Harrod

principaux types de modèles et esquisser ainsi une appréciation de la dynamique post Keynésienne nous allons résumer successivement : 1- Un modèle de fluctuations : celui de l’oscillateur de Samuelson (21). 2- Un modèle de croissance : celui de Harrod (22). Dans les deux cas nous présenterons les étapes principales, pour ne pas entrer dans les difficultés mathématiques. L’oscillateur de Samuelson : L’oscillateur de Samuelson est un modèle combinant deux instruments d’analyse : le

de la croissance ▪ dynamique du capital peut générer de l'instabilité : o selon Marx, l'accumulation du capital débouche sur la question de l'insuffisante rentabilité des investissements et de la dynamique des débouchés o pour Harrod – Domar, la constance du coefficient de capital et les effets différenciés de l'investissement sur l'offre et la demande ont un impact déstabilisant sur la dynamique économique ▪ analyse des crises comme résultat des déséquilibres dans l'accumulation

Sales at fever pitch A retailer = un détaillant An estate agency = une agence immobilière a real estate = l’immobilier An exchange rate = taux d’échange A department store: Le Printemps, Harrods ≠ a large surface store A shopping mall = une gallerie marchande To be hard hit (by the recession) = durement touché To run short of an item/article = rupture de stock et a court de produits As early as To offer/grant a 20% discount To hold an eight day sale = organiser des soldes de 8 jours

production Cobb-Douglas à deux facteurs, le travail L(t) et le capital K(t) : Y = F (A(t), K(t), L(t)) = K(t)α [A(t)L(t)]1−α (1) où A est le niveau d’avancement technologique qui porte uniquement sur le facteur travail (neutralité « au sens de Harrod »). Le progrès technique, qu’on suppose exogène, croît au taux constant gA . On suppose par ailleurs que la population croît au taux constant gL . Le capital se déprécie au taux δ. Le taux d’épargne, noté s, est constant et exogène. K(t) On introduit

Cependant leur utilisation présente certaines limites dans la mesure du bien être des populations. A. Des résultats peu représentatifs. 1. Dans un contexte actuel mondialisé, difficile de connaitre les nationalités de chaque entreprises. ( PNB ) Ex Harrods après avoir été egyptiens est maintenant au Qatar. Ou rachat chaine Marionnaud par un milliardaire chinois e, 2005. 2. Richesse créée mais non prise en compte de la répartition a sein de la population. ex pays pétroliers comme la Qatar ou PIB élevé

Les causes fondamentales de la croissance 6 Les théories de la croissance 6.1 L'école classique 6.2 Schumpeter : l'innovation à l'origine de la croissance et de ses cycles 6.3 La croissance « sur le fil du rasoir » : Harrod et Domar 6.4 Le modèle de Solow 6.5 Endogénéiser le progrès technique : les nouvelles théories de la croissance 7 La croissance en question 7.1 La croissance doit-elle être prévisible ? 7.2 La croissance peut-elle

plus compétitives. L’épargne génère ainsi l’offre. Or pour les classiques la demande dépend de l’offre. L’épargne est donc à l’origine de la croissance puisqu’elle influe positivement sur le progrès technique, l’offre et la demande. Les modèles de Harrod-Domar et de Kaldor mettent tous deux en évidence l’importance de l’épargne dans la détermination de la croissance L’épargne encourage l’investissement, l’innovation et les externalités Le taux d’épargne n’a cessé de progresser tendanciellement tout

série croissante avec t. Si taux constant At = A0 elt Le taux de profit r n ’est pas affecté Le coefficient de capital C n ’est pas affecté Le travail plus productif w donc y croît au taux l y k w ’ E ’ Progrès technique neutre au sens de Harrod 1/C w E r inchangé 3 2.1.2 Au sens de Solow Yt = F (Kt, Lt, t) Yt = F (At Kt, Lt) L'efficacité du travail ne change pas L/Y donc Y/L et w = Cte. La productivité du capital augmentent. donc r augmente y = rk + w dy = rdk + kdr + dw mais

aura donc moins de création d’emploi. La seule stratégie n’est pas de baisser les salaires. Des auteurs qui vont se réclamer de Keynes : Postkeynésiens, ils vont reprendre à leur compte la problématique Keynésienne. Il s’agit de HARROD et DOMAR. Le modèle HARROD DOMAR Ces deux auteurs vont développer leur approche à partir de 3 variables : le taux de croissance effectif (taux de croissance réel), qu’ils dissocient du taux de croissance garantie et qu’ils dissocient encore du taux de croissance

faut attendre la fin des années 1940 pour que les hypothèses de Keynes soient reprises dans un cadre dynamique afin d’étudier la croissance, grâce au travail de deux économistes keynésiens, R. Harrod (1900-1978) et E. Domar (1914-1997). 1- La croissance équilibrée est improbable Le modèle proposé par Harrod et Domar repose sur l'hypothèse d’une rigidité du coefficient de capital : il faut augmenter dans la même proportion la quantité de travail et de capital pour produire davantage, car les facteurs