Hegel Imitation De La Nature

sont-ils le fruit du travail ? Le travail serait un don inné, quelque chose de nature. Il présente des activités naturelles ou culturelles, ce sont des activités acquises et transmises à travers les générations : - tout les groupes humains pas ne feront pas de l’art de la même manière - Ce n’est pas spontané il faut un apprentissage. Tout travail consiste à refuser de laisser l’environnement naturel tel que la nature nous l’a donné. Le travail est la « négation » du donné naturel. La technique

comme aussi le mot français peine (j'ai beaucoup de peine, un homme de peine). En effet, le travail exprime à l'origine la servitude de l'homme qui ne parvient à survivre dans la nature que par un effort douloureux. II faut manger, se chauffer, se vêtir. Le travail est le «signe de l'aliénation», de l'homme perdu dans une nature indifférente ou hostile à laquelle il faut coûte que coûte s'adapter pour subsister. Ainsi, pour les Grecs, le travail exprime la misère de l'homme, non sa noblesse. Le travail

les grandes actions qui devront servir d'exemple. Mais mettre ainsi le Beau au service du Bien, n'est-ce pas corrompre le premier? On peut craindre que l'œuvre engagée ne soit pas belle, faute de rechercher la beauté pure. V/ Doctrines de Platon & Hegel Il existe de nombreuses choses qui peuvent être qualifiées de « belles. » On peut se demander comment ce qualificatif peut être attribué à des choses aussi différentes. Platon pense que tout ce que l’on peut rencontrer de beau dans le monde sensible(ou

important, et le plus valorisant. Depuis, les grecs, qui eux aussi cherchaient à imiter la nature, ont mis au point des techniques, des règles permettant une représentation des plus vraisemblable de la réalité, telles que celle du canon comprenant sept tête dans son corps, observé par Praxitèle dans l’œuvre Discobole, qui sera le modèle de nombreux artistes durant des siècles après. Selon Aristote "la nature est parfaite, et l'artiste recherchera cette perfection naturelle". D'où l'invention par la

subjectivité et vérité a) comment le sujet peut-il connaître le vrai ? Descartes : je pense je suis : vérité subjective mais intellectualiste. Le sujet est humain, on postule une nature humaine : tous les sujets humain quelque soit leur culture peuvent chercher une même vérité → double universalité : universalité des sujets (nature humain) et universalité de la recherche de la vérité. On présuppose un homme naturel et non pas historique ou culturel → abord philosophique classique → abord intellectuel.

? Ne peut-on pas dire que la technique change l'homme lui-même , et pas uniquement l'organisation de la matière ? Dans cette perspective, l'homme se métamorphoserait lui-même indirectement en transformant techniquement la nature. Et même, certains penseurs ont défini l'humanisation comme la conséquence du progrès technique. ⇒ Pb : Dans quelle mesure la technique modifie-t-elle

jardins constituent la représentation par excellence. (b) Le style français : l’art et la raison. Imitation de l’Antiquité, mais désir de fonder une esthétique en raison, meilleur garant de l’intemporalité. Expliquer le monde par la raison, imposer un ordre à la nature. En architecture, style épuré, lignes droites, courbes nettes et régulières, recours à la symétrie. En peinture, la nature doit être domestiquée, les expressions sereines du visages et le décor paysager représenté avec précision

pas être compromis par certaines formes de division du travail et si enfin sans ces divisions du travail les hommes seraient pour autant plus unis, proches. I. Si le travail implique la possession continue de la nature, face à la multitude de ses besoins, la parcimonie de la nature, l’homme (prométhéen) ne peut répondre, seul, à l’ensemble de ses besoins. D’où l’idée d’une coopération nécessaire des hommes dans le travail et d’une division/spécialisation du travail ( de l’œuvre). S’inspirant

incomparable à quoi que ce soit d'autre qu'elle-même, qui n'est pas au service de l'usage, mais dont tout le sens est de procurer une satisfaction d'ordre esthétique. Cela ne signifie pas, bien sûr, qu'une œuvre d'art est inimitable, mais que cette imitation ne présente aucun intérêt : on peut peindre comme Picasso, mais une telle reproduction ôte à l'œuvre toute vraie valeur esthétique. 3. L'absence de finalité des œuvres La différence qui sépare l'œuvre de l'objet peut selon Kant être pensée comme

UFR Langues et Civilisations Département des études ibériques et ibéro-américaines Année Universitaire 2010 - 2011 1ère année de Licence d’Espagnol Devoir n° 1 UE : 1L23U5 (au choix avec N° 2) Date de remise du devoir : 25 mars 2011 Nature du devoir : Nom du correcteur : Synthèse de documents sur l’art Mme BLOCH Béatrice N.B. Vous pouvez choisir le sujet de devoir N° 1 ou N° 2 Argumentation : travail sur la Synthèse En classe, nous travaillons sur le texte de Daniel Arasse, on