Géopolitique Guantanamo

concerné. La formule de gouvernement congressionnel a été avancée en 1884 par Woodrow WILSON. On parle de gouvernement congressionnel car à l’époque le président n’avait pas ce prestige qu’on lui connait aujourd’hui. On est dans un contexte lié à la géopolitique mondiale. A la fin du 19e le rôle du président est très faible. Les USA apparaissent comme un grand pays mais pas comme une grande puissance militaire (la France et la G-B). Donc on est dans un contexte dans lequel le président n’apparait pas encore

le conflit, augmente ses effectifs en Irak et sa participation à l'OTAN mais il obtient peu en échange : en effet, les américains ne font pas d'effort en ce qui concerne les dossiers chers à Blair (processus de paix en Israël, protocole de Kyoto, Guantanamo, droits de douanes...) ainsi Blair entretient sa réputation de soumission envers les États-Unis. Pourtant il a su se mettre en danger politiquement face à une opinion publique défavorable (les sondages ont plongé), des médias hostiles et des

causes du conflit. Les théories qui insistent sur les causes géographiques. Les théories qui insistent sur des causes économiques (théorie impérialste). Une théorie du choc des civilisations insiste sur des causes idéologiques. A) La géopolitique Le terme géopolitique a été inventé par un théoricien Suédois Kjellen (au 19ème Siècle), mais la discipline elle-même a été développée par des auteurs allemands ainsi que par un auteur britannique Mac Kinder au début du 20ème. Cette approche part du principe

discours de guerre froide (bataille bien/mal). Cet esprit de croisade peut susciter deux types d’interrogation. Les Etats-Unis sont-ils véritablement en guerre ? Pourquoi cette opposition manichéenne entre le bien et le mal, cette vision binaire de la géopolitique mondiale ? D’abord en raison de la grille de lecture de la guerre froide. L’argument républicain selon lequel les démocrates seraient faibles face aux dangers qui menaceraient les Etats-Unis, incapables d’assurer la sécurité nationale, remonte

USA d'installer trois bases aériennes en Afghanistan, quatre autres dans le reste de l'Asie centrale, notamment en Ouzbékistan et un important dispositif terrestre dans le Caucase. Ainsi, l'équipée américaine en Afghanistan a reconfiguré la carte géopolitique dans l'Asie centrale. Des pays importants dans l'équilibre régional sont désormais à la portée des forces américaines. L'Iran se voit ainsi chauffé sur le flanc est. La Chine est en vue via les provinces de l'Ouest. Les anciennes républiques soviétiques

adversaires des Etats-Unis et l'importance du bloc islamo-confuséen, et où le paradigme de l'après guerre froide devenait le choc des civilisations, Brzezinski faisait paraître « The grand chessboard. » Cet ouvrage est un examen sérieux de la géopolitique mondiale, et trace les objectifs stratégiques des Etats-Unis pour les prochaines décennies. Les Etats-Unis doivent veiller au respect légitime de la primauté américaine sur le monde , car ses objectifs sont « généreux ». Ainsi, dans cette logique

notion de jeu à somme nulle / « zero sum game »). A ce stade, il convient de rappeler que le réalisme structurel est une théorie qui met en évidence l’existence de contraintes (ou leur absence), les incitants qui sont inhérents à l’environnement géopolitique et qui façonnent les décisions des responsables politiques et le comportement des Etats. Mais « façonner » ne veut pas dire « déterminer » et, en ce sens, la théorie laisse une marge de manœuvre et une certaine liberté d’action aux hommes politiques

capables de jouer sur de multiples registres: l’opérationnalité, la revendication, la fonction tribunitienne et d’analyses géopolitiques des conflits internationaux ou infranationaux. Elles sont seules en mesure de «géopolitiser» leurs actions, les insérer dans une réflexion globale et, à plus long terme, sur l’avenir du monde, les replacer dans le cadre des rapports de force géopolitiques, d’être présentes au G8 lorsque l’on discute de développement durable ou de la dette des pays de Tiers Monde. Pour

choisit en général de mettre l’Atlantique au centre. Planisphère de Mercator. L’approche géopolitique On peut appréhender le monde par une lecture géopolitique, c’est-à-dire fondée sur les rapports de force entre les différentes puissances. Pour cartographier les puissances, il faut définir un certain nombre de critères. Le premier consiste à évaluer le hard power de chacun des grands acteurs géopolitiques à toutes les échelles. À l’échelle mondiale,un des critères est la possession de l'arme nucléaire

d’auxiliaire à la diplomatie classique (concert chinois au Vatican) • d’instrument à la guerre économique (influence du cinéma américain pour imposer l’American way of life dans le monde et augmenter leurs débouchés commerciaux. • d’instrument de géopolitique : maintenir la présence et l’image d’un pays dans le monde (exportation du Louvre) Intelligence culturelle : pour les acteurs de la culture, l’intelligence culturelle se définit comme l’utilisation des outils de l’intelligence économique au service