’aux montages via des logiciels. Une fois formés, ces stagiaires animeront les plateaux radio du festival « Mix’Terre » et de la guinguette durant le festival « tous sur le pont » de la ville de Blois. Ils seront chargés sur le plateau radio et sur le festival, de différentes missions, comme interviewer des artistes, faire des prises de sons et de vidéos ainsi que réaliser les montages