Harold Rosenberg

pour s’installer en Amérique du nord à la recherche de sécurité. L'Expressionnisme abstrait se divise en quatre phases: – L’abstraction gestuelle (Action Painting) L’abstraction gestuelle est aussi bien une technique qu’un mouvement pictural. Harold Rosenberg inventa ce terme en 1952 pour caractériser l’importance de la gestualité dans l’œuvre de certains peintres expressionnistes abstraits. « Ce qui doit passer sur la toile n’est pas une image, mais un fait, une action ».11 Ces artistes réalisent

dirige contre l’œuvre établit. 5.caractères des triptyques de Bacon selon Deleuze ? >Dans les triptyques de Bacon il faut qu'il y ait un rapport sans qu'il soit logique ou narratif, il est picturales. 6.interprétations de Pollock par Harold Rosenberg et Clement Greenberg ? >Selon HR ,Pollock est l'inventeur de l' « Action Painting »,liaison entre sa vie et son l'oeuvre. Selon CG , Pollock invente une nouvelle profondeur,c'est la profondeur picturale.On ne s'intéresse qu'à sa forme,c'est

peinture, 1958. Alberto Burri, Sacco e Bianco, 1953. Jean Fautrier, Le Fusillé - Otage, 1943. Jean Dubuffet, La Piste au désert, 1949. Série Matiérologies Messe de terre, 1959-1960. 6. L’école de New York 6.1. Action Painting Harold Rosenberg, The American Action Painters, 1952 : « Pour chaque peintre américain, il arriva un moment où la toile lui apparut comme une arène offerte à son action (...). Ce qui devait se passer sur la toile n’était plus une image mais une action ». Max

également ses Etudes de figures au pied d’une crucifixion. Le corps en action Jackson Pollock (1912-1956) : Painting (Siver over black, yellow and red. Centre G.Pompidou. L’Action Painting est un terme donné par un critique d’art, Harold Rosenberg, qui désigne une peinture en action, une peinture en mouvement. Pollock est un des principaux représentants de ce mouvement. Il met au point la technique du Dripping entre 1946 et 1947 : par de grands gestes, la peinture est répartie sur la toile

jusqu’aux cloisonnements entre les divers domaines de la création artistique. Cet art contemporain remet vraiment en cause toutes les anciennes frontières de l’art. L’art de cette époque se «dé-définit» et se «dés-esthétise», selon les termes de Harold Rosenberg. Tout peut dorénavant être considéré comme de l’art, et les artistes ne prétendent plus ce qu’ils présentent comme étant de l’art soit le produit d’expériences esthétiques. Postmodernité : Souci de reconstituer la vie plutôt que de construire

contenus, elle n’est stable que comme système de valeurs, comme mythe (la Modernité). En cela elle ressemble à la tradition. En quelque sorte, c’est une morale du changement, qui s’oppose à la morale de la tradition. ("tradition du nouveau" selon Harold Rosenberg). La modernité naît avec la Renaissance (1492, Galilée, la Réforme et ses 95 thèses contre les Indulgences). De plus, la tradition semble axée sur le passé, la modernité sur l’avenir. Mais à l’intérieur de ce temps indéfini (la modernité se pensant

action de celui-ci pour déclencher le fonctionnement ou un mouvement de l'œuvre ou encore font appel aux 5 sens du spectateur.3. Implication de la présence physique de l’artisteLe travail de certains expressionnistes abstraits est théorisé par Harold Rosenberg en 1952 comme “action painting”. La toile devient une arène où agir, les artistes réalisent des œuvres abstraites en gesticulant avec des matériaux et le processus de réalisation compte autant, sinon plus, que le résultat final.4. Performanceréalisée

plus de théorie, mais une logique de la modernité, et une idéologie. Morale canonique du changement, elle s'oppose à la morale canonique de la tradition, mais elle se garde tout autant du changement radical. C'est la « tradition du nouveau » (Harold Rosenberg). Liée à une crise historique et de structure, la modernité n'en est pourtant que le symptôme. Elle n'analyse pas cette crise, elle l'exprime de façon ambiguë, dans une fuite en avant continuelle. Elle joue comme idée-force et comme idéologie

action. Ce n’est plus avec une image dans l’esprit que le peintre approchait de son chevalet ; il y venait, tenant en main le matériau qui allait servir à modifier cet autre matériau placé devant lui. L’image sera le résultat de cette rencontre… » Harold Rosenberg, critique d’art Histoire et analyse du mouvement I. Origines L’expressionnisme abstrait est la convergence de l’expressionnisme (allemand début du XX° siècle), de l’art abstrait et du surréalisme. Trois mouvements essentiels de l’histoire

mais une unification des côtés qui lui permet de supprimer les bords du tableau. Les bords du tableaux ne sont plus une limite puisque le bord est à l’intérieur même du tableau. ⇨ Ornement I, 1948 L’Action Painting : prône le geste. C’est Harold Rosenberg qui définit ce terme, défenseur de la peinture gestuelle. Le Dripping : ce qui est important pour Pollock c’est la rencontre entre son imagination et la toile. On est dans l’art performance. Le dripping existait déjà avant, sous les surréalistes