Hectare

 COMPTE D’EXPLOITATION POUR 1 HECTARE DE CACAO I- CE QU’IL FAUT SAVOIR : Contrairement aux cultures vivrières et maraîchères qui sont des cultures annuelles, le cacao lui, est une culture pérenne, c’est à dire, une culture qui produit ou qui entre en production après plusieurs années. Cela a pour conséquence que les recettes issues de la vente des produits ne commencent à tomber qu’après un certain nombre d’années. Mais il ne faut pas oublier qu’entre temps, le paysan producteur doit

| | | | | |II- BUT DU PROJET : Cultiver des hectares de terre de manioc. | | | | | |III- OBJECTIF

pour produire les ressources qu´un individu, une population ou une activité consomme et pour absorber les déchets générés, compte tenu des technologies et de la gestion des ressources en vigueur. Cette surface est exprimée en hectares globaux (hag), c´est-à-dire en hectares ayant une productivité égale à la productivité moyenne. L´empreinte écologique s´efforce ainsi de répondre à une question scientifique pré-cise, et non à tous les aspects de la durabi-lité, ni à toutes les préoccupations envi-ronnementales

par an grâce à l’association des deux exploitations. En 2011, ils font construire une nouvelle stabulation de 23, 6 m sur 70 m avec une salle de traite intégré. Capital -Capital foncier En réunissant les deux exploitations, ils possèdent 120 hectares. Ils en gardent 20 à leurs usages (maisons, fermes, stabulations, pâtures…) et le reste est loué à des agriculteurs environnant. -Capital d’exploitation Bâtiments : À Nesploy -Stabulation et salle de traite (2011) -bâtiment pour génisse de

sur 14 hectares divisés en trois parties : le grand parc central (11 hectares), le Jardin blanc (1 hectare) et le Jardin noir (2 hectares). 1.Contexte historique C'est en 1914, afin de soutenir l'effort de guerre, qu'André Citroën obtenu l'accord de construire la grande usine Citroën d'où sortirent des modèles de voiture célèbres, telles que la Trèfle avant 1940 et la DS en 1957. Enfin, en 1971, la ville de Paris rachète pour la modique somme de 375 millions de francs les 23 hectares de terrain

devint une station de recherche puis une réserve forestière en 1926, forêt classée en 1935 et enfin parc national du Banco le 31 Octobre 1953. Il est le 7ième plus grand parc de la côte d’ivoire. Sa superficie qui s’évaluait à 3000 hectare en est aujourd’hui à 3474 hectares. Elle abrite le plus vielle arbre appelé cossipo (500 ans) avec une circonférence de 8.46m, une piscine naturel depuis 1943 et regroupes plus de 764 espèce d’arbres endémiques et exotiques. Sa faune est composée de plusieurs espèces

peut recevoir 75euro par hectares et par ans. -CTE (contrat territorialisé d'exploitation) qu'il obtient en respectant la quantité de fertilisant a l'hectar. -MAE (mesure agro environementalisé) qu'il recoit de 2006 a 2011.Il recoit 228euro par hectares et par ans pendant 5 ans, cette subvention est stopé a 17000euro par exploitants, il doivent pas utilisé d'engrais chimique. La zone natura 2000 qui est valable de 2012 a 2017 ayant un budget maximal de 22500euro par hectare et par ans. L'environnement

3. Equilibre 4.1 On s’intéresse au marché des pommes golden. Le consommateur-type consacre un 1/5e de son revenu à l’achat de ces pommes. L’offre ne dépend que de la surface des terres occupée par les pommiers. On estime qu’un hectare (100m*100m) permet de produire 10 tonnes de pommes. * Il y a 1000 consommateurs et leur revenu annuel moyen est 40000€. Ecrivez puis représentez graphiquement la courbe de demande pour un prix du kg de pommes compris entre 0 et 4€. Tout d’abord, il faut

pendant au moins neuf mois dans l’année. Selon les résultats du RNA (Recensement National de l’Agriculture 2001), les rendements moyens des plantations villageoises est de 1800 Kg /ha en CI. Si le prix du kilogramme est de 500F, le planteur d’un hectare pourra percevoir 900.000F/mois. PRIX MOYEN DU CAOUTCHOUC EN FCFA/Kg Années 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 Prix moyen bord champ Kg/hum 167 196 217 238 346 345 405 271 518 998 Sources : APROMAC / APROCANCI III/ ITINERAIRE

agriculteur veut allouer 150 hectares de surface irrigable entre culture de tomates et celles de piments. Il dispose de 480 heures de main d’œuvre et de 440 m3 d’eau. Un hectare de tomates demande 1 heure de main d’œuvre, 4 m3 d’eau et donne un bénéfice net de 100 €. Un hectare de piments demande 4 heures de main d’œuvre, 2 m3 d’eau et donne un bénéfice net de 200 €. Le bureau du périmètre irrigué veut protéger le prix des tomates et ne lui permet pas de cultiver plus de 90 hectares de tomates. Quelle