Habitat et Humanisme

religious themes. These pictures recall the nearly contemporary dramas of Shakespeare in the universality of their vision, their concern to generalize human life by characterizing its immense variety. The resemblance is heightened by the fact that the humanism of both artists serves often as a means to interpret, comprehend, and even learn from the exotic. Shakespeare used the variety, brilliance, and wit of Elizabethan life as a seedbed of analogy for his penetration of ancient Rome, contemporary Venice

phénomène criminel relève de la prophylaxie sociale. A côté de causes individuelles de délinquance : tares héréditaires, anomalies mentales, alcoolisme, maladies vénériennes, s’ajoutent des causes sociales déterminantes : famille, misère, chômage, habitat ». 531 D’ailleurs, quelques policiers relativisent le fait criminel au sens propre, pour mieux mettre l’accent sur la prévention et le civisme. En effet, « Dieu merci, le crime même à notre époque, demeure marginal : on a arrêté, en 1996, 804.655

mieux sentis : au point d’avoir parfois, chez certains poètes en marge du monde clérical, comme le fameux Archipoeta rhénan, provoqué l’éclosion d’une sorte de paganisme moral, for t étranger à la période précédente. Mais le nouvel humanisme était plus généralement un humanisme chrétien. « Nous sommes des nains juchés sur les épaules de géants » : cette formule de Bernard de Chartres, souvent répétée, illustre l’étendue de la dette q ue les plus graves esprits de l’époque se reconnaissaient envers la

de certains milieux légitiment la participation à certains événements et déconsidèrent la présence à certains lieux, tout autant qu’elles reconnaissent ou disqualifient l’appel à certaines motivations : en outre les contraintes de l’environnement, habitat, niveau de vie, etc., sont des obstacles majeurs. Ce concept d’intérêt culturel de base renvoie à un aspect plus profond et plus difficile à cerner, soit une sorte de culture apprise propre aux divers milieux sociaux : les jeunes, les personnes âgées

Gervaise se laisse donc gagner par la crasse. Alors qu’elle était la mère de tout le quartier, qui nettoyait le linge de tous, elle perd son autonomie et devient sale comme une enfant. De même, cette régression se manifeste par le rétrécissement de son habitat. Gervaise avait des rêves, elle avait la faculté de les penser pour pouvoir les réaliser. Elle a pu mettre sur pied son projet de boutique en sachant s’appuyer sur des auxiliaires solides : la famille Goujet. Paradoxalement, elle renonce à cette faculté