Hamlet Electre

à la sexualité, à la nourriture, à la vie du corps en général. Nous allons voir comment cette règle s’applique dans trois extraits qui nous sont donnés de trois pièces différentes : Phèdre de Racine et Britannicus écrites en 1669 et 1677, de plus Electre de Giraudoux écrite en 1937. Burrhus, dans le Britannicus est l’instructeur de Britannicus, c’est lui qui va déclarer la mort du jeune prince à Agrippine. Comme la mort n’est pas montrée sur scène la règle de bienséances n’est pas brisée. Dans Phèdre

Commentaire Composé Iphigénie est une pièce de théâtre écrite par Racine à Versailles en 1674, un an après son entrée à l’Académie Française. L’extrait à analyser, la tiraded’Iphigénie (Acte IV, Scène 4), se situe après que Clytemnestre et Iphigénie ont découvert qu’Agamemnon s’apprête à sacrifier son ainée pour satisfaire les dieux. Ce passage montre que, derrière la façadesoumise et respectueuse d’Iphigénie, se cache une jeune héroïne persuasive. Nous allons donc voir, dans une première partie

Electre portrait Je commencerais tout d’abord le portrait d’Électre par une citation de l’auteur de la pièce que nous étudions : Jean Giraudoux "Électre, pour moi, est avant tout une pure jeune fille, comblée de joie et d'honneurs, et qui n'en accepte aucun, toute entière dévouée à la recherche de la vérité sur la mort de son père." Giraudoux, dans son Électre, dresse selon lui le portrait d'"une jeune fille pure qui ne cherche que la vérité sur la mort de son père", et qui du coup ne peux

Electre de Giraudoux (1937), correspondances avec les définitions de la tragédie THEMES ? Passion amoureuse empêchée : Electre ne veut pas que sa mère se remarie, les plans de Clytemnestre et d’Egisthe sont contrariés : « Depuis dix ans j’aime Egisthe. Depuis dix ans je remets ce mariage par égard pour toi, Electre, et pour le souvenir de ton père » II,7, v. 217. Mais est-ce seulement d’amour dont il s’agit ? ou bien également de la haine de Clytemnestre pour Agamemnon (II, 8, v. 309 : « Oui

Électre, Acte II scène 9, Jean Giraudoux Alors le roi des rois donna de grands coups de pied dans le dos de Clytemnestre, à chacun elle sursautait toute, la tête muette sursautait et se crispait, et il cria, et alors pour couvrir la voix, Égisthe poussait de grands éclats de rire, d’un visage rigide. Et il plongea l’épée. Et le roi des rois n’était pas ce bloc d’airain et de fer qu’il imaginait, c’était une douce chair, facile à transpercer comme l’agneau ; il y alla trop fort, l’épée entailla

dans la scène 2 de l’acte III de HAMLET, écrit par Shakespeare en 1600; on voit des acteurs (le Roi et sa cour) regarder une pièce de théâtre, Le piège de la souris, choisie par Hamlet, représentant l'assassinat de son père par son oncle et qu’ fait représenter exprès pour observer les réactions de ce dernier qui sans doute s'identifie au personnage de l'empoisonner d’où son bouleversement et son départ hâtif « Donnez-moi un flambeau ! Partons ! ». L’intention de Hamlet est montrée par le paradoxe «

HAMLET. - Etre, ou ne pas être, c'est là la question. Y a-t-il plus de noblesse d'âme à subir la fronde et les flèches de la fortune outrageante, ou bien à s'armer contre une mer de douleurs et à l'arrêter par une révolte ?. Mourir... dormir, rien de plus ;... et dire que par ce sommeil nous mettons fin aux maux du coeur et aux mille tortures naturelles qui sont le legs de la chair : c'est là un dénouement qu'on doit souhaiter avec ferveur. Mourir... dormir, dormir ! peut-être rêver ! Oui,

faisais fumer, J'offrais tout à ce dieu que je n'osais nommer. La politique n'est-elle que l'art de jouer avec les apparences ? Je relisais cette nuit (le rêve s’y mêlait) la dernière tirade de l’acte II du Hamlet de Shakespeare (GF p. 302, surtout à la fin à partir de « j’ai ouï dire… »). Hamlet veut découvrir l’assassin de son père qui compose l’apparence d’un visage innocent : il prévoit de « frapper dans l’âme » le roi présumé assassin pour la voir et l’attraper, plutôt que le cœur. Et il prévoit

l’amour à la folie, de la folie à la raison. Enfin, nous pouvons conclure en disant que le thème de l’amour est souvent, en littérature, lié à celui de la folie, comme le montre les personnages d’Oreste dans Andromaque de Racine, et d’Ophélie dans Hamlet de Shakespeare

REVENGE IN HAMLET. If you've read/watched the play, and understand the question, you probably don't need us to tell you that Hamlet wants vengeance against Claudius for killing his father and King, usurping the throne, marrying his mother (with all that that enails!), and, towards the end, for getting elected King when Hamlet wanted to be; Laertes wants vengeance against Hamlet for killing his father, Polonius, and for being (as Laertes sees it) responsible for his sister Ophelia's madness and death