Hautbois d'amour

qu'il n'est plus jeune? Pour Bathylle, dites-vous, la presse y est trop grande, et il refuse plus de femmes qu'il n'en agrée; mais vous avez Dracon, le joueur de flûte: nul autre de son métier n'enfle plus décemment ses joues en soufflant dans le hautbois ou le flageolet, car c'est une chose infinie que le nombre des instruments qu'il fait parler; plaisant d'ailleurs, il fait rire jusqu'aux enfants et aux femmelettes. Qui mange et qui boit mieux que Dracon en un seul repas? Il enivre toute une compagnie

qu’il n’est plus jeune ? Pour Bathylle, dites-vous, la presse y est trop grande, et il refuse plus de femmes qu’il n’en agrée ; mais vous avez Dracon, le joueur de flûte : nul autre de son métier n’enfle plus décemment ses joues en soufflant dans le hautbois ou le flageolet, car c’est une chose infinie que le nombre des instruments qu’il fait parler ; plaisant d’ailleurs, il fait rire jusqu’aux enfants et aux femmelettes. Qui mange et qui boit mieux que Dracon en un seul repas ? Il enivre toute une compagnie

n’est plus jeune ? Pour Bathylle, dites-vous, la presse y est trop grande, et il refuse plus de femmes qu’il n’en agrée ; mais vous avez Dracon, le joueur de flûte : nul autre de son métier n’enfle plus décemment ses joues en soufflant dans le hautbois ou le flageolet, car c’est une chose infinie que le nombre des instruments qu’il fait parler ; plaisant d’ailleurs, il fait rire jusqu’aux enfants et aux femmelettes. Qui mange et qui boit mieux que Dracon en un seul repas ? Il enivre toute

qu'il n'est plus jeune? Pour Bathylle, dites-vous, la presse y est trop grande, et il refuse plus de femmes qu'il n'en agrée; mais vous avez Dracon, le joueur de flûte: nul autre de son métier n'enfle plus décemment ses joues en soufflant dans le hautbois ou le flageolet, car c'est une chose infinie que le nombre des instruments qu'il fait parler; plaisant d'ailleurs, il fait rire jusqu'aux enfants et aux femmelettes. Qui mange et qui boit mieux que Dracon en un seul repas? Il enivre toute une compagnie

Après avoir marchandé quelque temps, on tombe d’accord pour une somme d’argent, cinquante, cent, deux cents et jusqu’à deux mille francs de notre monnaie, ou l’équivalent en bestiaux, suivant la beauté, les qualités de la jeune personne, le degré d’amour, le crédit, la fortune au prétendu. Indépendamment de la dot (cédoq) comptée par le garçon pour obtenir la fille, celui-ci est tenu de faire au père et à la mère un cadeau en argent qui varie encore suivant que la fille est plus ou moins jolie. Ce cadeau