Guy Di Méo

Textes analysés : - Di Méo Guy, “Femmes, sexe, genre : Quelle approche géographique ?”, Espaces et sociétés, 2012/2 n°150, p.149-163. - « L’usage de la ville par les femmes : Evolution des modes de vie en ville », Agence d’urbanisme a’urba, septembre 2011 - Davies Cristyn, « Queering the space of the Public Toilet », Queer Space : Centers and Peripheries, UTS 2007 Genre et Espace : Vers une Géographie Sociale ? Véritable

Ces territorialités qui se dessinent, La Tour d’Aigues : Éd. de l’Aube / DATAR. • B. Debarbieux, 2003, « Territoire » in Dictionnaire de la géographie et de l’espace des sociétés, J. Lévy et M. Lussault (eds.), Paris : Belin, 910-912. • G. Di Meo, 1996, Les territoires du quotidien, Paris : L’Harmattan. • J.-P Ferrier, 2003, « Territoire » in Dictionnaire de la géographie et de l’espace des sociétés, J. Lévy et M. Lussault (eds.), Paris : Belin, 912-917. • J.-P Ferrier, 1984, Antée

préhension et la notion de procès, nous aborderons l’analyse systématique des étapes de la concrescence, avec une schématisation spécifique à la présente thèse, en vue de résoudre la question de « la dichotomie entre le matériel et l’idéel » posée par Guy Di Méo et Pascal Buléon. 8.A. Introduction : Pour l’étude de la concrescence et sa schématisation, nous nous sommes appuyé sur les ouvrages suivants, classés par ordre d’importance : ! ! ! ! ! 1. Procès et Réalité (PR) de Whitehead, Gallimard, 1995

La ville européenne. mutations des fonctions et recomposition des structures' Guy DI MEO* Les villes d'Europe enregistrent une désindustrialisation au profit de leurs périphéries, et une nouvelle industrialisation basée sur les hautes technologies. Les fonctions tertiaires migrent aussi, mais sur des distances plus courtes, sans que les villes se dévitalisent. Cela remet en cause le modèle centre-périphérie et souligne la segmentation de l'espace urbain. RESUME " CENTRE-PERIPHERIE

humaine. Questions et enjeux du monde contemporain, Paris, Armand Colin, 347 p. [1e édition 2002]. CLAVAL Paul, (2003), Géographie culturelle. Une nouvelle approche des sociétés et des milieux, Paris, A. Colin, coll. « U. géographie », 287 p. Di MEO Guy, (1998), Géographie sociale et territoires, Paris, Nathan, coll. « Fac Géographie », 303 p. DORY D., (1993), « La géographie des religions. Contexte et perspectives », Social Compass : International Review of Sociology of Religion, vol.40, n°2

Frontière, une ligne ou une surface ? - "Le territoire est une appropriation à la fois économique, idéologique et politique (sociale, donc) de l'espace, par des groupes qui se donnent une représentation particulière d'eux mêmes, de leur histoire." Guy Di Meo - Terre, territoire, appartenance, avec Céline Boyer, Empreintes, 2010. - Mickael Drucks, Carte n'est pas le territoire, mais ses contours sont ses frontières. - Territoire représenté / Territoire investi par l'artiste. - Mise en vue

consommation (cette étude est applicable dans les villes moyennes et villages : Les Joutes Musicales à Correns, les Rencontres Photographiques à Arles…). Les évènements culturels sont donc à l’origine de ce que l’on appelle externalités positives. Guy Di Méo ajoute que l’évènement culturel festif est « un espace-temps de la vie sociale susceptible de favoriser la régulation et l’innovation des rapports entre les hommes » et Claval, quant à lui, (1995) montre une réelle « fonction régulatrice des systèmes

Mais le processus passe également par une valorisation de l’objet patrimonial et par une conservation. Dans son article scientifique, Processus de patrimonialisation et construction des territoires (2008) , Guy Di Meo nous donne les différentes étapes du processus de patrimonialisation : La prise de conscience patrimonial est selon lui la première étape au processus de patrimonialisation. Cette prise de conscience est souvent dû au fait d’une crise social

touristes. La nécessité d’accéder à des lieux sans homophobie et fréquentés par d’autres homosexuels est au fondement du tourisme gay. b) Une émancipation homosexuelle où le corps est utilisé pour réagir à l’espace : Guy Di Méo dans son article « Subjectivité, socialité, spatialité : le corps, cet impensé de la géographie » argumente en faveur de la prise en compte du corps humain comme objet géographique. L’auteur replace ici le corps dans une conception personnelle de

Encyclopédie de géographie, A. Bailly, R. Ferras et D. Pumain (dir.) « Le territoire peut être défini comme la portion de la surface terrestre, appropriée par un groupe social pour assurer sa reproduction et la satisfaction de ses besoins vitaux. » G. Di Méo (2003), « Territoires, Etats, nations et aménagement » in Les Fondamentaux de la géographie, A. Ciattoni, Y. Veyret (dir.) « Portion d’espace contrôlée et appropriée, y compris symboliquement, par une société donnée. Le territoire national est ainsi