Hegel Imitation Creation

de chant -- sont à l'âme ce que la gymnastique est au corps. Quand Platon parle d'expulser les poètes de la Cité, c'est parce qu'ils ne sont pas assez "artistes", c'est-à-dire pas assez philosophes -- et peut-être pas assez athlètes (dans leur imitation)... Au Moyen-Âge, la poésie continue de dominer et elle gagne même d'autres formes comme le roman; mais c'est seulement à la Renaissance, au moment où l'artiste remplace l'artisan et où l'écrivain devient un artiste, que la littérature accède

l’homme est prédéterminé par sa classe sociale. Avant Brecht le naturalisme était la doctrine de référence. Apres Brecht c’est le règne du réalisme socialiste. Brecht accepte le but du naturalisme (imitation de la vie sociale) mais blâme ce genre de ne pas être allé assez loin dans cette imitation en ne se contenant que de l’apparence. 1. L’épique renvoi à l’épopée ( ex. L’Iliade) avec ses caractéristiques de narrativité et de globalité (l’épopée représente quelque chose de cosmique).

de goût, stimulants pour les sens ou producteurs d'une forme de connaissance et de vérité, date entre les XVIIIe et XIXe siècles. Dans l'art moderne et l'art contemporain, on abandonne la notion de beau ou de style intemporel pour voir dans l'art une création de l'humain, la production de quelque chose de nouveau avec lequel une époque s'identifie. Histoire de la notion d'art : qu'est-ce que l'art ? Depuis au moins l'Antiquité, la philosophie s'interroge sur la nature de l'art. Platon dans l'Ion et

possible d’en faire. Or ceci revient à n’accorder de valeur qu’à une des 2 « dimensions » impliquées dans la production d’une œuvre : celle de la fabrication. Or, une autre dimension est importante (et même primordiale) : c’est le fait qu’il y ai création. ( si l’activité peut avoir une valeur humaine, ce n’est que dans la mesure où elle n’est pas seulement effectuée en vue de servir à autre chose (comme c’est, à l’inverse, le cas pour les activités suivantes : agriculture ou salariat pour subvenir

affirmer l’illusoire liberté d’un sujet tout-puissant, mais a tenter de construire cette liberté, en sachant que rien n’est plus étranger a l’homme que l’homme lui-même. B/Textes et exemples CONSCIENCE 1. HEGEL ds Esthétique : L’homme est un être doué de cs et qui pense cad de ce qu’il est il fait un être pour soi. Un être humain est un être qui se transforme et qui existe. Distinction entre l’être humain et les choses de la nature qui existent d’une seule

de Spinoza. En s’appuyant sur la citation de Spinoza nous pourrions nous demander finalement ce qui rend un objet désirable. La plupart du temps, un objet est désirable parce que les autres l’ont désiré, position par exemple d’un philosophe tel que Hegel (ex : l’effet de mode, la vente aux enchères). Un objet est désirable pour sa qualité morale (on désire la sagesse, l’honnêteté). Un objet est aussi désirable en fonction du degré de plaisir et de bien-être qu’il nous procurera. Finalement la valeur

de chant -- sont à l'âme ce que la gymnastique est au corps. Quand Platon parle d'expulser les poètes de la Cité, c'est parce qu'ils ne sont pas assez "artistes", c'est-à-dire pas assez philosophes -- et peut-être pas assez athlètes (dans leur imitation)... Au Moyen-Âge, la poésie continue de dominer et elle gagne même d'autres formes comme le roman; mais c'est seulement à la Renaissance, au moment où l'artiste remplace l'artisan et où l'écrivain devient un artiste, que la littérature accède à l'art

Toujours dans cette optique, le travail est vu dans l'optique protestante comme une vraie vocation pour l'homme en ce qu'il est la meilleure manière de privilégier notre condition ici bas. L'idée est en somme de rendre gloire à Dieu en mettant sa création en valeur par le travail, c'est à dire en exerçant une activité de transformation sur la nature. Cette perception de la valeur travail sera reprise par Locke qui perçoit le travail comme la source de toutes valeurs, au sens économique du terme, une

résulte entre autres qu'il est spirituel. Nous repoussons d'autre part une fatuité qui aimerait bien là aussi se refaire entendre : comme si l'homme avait été le grand arrière-dessein de l'évolution animale. Il n'a vraiment rien d'un couronnement de la création : tout être, à ses côtés, se trouve à un égal degré de perfection... Et le prétendre est encore une prétention : pris relativement, l'homme est l'animal le plus malvenu, le plus morbide, le plus dangereusement dévoyé de ses instincts - bien entendu

philosophiques ; nous devons le mettre en clarté tout en étant bref. 2. Le temps en civilisation gréco-latine. Prenons d’abord Platon. Quand il écrit, dans le Timée (2), que le temps est une imitation mobile de l’éternité, il explicite sa thèse d’un monde sensible comme réplique d’un monde intelligible ( imitation et éternité ). Ce sont les astres errants au sein de l’univers qui ont pour mission de définir les mesures du temps. Platon ajoute : « C’est ainsi et pour ces motifs qu’ont été engendrés