Hatry

temps de la mondialisation, La Documentation photographique, La Documentation française, mai-juin 2011. FRIDENSON (Patrick), Histoire des usines Renault, 1. Naissance de la grande entreprise 1898/1939, Seuil, L’Univers historique, 1998 (réédition). HATRY (Gilbert), Renault usine de guerre 1914-1918, Editions Lafourcade, 1978. LEQUIN (Yves) Dir. La mosaïque France, Histoire des étrangers et de l’immigration, Larousse, 1988 LOUBET(Jean-Louis), Citroën, Peugeot, Renault et les autres, soixante ans de

are based. 3.1. Performance measurement – a key factor of Process Management Performance measurement has many meanings, but it is also defined as “measurement on a regular basis of the results (outcomes) and efficiency of services or programs.” [Hatry, 1999]. The new element in this definition is the regular measurement of results or outcomes. Regular measurement of progress toward specified outcomes is a vital component of any effort at managing-for-results, a customer-oriented process that focuses

sur le site de JD Power, 12 juin 2008 Bibliographie • Boulogne Jean, La vie de Louis Renault, Editions du Moulin d'Argent, 1931 • Dingli Laurent, Louis Renault, Flammarion, 2000 • Fridenson Patrick, Histoire des usines Renault, Seuil, 2001 • Hatry Gilbert, Louis Renault, Patron absolu, Editions Lafourcade, 1981 • Loubet Jean-Louis, Renaut Histoire d'une entreprise, Etai, 2000 • Picard Fernand, L'épopée de Renault, Albin Michel, 1976 • Saint-Loup, Renault de Billancourt, Amiot-Dumont, 1955

banques et les prêtent aux spéculateurs  La base objective: ◦ croissance et l'existence des industries nouvelles (cinéma, radio, électricité) ◦ le mouvement se transforme progressivement en boule et se déconnecte de la réalité économique Le krach: ◦ Hatry et la panique à Londres, la banque centrale de Royaume-Uni augmente ses taux et les capitaux américains partent vers Londres (vente des actions pour les obligations à taux accru) + un phénomène boule de neige ◦ crise de liquidité bancaire ▪ spéculation

monétaire inepte (Friedman) : alors que Washington augmentait les taux, mettant l’industrie en difficulté, New York les maintenait bas, favorisant le crédit et la spéculation. Ce n’est qu’un début… Dès lors il a suffi que quelque escroc ( le fameux Hatry, inventeur du photomaton) fasse faillite, que les taux d’intérêts augmentent (tardivement), et que des signes inquiétants de baisse viennent d’Europe ou des marchés de matières premières… La panique se produit dans la matinée du jeudi 24 octobre quand

retraits étrangers »[1]. D'un point de vue technique (il y a aussi, pour cet auteur, des causes plus politiques[N 1]) c'est le dernier maillon d'une série qui court de la hausse du taux d'escompte à New York en août, à la faillite de l'entreprise Hatry à Londres qui à son tour provoque une hausse des taux en Angleterre le 20 septembre (le lendemain du jour où la bourse de New York eût atteint son maximum[2]) qui à son tour conduit à des retraits de capitaux de New York. Histoire [modifier]

franc a partir de 1926. Enfin en 1928, la bourse de Londres s’effondre et entraine dans sa chute la faillite de société holding (sociétés qui possèdent des patrimoines d’actions). Le holding principal qui va s’effondrer est le Holding Hatry. Cet effondrement du holding Hatry qui possède de nombreuses ramifications aux USA commence à inquiéter la bourse américaine. Les ventes d’actions deviennent de plus en plus nombreuses et le 22 octobre on assiste à un premier krach ou 6 millions de titres sont offerts

opérateurs anticipant des hausses des cours) on passe au « bear market » (orienté à la baisse ; les « ours » : à la baisse) (expressions inventées en 1830). En effet, le « jeudi noir » (24/10/1929) est précédé par la faillite d’une entreprise anglaise : HATRY le 20/09/1929, qui était 1 gros investisseur à WALL STREET, par une augmentation du taux d’escompte à 6% aux EU, et à partir de juillet 1929, la production industrielle est à la baisse. Dans ce contexte, 12 millions de titres sont échangés. Succède

à cause du ralentissement de l’activité économique aux USA alors le prix de ces titres baisse. Pendant cet automne, l’UK augmente le taux d’escompte donc il y a fuite des capitaux américains vers l’Angleterre. La faillite de l’empire industriel Hatry inquiète les gens. En 1927, les dirigeants étaient allés voir les USA pour leur demander s’assouplir leur politique monétaire. Du coup plein de gens ont spéculé et ça a contribué à faire augmenter le Down Jones de 226% en 3 ans (1924 -1927). C’est

d’aujourd’hui insistant sur le rôle, dans le déclenchement à court terme du krach, des facteurs psychologiques dans ce qui apparaît comme des mouvements irraisonnés de capitaux. On notera qu’à la fin de septembre 1929, la faillite (frauduleuse) de la banque HATRY à Londres avait renforcé le climat de défiance des opérateurs, qui s’attendaient à une “correction”, du marché, et qui se préparaient à vendre pour récupérer leur mise (effectuer une “prise de bénéfices”). Autre grande cause à moyen terme de la dépression: