Halieutique

scientifique dont la finalité est de statuer sur l’efficacité des récifs artificiels à produire de la biomasse et ce, dans le but de maintenir l’activité de pêche. Mots-clefs : récifs artificiels, aménagement, suivi scientifique, biomasse, ressources halieutiques. 2 Abstract Since the last few years, the increasing demand of licenses for the immersion of artificial reefs or of other types of occupation of the maritime public domain emanating from the local authorities, for the competent stakeholders

ont mis les mers et les océans, et plus précisément les routes maritimes, au cœur du processus de la mondialisation dont elles constituent les artères vitales. De manière plus diffuse, les ressources que recèlent les océans, qu’elles soient halieutiques, énergétiques ou minérales, accroissent leur importance économique, notamment dans un contexte de raréfaction des ressources lié à leur consommation effrénée due au modèle de développement sous-tendu par la mondialisation libérale et à l’explosion

nombreuses espèces dans certains océans (morue, saumon, haddocks ...), conséquence de la surpêche à l’œuvre depuis des décennies, a aussi des conséquences sur l’ensemble de l’écosystème marin (oiseaux prédateurs, flore sous-marine…). Ces ressources halieutiques peuvent être considérées d’un point de vue économique comme des biens communs, c’est-à-dire des biens collectifs qui sont rivaux et non exclusifs. La caractéristique de rivalité renvoie au fait que la consommation de ce bien par un agent réduit

en puissance de la piraterie dans ces zones.Mers et océans : des espaces riches en ressources mais très convoitésDes espaces maritimes au cœur d’enjeux énergétiquesLes espaces maritimes et les fonds marins regorgent de ressources énergétiques et halieutiques (22% des réserves mondiales de pétrole, 30% des réserves de gaz, gisements d’hydrocarbures offshores (au larges plateformes) 30% des productions, les réserves de pétrole sont essentiellement dans les grands fonds (>2000m de profondeur) comme

labellisation) et de la FAO, dans le cadre du projet d’assistance technique pour la mise en place et le développement du système de reconnaissance des signes distinctifs d’origine et de qualité (SDOQ) des denrées alimentaires et des produits agricoles et halieutiques au Maroc. Projet FAO/TCP/MOR/3104 Ce travail a également bénéficié de la contribution technique et scientifique des consultants : Mme Meryem Hrouch, Mr. Peter Damary et Mr. Mohamed Jaouad. 3 4 TABLE DES MATIERES LISTE DES ACRONYMES

Agricole Internationale I.I.T.A : Institut International d’Agriculture Tropicale INRAB : Institut National de Recherches Agricoles au Bénin L.D.C : Laboratoire de Défense des Cultures LRZVH : Laboratoire de Recherches Zootechnique Vétérinaire et Halieutique LSSEE : Laboratoire des Sciences du Sol, Eaux et Environnement MAEP : Ministère de l’Agriculture de l’Elevage et de la Pêche MAIR : Méthode d’Animation et d’Intervention en milieu Rural. MV : Monographie Villageoise ONG : Organisation Non Gouvernementale

transparence au niveau de la provenance des produits est très importante. La population jeune adopte une consommation plutôt similaire à la consommation occidentale, et la population plus âgée ont une alimentation traditionnelle japonaise. Marché halieutique : 1ère activité Japonaise, les japonais consomment énormément de poisson et de crustacés sous toutes leurs formes (vivants, crues ou cuits). Marché du luxe : phénomène de mode des marques de luxe étrangère, elles ont plus de succés que les marques

grâce aux DROM-COM partout dans le monde + espace de France métropolitaine : permet à la France d'accéder à un territoire large et riche en ressources dont la France est souveraine de l'exploitation → Différents types de ressources : – ressources halieutiques : exploitation dans DROM-COM mais surtout en France métropolitaine (500 000 tonnes par an) – ressources minérales (fer, manganèse, cobalt, cuivre, zinc, nickel) : nombreux gisement de matériaux précieux à l'industrie dans les ZEE des DROM-COM –

DE LA POLLUTION SUR : |DE SENSIBILISATION | | | |LA BIOMASSE (RESSOURCES HALIEUTIQUES, QUALITÉ DES EAUX, | | | | |PLANCTONS…) ;

Le mot halieutique, de la traduction en grec “pêcheur” définit la science de l'exploitation des ressources vivantes aquatiques. Cette science s’intéresse aux différents modes d’exploitation (pêche, aquaculture), des espèces vivantes (animales et végétales) dans tous les milieux aquatiques (eau douce et mer). L’aquaculture désigne toutes les activités de production animale ou végétale en milieu aquatique. L'aquaculture se pratique en bord de mer (on parle dans ce cas de « cultures marines ») des rivières ou