Halbwachs Semprun

identité (un peut comme Franco Magnani qui suite à un malaise cérébrale se retrouve dans le flou quand a son passé et déprime suite à la perte de son identité). Nous verront dans un premier temps la mémoire individuelle, qui est définit par Maurice Halbwachs comme étant ceux par quoi un individu constitue sa propre personnalité ; ainsi que la mémoire collective qui elle est selon Pierre Nova «  le souvenir ou l’ensemble de souvenirs, conscients ou non, d’une expérience vécue et/ou mythifiée par une

Influencé par Immanuel Kant, René Descartes, Platon, Herbert Spencer, Aristote, Montesquieu, Jean-Jacques Rousseau, William James, John Dewey, Charles Sanders Peirce, Auguste Comte A influencé Marcel Mauss, Claude Levi-Strauss, Talcott Parsons, Maurice Halbwachs, Pierre Bourdieu, Charles Taylor, Henri Bergson, Emmanuel Levinas, Steven Lukes, Alfred Radcliffe-Brown, E. E. Evans-Pritchard, Paul Fauconnet, Robert Bellah, Edward Tiryakian, W.S.F. Pickering, Lucien Lévy-Brühl modifier David Émile Durkheim

peut considérer comme le « discours de la méthode » de la sociologie. Il fonde en 1896 la revue L'année sociologique autour de laquelle se crée L'école française de sociologie qui réunit des penseurs comme Marcel Mauss (neveu de Durkheim), Maurice Halbwachs, Georges Davy, Fauconnet etc. En 1897, Durkheim publie Le suicide. Nommé professeur à la Sorbonne en 1902 comme suppléant de Ferdinand Buisson à la chaire de science de l'éducation, il devient titulaire en 1906 (cette chaire devient, en 1913,

influences de la société sur les choix de l'individu (Suicides), l'idée de conscience collective semble venir plus se différencier su reste des théories formulées avant. L'idée de conscience collective, qui sera ensuite reprise notamment par Maurice Halbwachs (sociologue français de l'école durkheimienne), se rapporte aux idées, aux croyances, et aux actions partagées par une collectivité et qui le plus souvent semble dominer les consciences individuelles. Selon cette idée, un groupe social, une nation

Mots-clés : mémoire, peuple, force Principales références et sources : - Dictionnaire d’économie et de sciences sociales, écrit par Claude Danièle ECHAUDEMAISON - Dictionnaire Larousse - Les cadres sociaux de la mémoire, écrit par Maurice Halbwachs - Texte du philosophe Friedrich Nietzsche sur la mémoire - "Forger la mémoire d'un avenir commun", écrit par Gustave Depincé Et Alberto Ugarte Plan : I) La mémoire peut être la force des peuples … A) D’un point de vue culturel  Un peuple

l’entre-deux-guerres, ce domaine de la sociologie ne subsiste plus que dans le plan de cette revue, que les héritiers de Durkheim s’efforcent de faire survivre [Mucchielli, 1994]. Homme clef du nouveau dispositif durkheimien avec Marcel Mauss, Maurice Halbwachs s’intéresse certes au suicide mais non à la criminalité. Il porte de surcroît un regard très distancé sur le principal lieu de développement des recherches sociologiques en ce domaine et à cette époque : l’École de Chicago [Marcel, 1999]. Malgré

celles-ci n’ont pas moins été rendues possibles par le travail mené en commun et les discussions qui l’ont souvent prolongé. 2. Cf. HALBWACHS Maurice, Les cadres sociaux de la mémoire, Paris, Albin Michel, 1994, [première édition : 1925]. 3. Cf. NAMER Gérard, postface à HALBWACHS Maurice, op. cit., p. 333- 334. Observons cependant qu’au début du siècle, Maurice HALBWACHS considérait encore que la classe ouvrière vivait entièrement dans le présent et qu’elle n’avait pas de passé («elle n’a point à proprement

Déporté à Buchenvald en 1943, Semprun mettra de nombreuses années à prendre la décision de relater son expérience. L'alternative du titre de son livre correspond au choix difficile d'écrire après avoir vécu une expérience concentrationnaire. Il (1) avait tourné les talons et m'accompagnait jusqu'au châlit (2) de Maurice Halbwachs (3). - Dein Herr Professor, avait-il chuchoté, kommt heute noch durch's Kamin ! (4) J'avais pris la main de Halbwachs qui n'avait pas eu la force d'ouvrir les

historique page 10 page Il 1.2 Le témoignage et le texte littéraire CHAPITRE Il LE TÉMOIGNAGE CHEZ SEMPRUN, LE CORPS CO:M:ME MÉDIATION DE LA MÉMOIRE 2.1 Le témoin page 21 page 28 page 29 2.2 La mémoire dans les récits de Semprim page 37 2.3 Le corps dans le témoignage de Semprun page 53 CHAPITRE III LA FICTION DANS LE TÉMOIGNAGE DE JORGE SEMPRUN 3.1 L'art dans le témoignage: littérature, poésie et musique page 69 page 72 3.2 Les personnages

1998, dans le cadre des Dialogues du XXIe siècle. [2]. P. Levi, Si c'est un homme, Paris, Laffont, 1996, p. 146 s. On trouvera une scène assez comparable dans le roman de J. Semprun, L'écriture ou la vie, Paris, Gallimard, 1994, p. 32, où l'auteur accompagne l'agonie de son ancien professeur de Sorbonne, Maurice Halbwachs, en lui récitant des vers de Beaudelaire. [3]. Ibidem, p. 154. [4]. H. Arendt, La crise de la culture, Paris Gallimard, 1995, p. 14-15 (dans la préface de cet ouvrage, H. Arendt