Gynécologue

semaines peut être ajoutée avant le début du congé de maternité. Il est prescrit par un gynécologue ou un médecin généraliste Il doit résulter de la grossesse. Il s'adresse aux femmes enceintes connaissant un problème lors de la grossesse Le congé pathologique prénatal ne peut pas être reporté au cours de la période postnatale. Le congé pathologique postnatal Un arrêt de maladie peut être proposé par le gynécologue ou le médecin généraliste aux femmes après leur accouchement lorsque les suites de couches

et du fait générateur. L’interprétation et l'application juridique des articles 1382 et suivants corrélatifs ont une grande importance concernant l'arrêt de la Cour de Cassation Assemblée plénière du 28 novembre 2001. Dr. Y qui est un médecin gynécologue a suivi la grossesse de Mme X. Après un traitement médical il ne lui a pas communiqué les résultats d'un dosage de bêta HGC. Ces résultats corroborés par ceux de l’examen échographique révélant la discordance entre un diamètre bipariétal important

hystérotomie longitudinale peut hypothéquer les grossesses et césariennes futures. * RISQUES DE STÉRILITÉ Il est prouvé que 50 % des stérilités sont consécutives aux avortements provoqués. Par exemple en Hongrie, comme en Tchécoslovaquie, des gynécologues ont constaté que 1 à 2 % des femmes sont rendues stériles par l'avortement. Après un avortement même médicalisé, la conception peut devenir impossible par infection des trompes, adhérences utérines suite à des cicatrices laissées par le curetage

prendre ses médicaments, etc. Cette personne ne doit pasnécessairement être de la famille. Jusqu'à quand peut-on pratiquer l'avortement? Une femme ou une jeune fille qui désire interrompre sa grossesse doit consulter un médecin généraliste ou un gynécologue qui exerce dans un établissement qui pratique l’IVG et lui faire part de son intention d’avorter. L’avortement n’aura pas lieu lors de cette première visite. Il faut attendre six jours au moins après cette consultation afin de disposer d’un temps

d’infertilité/ de stérilité. Vous êtes médecin gynécologue, Mr et Mme essaient d’avoir un enfant depuis presque 2 ans. Vous devez leur prescrire des examens pour diagnostiquer un problème médical éventuel et leur expliquer certaines causes d’infertilité/ stérilité. Vous en profitez pour leur présenter quelles solutions existent en réponse à ces problèmes. Sujet 9 : L’assistance médicale à la procréation = PMA Vous êtes médecin gynécologue spécialisé dans un centre de procréation médicale

aider. Le bouche à oreille est également un moyen efficace de recueil.     De quoi ai-je besoin pour une consultation en radiologie interventionnelle ? Vous devez avoir eu une évaluation complète de vos fibromes utérins. Après consultation avec le gynécologue de votre choix, vous devez avoir réalisé une IRM pelvienne de moins de 6 mois. Egalement, il vous faut réaliser un Echo-Doppler artériel de l'artère radiale gauche, pour valider la voie d'abord radiale.   Si besoin, le centre d'Imagerie Médicale

agents du service hospitalier travaillent ensemble afin d’assurer des soins de qualité auprès de votre enfant. Ils sont là pour vous accompagner et vous guider durant tout votre séjour.  Chef de service de néonatologie Mme le Dr GOURRIER  Gynécologues obstétriciens Dr WIPFF – Dr LEFEVRE – Dr COHEN – Dr de BIEVRE Dr TIMBELY – Dr MOUHAMADI – Dr DENNO Dr ARSALANE – Dr MENEZES – Dr MOUMEN  Néonatologistes Dr GIRARD - Dr HARVEL - Dr KARAOUI - Dr BELHABRI Dr FRANZONE - Dr ANDRIAMANAMIRIJA -

personnelles, l’enfant à ce stade précis de leur vie… “Je reçois une à deux demandes par jour”, explique ce gynécologue. “S’il s’agit d’un couple marié, je fais mon maximum pour les convaincre du choix contraire, en les rassurant, en trouvant les mots. Souvent, ils changent d’avis”. Pour celles qui ne veulent pas renoncer à l’avortement, l’idéal est de les orienter vers un collègue de confiance, un gynécologue pratiquant en clinique ou en cabinet. Aucun nom, ni de médecin ni d’établissement, ne filtre, hormis

montrent combien la responsabilité de l’homme est déterminante. Toutefois, cela ne semble pas être compris par la plupart des populations qui continuent d’imputer souvent la responsabilité à la femme, comme le confirment certains spécialistes (gynécologue, sage femme, tradipraticien) interrogés au cours de notre enquête exploratoire. Selon eux, ce sont les femmes qui prennent toujours l’initiative de se faire consulter en cas d’absence de grossesse. Même s’il arrive que l’homme soit le responsable

clinique : M et Mme C, âgés respectivement de 28 et 27 ans, désirent un enfant. Leurs tentatives régulières au cours de la période de fécondabilité échouent systématiquement. Après 3 ans d’attente, le couple décide de consulter pour stérilité un gynécologue. Ce dernier procède à un interrogatoire pour connaitre les antécédents du couple. Mme C a contracté à l’âge de 21 ans une infection bactérienne à Chlamydia trachomatis. Cette infection a provoqué une salpingite. M. C précise qu’il a eu les