Hannah Arendt Marx

savons que des gens s'occupent des SDF mais pourtant nous nous sentons pleinement responsable d'eux. (1)(2)(3) Voir Annexe Hannah Arendt: -Biographie brève Arendt est une philosophe américaine d'origine allemande. Elle a travaillé dans le domaine du totalitarisme, de l'activité publique et la modernité. (4) -Responsabilité selon Arendt L'homme selon Arendt est un «obligé du monde», «un révolutionnaire». Elle veut dire par là que l'homme est libre et imprévisible, que l'on ne sait jamais

partie doit comporter trois paragraphes composés chacun d'une idée directrice d'un argument et d'un exemple. ("IDAREX" : IDée - ARgument - EXemple) 1) Idée directrice : être libre, c'est faire ce que l'on veut : Premier argument : Selon Hannah Arendt, la liberté sans garanties politiques n'est qu'un mot vide de sens. La première des libertés est la liberté de circulation ; celui qui ne peut pas se mouvoir librement n'est pas libre. Exemple : le prisonnier, l'opposant "assigné à résidence"

 Hannah Arendt: Ce texte de Hannah Arendt evoque le theme de la perception du temps. la question que l'auteur s'interroge sur est: Qu'est ce que la vie humaine? le temps est-il le meme pour tout le monde? Hannah Arendt soutient l'idee de la perception du temps qui varie pendant la vie. Ce texte s'articule en deux mouvements: la premiere partie, qui va de la ligne 1 a la ligne 7: cette partie repond sur la question qu'est ce que la vie humain? De la ligne 8 a la fin, l'auteur parle sur le temps

Hannah Arendt est née à Hanovre en 1906. En 1924, après avoir passé son Abitur — équivalent du baccalauréat en Allemagne — en candidate libre avec un an d'avance, elle étudie la philosophie, la théologie et la philologie En 1933, elle quitte l'Allemagne pour la France où elle participe à l'accueil des réfugiés fuyant le nazisme Elle vit alors quelque temps à Lisbonne dans l'espoir d'embarquer pour l'Amérique, ce qui sera rendu possible en mai 1941, En 1951, naturalisée citoyenne des États-Unis

L'artiste ne guide-t-il pas le regard des hommes ? N'est-ce pas grâce à lui que nous regardons le monde autrement? Sans lui, le monde ne serait-il pas plus terne?- L'art, disait Hannah Arendt, est le moyen le plus achevé que les hommes ont trouvé pour conférer à leurs oeuvres « un peu d'éternité ». L'homme est perpétuellement en danger d'oubli. Il voudrait être immortel, mais il sait qu'il va mourir. L'oeuvre fournit un moyen pour combler l'écart existant entre le désir humain d'immortalité et la

plus facile ? Donc cette société de masse certes privilégier abondance des informations, au détriment de la culture, qui est essentielle. Sans cette culture, qu'est-ce qui nous distinguerait des animaux ou des esclaves ? Comme l'affirme Hannah Arendt dans La crise de la culture, il est dangereux de mélanger le travail, qui est à l'intérieur de la dimension cyclique de la vie, de la consommation, et l'action, qui rend possible l'existence d'un monde. Ce serait l'effondrement de la culture, la

Etymologiquement labor est de même racine que labare ("trébucher sous un fardeau") ; ponos et Arbeit évoquent la pauvreté (penia en grec, Armut en allemand). Même Hesiode fait du travail dur (ponon alginoenta) le premier des fléaux de l'homme." (Hannah Arendt). Dans l'Ancien Testament, le travail est une malédiction, conséquence du péché originel et de la chute : "Tu gagneras ton pain à la sueur de ton front". Dans l'antiquité grecque et romaine, le travail est réservé aux esclaves, aux artisans

de moralité dictée par notre raison. C’est en ce sens que le pardon s’inscrit dans le cadre d’un rapport avec autrui. C’est à la victime qu’il revient de pardonner son offenseur, l’offenseur ne peut se pardonner à lui-même. Ce qui fit dire à Hannah ARENDT dans La condition de l’homme moderne que « Nul ne peut se pardonner à soi-même, nul ne peut se sentir tenu à une promesse qu’il n’a faite qu’à soi… ». Le pardon apparait dans le cadre d’un échange : l’un offre le pardon, l’autre le reçoit après

L’éducation l’enfant et le monde Hannah Arendt 1) ici « le monde ne désigne pas la planète en sois mais de l’humanité et l’environnement l’enfant a une vision très restreinte de ce qui l’entoure, il n’a pas d’autonomie, de mouvement .les adultes doivent d’abord l’assister pour qu’il se forme. Ils doivent au début le protéger et l’éduquer. La société, l’école...sont une période d’adaptation. On parle ici de l’enfant. Il a un rythme différent et restreint par rapport a celui de l’adulte. Sa perception

autorité —, je proposerai de relier la question de l'autorité à celle de l'éducation à la liberté : dans une société pluraliste et démocratique, l'autorité est mise au service de la liberté. Reprenant des analyses de la philosophe américaine Hannah Arendt, je distinguerai l'autorité hiérarchique, dont le but est l'obéissance et la docilité, d'une autorité de raison, dont le but est la persuasion et la liberté, et non la conformité. Cete réflexion s’inscrit par ailleurs dans le cadre d’un renouveau