Hannah Arendt Marx

le travail qui est la source principale de la valeur.   III. La dignité du travail 1. Marx considère que ce qui fait la valeur du travail n’est pas tant l’utilité que l’intervention de la volonté. Ce qui fixe le but de l’activité humaine se distingue de l’activité animale. L’animal par ses activités satisfait ses besoins, l’homme, par son travail modifie sa propre nature, « il développe, dit Marx, les facultés qui y sommeillent. »
2. Le travail dont le produit est voué à la consommation et

absolue de l'État ». À partir de cette définition simple et très généralement admise, ont été développées des interprétations et surtout des utilisations du concept de totalitarisme. Elles s'appuient en particulier sur l'analyse développée par Hannah Arendt (1906-1975) dans Les origines du totalitarisme (1951)[3]. L' adjectif « totalitaire » (« totalitario ») apparut en Italie dès le mois de mai 1923 (on prête parfois son invention à Giovanni Amendola[4],[5], opposant et victime du fascisme). Ce

Critique de la division du travail, Paris, Seuil, 1973. GORZ, André, Métamorphoses du travail. Quête du sens. Critique de la raison économique, Paris, Galilée, 1988. GORZ, André, Misères du présent. Richesse du possible, Paris, Galilée, 1997. Hannah Arendt, La condition de l’homme moderne, Press-Pocket-Agora, 1994. Jean-Baptiste de Foucauld, «Société post-industrielle et sécurité économique», Revue internationale du travail, 1996-6. Jean Boissonnat, Le travail dans 20 ans. Rapport pour le Commissariat

la philosophie des Lumières. -> Cf. Texte de Locke sur la laïcité, Lettre sur la Tolérance. 3. L'État totalitaire Toutefois, cette conception libérale de l'État ne peut-elle pas être soupçonnée de dissimuler en fait un rapport de force ? Selon Marx, tant que règnent la propriété privée des moyens de production et l'exploitation de l'homme par l'homme qui en est la conséquence, la classe possédante se sert de l'État pour imposer sa domination par la force matérielle et par l'idéologie qu'elle

KARL MARX Le Manifeste du Parti communiste L’homme (1818-1883) Il naît dans une famille allemande juive convertie au protestantisme (père avocat) ; sa famille est aisée et il connaît une jeunesse insouciante et gaie. Il fait des études de philosophie et obtient son doctorat mais ne peut obtenir une chaire à l’université en raison de ses orientations politiques démocratiques révolutionnaires. Il devient donc le rédacteur en chef d’un journal interdit par le gouvernement. Il fréquente

d’Etats essaient de le créer et de l’imposer, cela conduit au totalitarisme. * Socialisme utopique de Charles Fourier : il appelle cela le phalanstère : c’est une association de travailleurs qui trouvent le bonheur en travaillant passionnément. * Marx : biographie : 1818-1883, allemand, philosophe, économiste et homme politique, a écrit plusieurs livres dont Manifeste du parti communiste et Le Capital. Il développa des théories pour lutter contre les conditions de travail de l’époque. * Matérialisme :

moderne de Hannah Arendt processus de mécanisation du travail/déshumanisation ∟comportement de l’H calqué sur celui de la machine → l’homme devient machine lui aussi Ex : nous dépendons beaucoup d’internet → avilissant * Herbert Marcuse → la technique favorise une dérive totalitaire ∟paradoxe de l’argument sécuritaire face à l’accroissement de la surveillance des citoyens par le gvt en démocratie Ex : insérer des puces électroniques dans les cartes d’identité * Hannah Arendt → mimétisme

s’intéresser à la vision de l’homme sur laquelle ces droits sont fondés. En définissant quel est l’homme des droits de l’homme, on peut comprendre le fondement des droits de l’homme à partir d’une réalité empirique, ce qui mènera Marx à une récusation radicale du droit. Marx récuse ainsi tout droits de l’homme en démontrant que « l’homme » de ces droits est toujours un pseudo universel, il s’agit d’une mystification inévitable en tant qu’elle est auto-mystification. À propos de la question juive s’ouvre

nature de la démocratie, Manent. Chapitre 1 : -Analyse de la politique- Comment interpréter la politique ? Globalement on retient deux grandes écoles qui s’opposent. La politique traditionnelle (Aaron, Hannah Arendt, …) et l’école positiviste qui applique à la politique la méthode applicable à la chose de la nature inanimée (sciences) Qu’est ce que la question politique ? Faut-il de la politique ? La politique est une conséquence de la vie en collectivité

absolue de l'État ». À partir de cette définition simple et très généralement admise, ont été développées des interprétations et surtout des utilisations du concept de totalitarisme. Elles s’appuient en particulier sur l'analyse développée par Hannah Arendt (1906-1975) dans Les origines du totalitarisme (1951)[3] . Mao Zedong et Joseph Staline, en 1949. systèmes politiques avec la démocratie et l'autoritarisme. C'est un régime à parti unique, n'admettant aucune opposition organisée et dans lequel