Hayek Crise 1929

« vertus collectives ». Son analyse qui tend à faire de la consommation une action tout aussi utile que l'épargne annonce les thèses futures de John Maynard Keynes. Par d'autres aspects, elle préfigure le libéralisme économique et, selon Friedrich Hayek, l'ordre spontané [2]. Les philosophes des Lumières développent aussi des analyses économiques. Montesquieu est salué par Keynes pour avoir compris le premier le rôle des taux d’intérêt comme instrument de la création monétaire dans De l’esprit des

néo-classique a comme principaux représentants Friedrich von Wieser (1851-1926), Eugen von Böhm Bawerk (1851-1914), et plus tard Ludwig von Mises (1881-1973) et Friedrich von Hayek (1899-1992), prix Nobel en 1974). Les néo-classiques autrichiens sont des adeptes rigoureux de l’individualisme méthodologique (qui amènera Hayek à rejeter toute forme de macroéconomie), mettent l’accent sur la dimension psychologique de leur doctrine, refusent d’utiliser les mathématiques, et soutiennent des positions

et gestionnaire Section 1 : Les facteurs idéologiques et doctrinaires I. La critique du système financier public et les théories keynésiennes à la fin des années 1970 II. Le retour aux théories économiques libérales classiques A. Frédéric Hayek (1899-1992) B. Les écoles néo-libérales classiques contemporaines 1. L’école libertarienne a. Les origines b. La théorie libérale-libertère 2. L’école des choix collectifs (l’école de Virginie ou « école du public choice » 3. L’école de la croissance

politique classique à travers les auteurs fondateurs de l’analyse économique moderne : Adam SMITH, David RICARDO et MALTHUS en particulier. La naissance de l’école néo-classique ainsi que les courants socialistes sont également étudiés. Puis la crise de 1929 est étudiée en prélude à l’analyse keynésienne et plus généralement la pensée économique dans l’entre-deux guerres. Les grands courants de l’analyse macroéconomique de la fin du 20ème siècle sont enfin brièvement présentés conjointement au cadrage

la tendance lourde, c'est à une privatisation et un désengagement des états de la sphère productive, cela ne veut pas dire que l'état n'a pas le soucis de ses entreprises, il y a eu une politque industrielle qui a disparu mais qui revient avec la crise (par ex, l'état peut intervenir si une entreprise nationale va être racheté par une entreprise étrangère : Danone en 2005 : défense par de Villepin contre les OPA / Air France – KLM : airbus et pas boeing). L'état peut cependant estimé que certaines

Le mode de production keynéso-fordiste et sa crise I Qu’est ce que le mode de production keynéso-fordiste ? 1) Le fordisme : un approfondissement du taylorisme. - Taylorisme : division verticale et horizontale du travail. - Travail à la chaine. - « 5 dollars a day ». 2) La vision keynésienne de l’économie. - Le chômage est involontaire. - Remise en cause de la loi de Say . - Crise de 1929 : crise de surproduction/sous-consommation. - L’Etat doit intervenir

frères Golescu. L’idéologie qui reste à la base de ce parti à été liberaliste, une idéologie qui s’opposait à l’idée que les intérêts de la société doivent être avant les intérêts de l'individu. Les philosophes célèbres comme Tocqueville ou Friedrich Hayek disaient que le libéralisme est le meilleur comportement politique et aussi les historiques disaient que le libéralisme européen a ses origines dans la Magna Charta, qui a été faite en Angletaire dans le XIII-éme siècle. I.2. Les origines

classique à travers les auteurs fondateurs de l’analyse économique moderne : Adam SMITH, David RICARDO et MALTHUS en particulier. • La naissance de l’école néo-classique ainsi que les courants socialistes sont également étudiés. • Puis la crise de 1929 est étudiée en prélude à l’analyse keynésienne et plus généralement la pensée économique dans l’entre-deux guerres. • Les grands courants de l’analyse macroéconomique de la fin du 20ème siècle sont enfin brièvement présentés conjointement au

développement du syndicalisme) et qui critiquaient le libéralisme. Il s’agissait alors de « prouver » la supériorité du marché. Mais cette modélisation n’a guère apporté d’éléments théoriques nouveaux. Elle sera d’ailleurs incapable de régler la crise de 1929. I) Les principes fondamentaux du libéralisme 1 La main invisible Ce principe a été posé dès la fin du XVIII° par Adam Smith dans « Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations » (1776). Mais la base philosophique de ce

Révolution industrielle, à travers les auteurs fondateurs de l’analyse économique moderne : Adam SMITH, David RICARDO et MALTHUS en particulier. La naissance de l’école néo-classique et les courants socialistes sont également étudiés avant d’aborder la crise de 1929 et l’analyse keynésienne. Les grands courants de l’analyse macroéconomique de la fin du 20ème siècle sont enfin brièvement présentés conjointement au cadrage sommaire de l’évolution économique des grandes puissances et celle de la mondialisation