Habitation Sucrière

Les habitations de la Rome antique permettaient de loger les différents ordres de la société de la plus grande ville du monde, à l'apogée de l'empire romain, devenue une société très hiérarchisée. Les Latins, dans l'Italie préromaine vivaient dans des huttes rondes ou elliptiques, surmontées d'un toit en chaume conique. Elles s'ouvraient par des portes carrées et disposaient de fenêtres à un ou deux battants. Elles étaient disposées sur un socle qui les isolaient de l'humidité. Sous l'influence

Une fontaine en bas de chaque immeuble permet de s’approvisionner en eau. Pendant l’empire, les insulae se multiplient. L’hygiène et l’état des bâtiments déplorables et les incendies et les écroulements y sont fréquents. Domus : Les premières habitations romaines sont des huttes rondes, faite de torchis, avec un toit de chaume ou de branchage. Elles n'ont qu'une porte et pas de fenêtre. Les étrusqueapprennent aus romains à construire de véritables maisons rectangulaires (domus). Au centre de

appelée atrium, et possedait à l' arriere une toute petite cour, ou à une époque plus tardive, un grand jardin. Plusieurs maisons de ce type étaient construites les unes à côté des autres pour formé des rues. Certaines maisons comportaient des habitations plus modestes et des boutiques. Ces dernières occupaient une pièce au rez-de-chaussée, ouverte sur la rue et fermée de l' autre de côté. A pompéi et ailleurs, on peut imaginer commentcertaines maisons ont éré agrandies à mesure que croissait la

1.Les maisons pompéiennes traditionnelles A. présentation générale de la maison pompéienne La maison pompéienne est généralement bâtie en briques et en tuf, une pierre volcanique. Elle semblait être consacrée à l’ agrément et au loisir. Ornée de fresques, de stucs et de mosaïques aux murs et aux sols, bien évidemment sa typologie était différente selon la condition sociale du locataire. Le goût du luxe poussait les riches à agrandir leurs maisons, telle la maison du Faune avec ses deux atrium

caractéristiques de l’insula On distingue trois types d’insulae où la différence se fait au rez-de-chaussée : Le plus courant est caractérisé par la présence d’une boutique au rez-de-chaussée de l’immeuble. Il existe un style d’insula qui comporte une habitation au rez-de-chaussée qui est plus vaste que les étages. Certaines insulae possèdent un portique au rez-de-chaussée permettant d’ombrager les rues alentour et d’installer des terrasses au-dessus. L’insula est très peu confortable : les fenêtres ne

représentent 87% des logements à St Denis. Les logements sociaux sont des logements appartenant pour la grande majorité à des organismes HLM (habitation à loyer modéré). Ce sont des bailleurs soumis à une législation stricte pour la fixation des loyers. La part de ce type de logement est de 46% dans la ville. Ce sont des logements loués. Les HBM (habitation bon marché) datent du début du 19e siècle. Ils ont été construits sur d’anciens bidonvilles. Les HBM sont souvent en briques rouges car

Autriche 102 Danemark 102 Suède 95 Royaume-Uni 85 France 69.2[3] Allemagne 27 Italie 18 Espagne 3 Types de logement social[modifier] Il existe différents types de logement social : Le logement (public ou privé) de type HLM (habitation à loyer modéré), logements construits et gérés par un organisme public ou privé. Le logement subventionné ou conventionné, construit et parfois géré par des entreprises privées. Les coopératives d'habitation dont la formation a été subventionnée

crise du logement va se résumer alors à réquisitionner des logements vides pour loger les sans-abris. En 1948, le marché privé du logement est réglementé et l’allocation logement instaurée. En 1951, l’appellation « Habitations à Loyer Modéré » se substitue à « Habitations à Bon Marché » : ce changement de nom n’est pas gratuit. Il indique que le logement social va désormais assumer une vocation beaucoup plus large et devenir un des principaux, sinon le principal constructeur et répondre à la

1. Introduction De nos jours, nous pouvons repérer des habitations à loyer modéré dans presque toute l’Europe. Tel que nous l’expose Noémie Houard dans son article « Le logement social en Europe : la fin d’une époque ? »[1], un seul pays parmi les 27 états membres de l’Union européenne ne procure pas de logements sociaux à ses habitants, à savoir la Grèce. Il n’était donc pas étonnant de voir des habitations à loyer modéré durant la première phase de notre recherche : l’exploration

lesquelles vivent un peu plus d’un million de personnes. Apparition du logement social au XIXème siècle. Création des habitations bon marché (HBM), dans le but d’avoir un contrôle social sur la classe ouvrière, afin de lutter contre l’esprit révolutionnaire. 13000 logements réquisitionnés entre 1945 et 1980. Décret du 27 mars 1954 : attribution du bénéfice des HLM (Habitation à loyer modéré) « aux personnes physiques peu fortunées, notamment aux travailleurs vivant principalement de leur salaire »