Hammadides

ont pris leurs distances vis-à-vis des Fatimides sans toutefois mettre en cause officiellement leur vassalité (2); d’autre part, le territoire des Zirides est amputé, vers 1015, de sa partie occidentale, confiée à une dynastie parente, celle des Hammâdides, qui établissent leur capitale dans la région du Hodna, à la Qal’a des Beni Hammâd ils gouvernent tout le Maghreb central, de Tahert à l’Aurès, tandis que les Zirides dominent la région s’étendant de Constantine et de Mua à Tripoli (s); les deux

plus strict, tel qu'enseigné par les écoles théologiques de Médine et de Kairouan. Cette unification religieuse se double d'une unification politique. Les Almoravides étendent ainsi leurs conquêtes jusqu'au Maghreb central, à la limite du royaume hammadide. En 1086, Youssef Ibn Tachfin, appelé par les rois des taïfas d'Al Andalus, franchit le détroit de Gibraltar à la tête de ses forces sahariennes composées de nomades Sanhadjas et de guerriers africains du Bilad as-Sûdan, et parvient ainsi à briser

sarrasins et Hugues de Provence sont autant de signes que des lueurs de connaissance mutuelle filtraient à travers le brouillard d'une ignorance réciproque, mais inégalement distribuée entre les deux camps.   En 1076, le pape Grégoire VII et l'émir Hammadide de Bougie échangent des ambassadeurs et des informations sur des questions touchant à la communauté chrétienne de cette ville. Dans sa lettre, le pontife écrit que « d'une manière différente, nous reconnaissons tous les deux un Dieu unique, et chaque

hilaliens – expédiés par le calife fatimide d’Égypte contre les royaumes zirides et hammadides du Maghreb oriental – font peser en fait sur toutes les populations sédentaires de la région. Il doit également engager la guerre sainte contre les Normands de Sicile qui ont installé des points d’appui commerciaux sur les côtes tunisiennes et qui menacent Bougie. Avec l’aide du souverain ziride, le calife almohade bat les Hammadides et s’empare de Bougie. Il écrase les Arabes devant Sétif mais traite ensuite

ou de nomadisme. Ils s'approprient un camp d'une distance de la Cyrénaïque aux Maroc. Durant la dernière bataille contre les Zirides, il auront une longueur d'avance sur eux et leurs commandant Abu Soda se fit décapité. Leurs voisins Zénètes et Hammadides furent assez affaibli et livrent leurs pays. Les Hilaliens et Sulaym furent sous les ordres de plusieurs dynasties berbères (Almohades, Hafside, Mérinides, etc). Vers le xie siècle, la même chose se produit avec les Berghouata dans les plaines

l’installation des Fatimides en 909 pendant une période de paix, de croissance économique. Les Fatimides (shi’ites) vont éliminer les Aghlabides, ils vont s’emparer de l’Afrique du Nord. Ils vont mettre en place des gouverneurs : les Zirides et les Hammadides qui vont devenir des familles importantes. Leurs relations avec ces derniers vont se dégrader car les Zirides vont s’unir aux califes sunnites de Bagdad et les Fatimides vont se retrouver bloquer entre les deux en Egypte. Ils vont lâcher sur le

documents mentionnant les Djerbiens au Moyen Âge ; écrite vers 1030, elle fait référence à un certain Abū al-Faraj al-Jerbī (« le Djerbien ») demeurant à Kairouan et commerçant avec l’Orient, soit l’Égypte et l’océan Indien[27]. Occupée par le sultan hammadide Abd al-Aziz ibn Mansur, qui règne de 1104 à 1121[26], l’île est prise brièvement par Ali Ben Yahya en 1115-1116. Djerba a vu ensuite se succéder Normands de Sicile, Aragonais, Espagnols et Ottomans durant quatre siècles « au cours desquels chrétiens

L’historique du port : Le port de Bejaia a tout attiré les navires, un comptoir commercial fut installé à proximité au temps des phéniciens. La baie devint donc un port avec l’arrivé des romains, puis la civilisation fluorescente des Hammadides permit une ouverture sur le monde européen, ainsi les relations commerciales se développèrent avec d’autre ports tels que Marseille, Gène, Naples. Il devient un port maritime avec le débarquement des français en 1883, d’où l’apparition

Maghreb, sous la menace des Normands de Sicile menés par Roger II (qui ont pris le contrôle de Djerba et Mahdia et menacent la prospère Bejaïa) et des cohortes bédouines envoyées depuis Le Caire par les souverains Fatimides, furieux de voir Zirides et Hammadides échapper à leur contrôle. Les opérations lancées s'avèrent largement fructueuses puisque les bédouins sont complètement écrasés à Béjaïa puis Sétif en 1152. En 1159, une puissante armée terrestre est levée depuis Salé, secondée par une flotte de

Maghreb, sous la menace des Normands de Sicile menés par Roger II (qui ont pris le contrôle de Djerba et Mahdia et menacent la prospère Bejaïa) et des cohortes bédouines envoyées depuis Le Caire par les souverains Fatimides, furieux de voir Zirides et Hammadides échapper à leur contrôle. Les opérations lancées s'avèrent largement fructueuses puisque les bédouins sont complètement écrasés à Béjaïa puis Sétif en 1152. En 1159, une puissante armée terrestre est levée depuis Salé, secondée par une flotte de