Harold Macmillan

bien que, selon de gaulle, le « fond » de l'alliance ne soit pas modifié (voir aussi relations entre les états-unis et la france). Le 17 septembre 1958, de gaulle envoie un mémorandum au président américain dwight eisenhower et au britannique harold macmillan, dans lequel il demande la création d'un directorat tripartite de l'otan, afin de mettre la france sur un pied d'égalité avec ses alliés, ainsi que l'extension des zones couvertes par l'otan afin d'inclure des zones d'intérêt pour la france,

les innombrables photographie des deux, la plus significative reste celle où ils prient ensemble dans la cathédrale de Reims. D’ici la réplique que Macmillan a données à de Gaulle un jour de l’année 1962 : “vous voulez reconstruire le Saint Empire, pendant que nous voulons celui romain”. Il y a ici quelque chose de plus profond atteint par Macmillan. En se rappelant cet incident amusant, lorsque pendant une audience au pape, de Gaulle a dit, après un moment : “Et maintenant, Saint Père, est-ce qu’on

qui sera repris et développé par les évolutionnistes : la firme est le lieu d’apprentissages collectifs. Ainsi apparaissent les deux dimensions-clés (1) Berle A. A. et Means G. C. (1932), The Modern Corporation and Private Porperty, New York, Macmillan. Comprendre l’économie vol. 1 Cahiers français n° 345 Quelques controverses théoriques 91 autour desquelles vont se construire les théories actuelles de la firme : d’un côté l’analyse des modes de gestion des conflits d’intérêts

essentiel qui sera repris et développé par les évolutionnistes : la firme est le lieu d’apprentissages collectifs. Ainsi apparaissent les deux dimensions-clés (1) Berle A. A. et Means G. C. (1932), The Modern Corporation and Private Porperty, New York, Macmillan. autour desquelles vont se construire les théories actuelles de la firme : d’un côté l’analyse des modes de gestion des conflits d’intérêts, de l’autre les conditions de constitution d’une capacité collective à produire. L’approche de Chandler

de gouvernement natio- nal incomplète, comme un mode d’organisation politique transitoire, comme une concession – pas vraiment souhaitable mais nécessaire dans des cas exceptionnels – pour concilier les discordances politiques. En effet, en 1939, Harold Laski1 écrivait : “Je conclus en un mot que l’ère du fédéralisme est révolue”. Le fédéralisme, sous sa forme tradition- nelle, avec son cloisonnement des fonctions, son légalisme, sa rigidité et son conservatisme, est – estime-t-il – incapable de

l’auditoire » possèdent un pouvoir de persuasion non négligeable (Petty et Cacioppo 1981). Il identifie trois modes canoniques de persuasion : l’ethos, le logos et le pathos. Ce trio du « qui dit quoi à qui » a été développé par le sociologue américain Harold D. Lasswell en 1948, dans sa fameuse formule : « Qui dit quoi, par quel canal, à qui et avec quel effet ». L’importance de ce modèle dynamique de la persuasion a été abondamment montrée par la recherche en psychologie sociale et en communication au

leurs successeurs – aussi bien qu’une clarté de style qui devrait être un modèle pour tout historien. Parmi les chercheurs dont les travaux sur l’histoire européenne récente m’ont le plus appris, je dois particulièrement mentionner et remercier Harold James, Mark Mazower et Andrew Moravcsik. L’empreinte de leur œuvre sera claire dans les pages qui suivent. Comme quiconque étudie l’Europe moderne, j’ai contracté une dette particulière envers Alan S. Millward et ses études savantes et iconoclastes

gouvernements britanniques successifs sont réticents à se lancer dans la décolonisation. La chute de l’empire britannique en Afrique n’arrive qu’à la fin des années 1950 et au début des années 1960, symbolisée par le discours du premier ministre Harold Macmillan en Afrique du Sud en février 1960, discours dans lequel il prévient ses hôtes de l’arrivée d’un vent nouveau (a ‘wind of change’) sur leur continent. 9 Le retrait britannique d’Afrique est relativement pacifique, à l’exception d’un conflit

chancelier de l'Echiquier en 1957. Alger, 4 juin 1943. Au premier rang, de gauche à droite : Jean Monnet, général Catroux, général de Gaulle, Winston Churchill, général Giraud, Anthony Eden. Au deuxième rang, de gauche à droite : André Philip, Harold Macmillan, général Georges, Sir Allan Brooke, amiral Cunningham, René Massigli. 6 Le Petit Journal d’Oletta - U Ghjurn’Oletta - JANVIER 2010 Le Petit Journal d’Oletta - U Ghjurn’Oletta - JANVIER 2010 7 Le Marché de Noël d’Oletta Les

PARIS ― cujasacq@univ-paris1.fr 5 BULLETIN DES NOUVELLES ACQUISITIONS Numéro 6 – Mai 2010 BRAUCH, Hans Günter ; MARQUINA BARRIO, Antonio ; BIAD, Abdelwahab. — Euro-Mediterranean partnership for the 21st century. — Basingstoke / New York, Macmillan / St Martin's Press : 2000. Cote(s) CUJAS : 529.243 BROWNSWORD, Roger. — Global governance and the quest for justice. — Oxford / Portland / Or., Hart : 2004. Cote(s) CUJAS : 516.264-4 CALNAN, Scott. — The effectiveness of domestic human rights NGOs