Hedjaz

début du 20ème siècle sous la domination franco-britannique. Poursuivant le dessein de mettre à bas l'Empire ottoman, les Britanniques ont commencé par approuver a révolte arabe de 1916 dirigée par le chef de la famille hachémite, l'émir Hussein du Hedjaz. Mais, bien vite, le rêve des Hachémites qui est de créer un vaste Etat arabe se heurte aux prétentions franco-britanniques. En effet, dès le 16 mai 1916 étaient signés les accords secrets Sykes-Picot. A la fin de la Première Guerre mondiale, le système

par les autorités religieuses des Empires coloniaux → contre propagande → collaboration avec le chérif de la Mecque, Hussein, de la famille des Hachémites, qui a refusé d’appeler au jihâd contre l’Occident, arguant le fait que le Hedjaz qu’il dirige dépend de l’Egypte (et donc des Anglais) pour son ravitaillement. Il peut à la fois soulever une révolte arabe et remettre en cause l’autorité religieuse de Constantinople → correspondance entre Hussein et sir Henry

l’arabisme est passible de mort. Devant la répression (ottomane) placée sous le signe du nationalisme (turc), les autonomistes arabes doivent en appeler à l’aide des puissances européennes. Kitchener est contacté par un des fils d’Hussein, souverain du Hedjaz, mais se contente d’affirmer son soutien moral à la cause arabe. II. 1915-1916 : La promesse du grand Etat arabe. Attentes arabes et promesses anglaises La correspondance Hussein-Macmahon Le djihad lancé par la Porte dès son entrée

La Mecque à qui il avait confié le combat appuyé par Lawrence D’Arabie, agent britannique, prirent le contrôle de Jérusalem et Damas, vaincus les Ottomans signèrent l’armistice le 30 octobre 1918 tandis que Hussein Ben Ali s’était proclamé Roi du Hedjaz depuis fin 1916. Pourtant à la fin de la guerre lors de la conférence de Versailles destinée à négocier les conditions de paix en 1919 son fils Faysal sera l’unique représentant des Arabes, malgré les promesses des Britanniques, les demandes d’Hussein

centre des préoccupations de Paris. Elle s’inscrit plutôt dans une « course aux colonies », le milieu  colonial français ne s’intéressant à la Syrie que pour barrer la route à l’impérialisme britannique. Les Anglais poussent leurs intérêts du côté du Hedjaz et se voient déjà maîtres du Middle Eastern Empire, dont rêvaient les Premiers ministres Gladstone et Disraeli. À la suite d’un long échange de lettres entre M. Paul Cambon, ambassadeur de France à Londres, et Sir Edward Grey, secrétaire d’État au

base nationale. Un accord est passé selon lequel Abdallah reçoit le trône mais doit en contrepartie laisser les français en Syrie. Abdallah, nait en 1882, c’est le second fils de Hussein. De 9 à 25 ans, il vit à Istanbul, avant de rentrer dans le Hedjaz. Député au parlement ottoman en 1908, il est d’abord proche des jeunes turcs, mais s’éloigne peu à peu lorsque ses derniers mettent en place une politique centralisatrice. Il combat Ibn Séoud, mais se rend en Transjordanie suite à sa défaite face

latine, grecque, italienne, espagnole, française et de l’Afrique noire. Graphie : La Hamza : prononcée différemment qu’elle soit situé au milieu ou à la fin du mot. Certains ne la prononce pas en début de mot (= très caractéristique des régions d’al Hedjaz {la Mecque et la Médine}) Un nom en arabe est déterminé par deux choses : le « Al » (« el » en Maghrébin et « il » en égyptien) et par l’annexion. 1- Les lettres solaires en Maghrébin sont les mêmes qu’en littéraire, sans oublié le « j » : ex =

autorisée à se rendre à Paris, le 29 janvier 1919, lors de la conférence de la paix- ses revendications et celles des arabes. Ce mémorandum vise à faire entendre et à légitimer son droit à réaliser un projet d’unité, une nation arabe. Faysal, né dans le Hedjaz en 1883 et mort en 1933, est le troisième fils du Chérif de La Mecque, Hussein ben Ali. Il appartient par conséquent à la prestigieuse famille des Hachémites, descendante du Prophète Muhammad. Il fut le principal organisateur de la révolte Arabe

Histoire des religions DPAS 5: Islam, hier et aujourd’hui. Diffusion, rites et pratiques. Quoi? Qui? Où? Quand? Pourquoi? Comment? Naissance de Muhammad Prophète, fondateur de l'Islam La Mecque (Arabie saoudite), province du Hedjaz. Vers 571 X Orphelin peu après sa naissance, il est recueilli par son grand père, Abd al-Muttalib, puis par son oncle, Abu Talib. La révélation Muhammad Dans une grotte sur la montagne de Harra, aux alentours de La Mecque. Vers l'an 610 Muhammad est l'élu de Dieu

Ben Saoud fonde en 1744 le premier état Saoudien.c’est lui qui donne le nom « Saoudite » venant de Saoud. Un de ses descendants fondera l’état Saoudien moderne en 1932, après avoir réuni ses différentes conquêtes ; dont la province du Nejd et du Hedjaz . Le mot »Saoudite » est aussi souvent prononcé et quelquefois écris : Séoudite. L’Arabie Saoudite est une monarchie Islamiste contrôlée par la famille Saoud : C'est-à-dire que c’est un roi qui dirige et que la religion officielle est l’Islam