Haredim

: vêtements spécifiques, quartiers spécifiques, institutions religieuses spécifiques. Ils ne se définissent pas eux-mêmes comme des ultra-orthodoxes, mais comme des juifs Haredim (craignant-dieu). Les 2 types ne sont pas différent theologiquement mais plutôt dans leur mode de vie et leurs orientations politiques. Un Haredim va vivre séparement du reste de la societe. Il frequente des ecole differente, des magasin different, et meme des quartiers differents. ; Le Judaïsme des Éditions Grand

Exemple dans l'histoire: Jeanne d'Arc mise à mort car considérée comme une hérétique en 1431. Manifestation du fanatisme chez les ultra-orthodoxes juifs. La communauté Haredim est considérée comme ultra-orthodoxes en raison de certaines de ses croyances: -Les femmes

répartissent principalement dans les villes de Paris, Marseille, Lyon, Nice, Toulouse et Strasbourg. Cette communauté, en majorité séfarade depuis quelques décennies, se caractérise par sa très grande diversité vis-à-vis de la tradition, depuis les Haredim (Juifs ultra-orthodoxes) jusqu'aux Juifs assimilés

connaît aujourd’hui ses limites avec l’immigration de populations de plus en plus diverses. Moins soudée qu’au début par l’idéologie, sioniste, ni même la religion, la société israélienne montre d’inévitable dérives communautaristes. Laïcs contre haredim, « russe » contre falachas, ashkénazes contre sépharades, colons contre pacifiques… Les dernières élections ont vu l’arrivée d’une droite dure, appuyée par les milliers milieux nationalistes russophones et ultrareligieux. Shimon Peres : Président

statistiques ne font pas de différences selon les religions. c) Chez les extrémistes : * Ils ne se définissent pas eux-mêmes comme des ultra-orthodoxes, mais comme des juifs Haredim ("les trembleurs", au sens de "ceux qui tremblent devant Dieu", ou "les Craignants-Dieu"). Les orthodoxes et les Haredim ne diffèrent pas d'un point de vue théologique, mais dans leur mode de vie et leurs orientations politiques. De nombreuses femmes dans les communautés juives orthodoxes ont encore beaucoup

décision · Ses avis et conseils ont valeur de pouvoir et de légitimité du fait qu’il fait office de médiateur entre Dieu et ses disciples (Bauer, 1994). · En hébreu, hassidim est traduit par « haredim » qui signifie littéralement les « craignants Dieu ». C’est dire toute la terreur et la culpabilité associées à l’idée de ne pas respecter ou de transgresser les commandements. · Les hassidim, on l’a vu, limitent les contacts avec l’extérieur

Israëliens ont à nv accès & dé détruisent quartier maghrébin --> après 1967: quest° du contrôle lieux saints + équilibre démographique communautés (inquiétude à cause de la colonisat° Vieille-ville & Jéru est par Haredim. --> actuellemt: contrôle de la ville --> tjrs des tensions La difficile gest° de la ville Septembre 2000: venue Ariel Sharon --> 2nde Intifada. Espla Mosquées = espace pv religieux + poli Archéologie --> tensions

l'Histoire Universelle du Judaïsme donnent une idée de la situation actuelle : 75 % des Juifs déclarent appartenir à un courant religieux, dont 39 % de conservateurs, 29 % de réformés et 9 % seulement d'orthodoxes37, parmi lesquels on trouve les haredim et aussi les orthodoxes modernes. Ces 3 mouvements sont organisés en fédérations au sein desquelles chaque communauté (« congregation » en américain) reste très indépendante. Il faut aussi ajouter les Juifs reconstructionnistes, moins nombreux et

l’échelle d’un quartier, d’une rue ou d’un monument. • La via dolorosa, qui retrace les étapes du chemin de Croix du Christ selon les Evangiles se situe ainsi pour partie dans le quartier arabe. De même, pour s’assurer l’accès auMur occidental, les Haredim (juifs orthodoxes) qui doivent emprunter la porte de Damas ont acquis des logements dans le quartier musulman qu’ils doivent traverser de part en part pour accéder au mur. Les autorités israéliennes considèrent sérieusement ce problème. Un autre

Juifs les plus religieux. Au cours du XXe siècle, la plupart des ultra-orthodoxes se rallieront cependant progressivement à la pratique quotidienne de cette langue « modernisée », tout en conservant l’Hébreu religieux pour le culte. Certains groupes haredim (ultra orthodoxes) actuels continuent de refuser l’usage laïc de l’Hébreu, le réservant à un usage sacré. Ils utilisent ainsi toujours le yiddish comme langue parlée. Bien qu’ayant été modernisé pour certains, vulgarisé pour d’autres, l’Hébreu