Hébertistes

du Comité de Salut public, Girondins (droite de la Convention) et Montagnards (gauche). Son action permet de contenir l’ennemi (victoires de Fleurus,…) et de juguler les insurrections intérieures (Vendée). Avec les chutes successives des Girondins, des Hébertistes, de Danton et ses amis, et de Robespierre, la Terreur prend fin et le Directoire est instauré (26 octobre 1795). Pendant cette période, la vie politique est marquée par de nombreux succès militaires, qui donnent au général Bonaparte l’occasion de

champions. La discipline est de plus soutenu au point de faire partie du premier groupe d’épreuve au baccalauréat. Le sport moderne lui a donc permis de gagner en légitimité. Nous avons donc démonté dans cette première partie que le passage du modèle hébertiste, à une pratique de gymnastique corrective puis enfin « sportive » a permis à la discipline de gagner en statut tout en lui confiant un rôle social important. Cependant, comme le souligne G.Andrieux (1992) « l’école devient l’annexe du club ». Cette

trouvant donc dans l’incapacité d’avoir un quelconque rôle dirigeant. Toutefois, comme il s’agissait d’une “ révolution bourgeoise”, on rechercha l'existence d'un embryon de “prolétariat”. Et l’on interpréta alors la présence des Enragés, des Hébertistes, des Babouvistes, comme de petits groupes “communistes”, esquisse du mouvement futur, celui de la “révolution prolétarienne”. La dynamique de la Révolution française (textes 10) Arrêter avec les Girondins ou vaincre avec les Montagnards lundi

redoutable : il soutient ce dernier, qui bénéficie déjà d’appuis multiples, même en province et est aussi le chef des « Hébertistes » ainsi que le fondateur du « père Duchesne », seul grand journal populaire, dont les propos, souvent démagogiques et parfois orduriers, sont aussi diffusés grâce à Vincent et à Bouchotte dans les armées de la République [118]; enfin les « « hébertistes » ont une grande influence sur la Commune de Paris. Après les journées de septembre, et la disparition des « Enragés »

journaux les plus lus, le Père Duchesne, d'une grande violence verbale. Lors de son procès, en octobre, Marie-Antoinette est accusée des pires maux, de la trahison à l'inceste. Ce procès dévoile les méthodes funestes utilisées par la suite contre les hébertistes ou les dantonistes (faux témoignages, constructions policières, amalgames). L'ex-reine est exécutée le 16 octobre ; Mme Roland est guillotinée le 8 novembre. Dans les départements, une partie des représentants en mission mettent en œuvre une «

4 février : Abolition de l'esclavage dans les colonies. 11 mars : création de la commission chargée de créer l'École centrale des travaux publics, future École polytechnique, comprenant Gaspard Monge et Lazare Carnot. 24 mars : Exécution des Hébertistes. 5 avril : Exécution de Danton et de ses partisans. 13 avril : sept acquittements et dix-neuf condamnations à mort, dont Lucile Desmoulins, Chaumette, le général Dillon, l'ex-évêque Gobel et la Veuve d'Hébert, dans la Conspiration du Luxembourg

moral. Il faut créer le peuple républicain, mais loi des suspects engendre une hécatombe dans le corps social, jamais assez républicain pour St Just « La r° est classée » (arrivés dans une impasse). Robespierre doit éliminer les factions : Hébertiste : Demandent d'avantage de terreur et de guillotine. Sont traduits devant le tribunal révolutionnaire de Paris, et accusés d'avoir comploté pour la restauration de la royauté, jugés coupables puis mis à mort. Danton : Veut arrêter la terreur

la Convention, c'est qu'ils étaient d'abord aux prises avec deux dangers : celui du « généralat », de la dictature militaire d'un 8 chef s'emparant de l'esprit de ses hommes ; celui des factions, et tout particulièrement de celle des « hébertistes » qui avaient pénétré l'armée où ils distribuaient Le Père Duchesne. Les Montagnards eurent, au-delà de ces contingences politiques, la volonté d'utiliser l'armée, forte de près d'un million d'hommes, et de la transformer en une vaste école de

plus forte saillance au regard des pratiques non-scolaires d’EP, c’est qu’il réfléchit au-delà d’un autre modèle du corps, un autre modèle de société. BOURBOUSSON Jérôme En effet, concernant le corps féminin donné à voir dans les pratiques hébertistes, naturistes ou les pratiques sportives, il réfléchit les mêmes valeurs sur le plan des revendications féministes, c'est-à-dire un corps qui s’ « aère », qui se libère, se dévêtit. Mais pour autant les pratiques sportives véhiculent avec elles un

principales personnes ayant adhéré à cette doctrine sont le groupe des sans culottes. Comme nous l’avons vu dans la première partie, ceux-ci étaient particulièrement malmenés, surtout pendant le directoire. Les babouvistes ont aussi rallié les anciens hébertistes et quelques anciens montagnards, qui n’avaient plus de figures fortes depuis la mort de Hébert[16]. Certains jacobins de tendance plus socialiste ont aussi joint ce groupe. III. IMPACT HISTORIQUE A. Dénouement historique À la suite