Guy Mollet

Celui-ci refuse et propose Guy Mollet, secrétaire général de la SFIO. 25 janvier : sortie de la Dauphine par Renault. Février[modifier | modifier le code] Du 1er au 28 février : vague de froid exceptionnelle. Les températures descendent sous les -20 °C dans une grande partie de la France. De gros dégâts se produisent dans les cultures. 1er février : début du gouvernement Guy Mollet, le plus long de la IVe République (prend fin le 21 mai 1957). 6 février : Guy Mollet cède devant une manifestation

sociales nécessaires (une autre façon, d’ailleurs, de masquer le caractère national de l’insurrection qui commence). Mais c’est sur le « second » Mitterrand que le livre apportera le plus d’informations, en tout cas au lecteur profane. Début 1956, Guy Mollet, qui dirige le nouveau gouvernement de Front républicain, confie à Mitterrand la direction de la justice. La simple association des termes « justice » et « Algérie », alors, donne le frisson. C’est ce gouvernement qui va assumer la terrible responsabilité

impuissant face à la guerre d’Algérie La guerre d'Algérie a débuté en novembre 1954. Le 1er novembre 1954, le Front de Libération Nationale (FLN), mouvement partisan de l'indépendance de l'Algérie, déclenche l'insurrection. Le chef du gouvernement Guy Mollet renforce la politique de fermeté vis-à-vis du nationalisme algérien. Pour renforcer la lutte contre les indépendantistes, le gouvernement décide l'envoi du contingent. En 1957, 900 000 soldats servent en Algérie. L'armée prend de plus en plus de

s’accentue. Le 1er février 1956, l’Assemblée investit le président du conseil désigné par René Coty : Guy Mollet (secrétaire général du SFIO ; co-leader du Front républicain avec PMD, Mitterrand). Parmi le programme du FR : la paix négociée avec l’Algérie. C’est dans cet optique que Mollet a été investit : pour régler le pb algérien ; pour lui la guerre est « imbécile et sans issue ». Le gouvernement Mollet va être le plus long de la IVème, pour JJ Chevalier c’est surtout parce que  sa chute est susceptible

apparentements dans la première partie de la formation). De plus, des problèmes conjoncturels alimentent la crise structurelle : la CED (voir TD n°1) et surtout l’Algérie. ème B/ La crise conjoncturelle : la guerre d’Algérie Le gouvernement de Guy Mollet (février 1956-mai 1957) est entraîné dans le processus d’engrenage des guerres coloniales et la logique militaire l’emporte, alors que la coalition victorieuse des élections de janvier 1956 aurait du s’engager dans un processus de paix. Les conséquences

désert du Sahara grâce à la découverte de pétrole. 16) Les appelés et rappelés du contingent sont officiellement chargés d'assurer le service d'ordre en Algérie. 17) Guy Mollet lance officiellement la France dans une opération militaire contre l'Egypte dans le but de récupérer le canal. Seulement la véritable ambition de Guy Mollet est d'éliminer Nacer. Cette opération donne alors lieu a un véritable fiasco politique et les troupes française sont alors rapatriées par les Etats-Unis et la Russie.

la Fédération Léo-Lagrange, mais reste syndiqué. Débuts en politique En 1966, il devient secrétaire général de la Section française de l'Internationale ouvrière (SFIO). Suite à la création du Parti socialiste, qui remplace la SFIO en 1969, Guy Mollet lui promet son soutien pour prendre la tête du nouveau parti en échange de la nomination d'un de ses proches au poste de numéro 2, mais Pierre Mauroy refuse et est battu d'une voix par Alain Savary lors du vote du comité directeur3. Au congrès d'Épinay

interne à la Tunisie ( discours de Carthage de juillet 1954 ). Après lui, Edgar Faure puis par Guy Mollet poursuivent cette politique qui aboutit en 1956 à l'indépendance de la Tunisie et du Maroc. II 1958-1962. A chaque Afrique son processus d indépendance. On observe deux modes de décolonisation. a) Un processus pacifique en Afrique Subsaharienne. Adoptée en 1956 sous le gouvernement Guy Mollet, la loi-cadre Deferre accorde une assez large autonomie aux territoires africains. Revenu au pouvoir

France et Guy Mollet * coalition gouvernementale soutient Edgar Faure * Commu isolés * UDCA (Union de Défense des Commercants et des Artisans) de Poujade. ce parti regroupe les mécontents de la situation. amalgame entre anti-parlementarisme, anti-capitalisme, nationalisme et xénophobie. Le Pen y milite. popularité dans le milieu rural. résultats: pas de majorité solide: toujours malaise du corps éléctoral. René Coty (Psdt Rép) nomme G Mollet =Psdt Conseil. - gouvernement G. Mollet (fév 56-mai

colonialistes et de ses soutiens politiques habituels anti-colonialistes. Il quitte alors la présidence du gouvernement en février 1955. Ministre d'État sans portefeuille du gouvernement Guy Mollet en 1956, il démissionne au bout de quelques mois en raison de son désaccord avec la politique du Cabinet Mollet menée en Algérie. Il vote contre l'investiture de Charles de Gaulle à la présidence du Conseil en juin 1958, puis abandonne tous ses mandats locaux après sa défaite aux élections législatives