Hegel La Vengeance

public. C’est a partir des premières formes d’assemblés, que va naitre la vanité et le mépris, la honte et l’envie. Non seulement, il va y avoir ses sentiments, mais en plus étant donner qu’on peut être méprisé, il va alors naitre un sentiment de vengeance: chacun va punir le mépris qu’on lui témoigne. Donc les hommes vont devenir des hommes sanguinaire et cruelle (cela n’existe pas au stade de l’isolement, de la solitude). Ce sont les premières intuition de Rousseau, qui va émettre dans ces correspondances

celui-ci va lui apporter un bénéfice quelconque : jouissance corporelle, satisfaction immédiate d’un manque, etc. Il confond donc le bien et les apparences du bien, car en réalité, ce mal va occasionner une souffrance, soit par le remords, soit par la vengeance à laquelle l’action mauvaise peut l’exposer. Par ailleurs, tout désir étant désir de quelque chose qui nous manque, et le mal résidant nécessairement dans un amas de conséquences négatives, désirer le mal signifierait désirer être victime du malheur

. 104 Hegel - problématique 23 : L’histoire peut-elle libérer l’homme ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 105 Rousseau - problématique 24 : La nature est-elle une entrave à la liberté humaine ? . . . . . . . . . . . . . 106 Marx - problématique 25 : Le travail est-il servitude ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 107 Schiller - problématique 26 : L’art est-il un instrument de libération ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 108 Hegel - problématique

esclaves, ou pour la délimitation des terrains de chasse et d’élevage, ou encore pour venger une offense ou pour réparer des torts mais également pour forcer l’admiration. On peut alors ramener à quatre types les guerres archaïques, la défense, la vengeance, l’acquisition ou le maintien de la classe militaire dans la hiérarchie sociale. La propriété, la civilisation et la politique ont-elles ainsi enfanté la guerre ? Deux postulats philosophiques s’affrontent sur la question des causes de la guerre

interne si les délits ne sont pas réprimandés? Pour Kant, la sanction protège la liberté, dans la mesure où le crime et le délit sont un obstacle à la liberté des autres. Ainsi, c'est au nom d'une liberté à rétablir, que la punition est juste. Selon Hegel, si le crime restait impuni, son existence acquerrait une positivité et remplacerait le droit en soi. Ainsi, on ne peut douter d'une nécessité de la justice pénale. Sans elle, ni droits ni libertés ne primeraient dans une société. Mais comment cette

possible. Texte n°15 : Hegel définit ce qu’est un juge : il arbitre pcq il est commis à cet effet. Il est saisi, n’a aucun lien perso avec les partis. Il est impartial. Il distingue l’arbitrage par le juge c’est-à-dire la réparation et la vengeance. Une sté dans laquelle les litiges se règlent par vengeance est ingérable. Une vengeance est injuste pcq celui qui fait justice est partial et évalue les choses par son point de vue perso et ses passions. Quand on se fait vengeance soi-même, on surestime

âges - comme si chaque âge apportait quelque chose de nouveau -, et ce serait l'affaire d'un poète de nous montrer une fois l'homme qui, à deux cents ans d'âge, vivrait véritablement sans conte et sans jeux. ANTHROPOLOGIE A BURKINA-FASSO 1992 HEGEL « En ce qui concerne le "maintien" du corps, ce qui s'offre au premier coup d'œil c'est la station droite de l'homme. Le corps animal court parallèlement au sol. La gueule et l'œil suivent la même direction que l'échine. L'animal ne peut de lui-même

victime ni de l'auteur de l'infraction, ms il essaie d'être entre les 2 et n'a pas pr fction d'exercer la vengeance. Texte 16 : Hegel Si celui qui a subi l'injustice la répare, il ressentira la réparation comme une nouvelle offense, une vengeance. Sentiment d'injustice => désir de vengeance infinie inexpiable : des vengeances s'ajoutent à de nouvelles vengeances, etc... La vengeance est une institution sociale, dans certains Etats (Albanie par ex) : enfants passent ttes leurs enfances ds

des hommes et discutent entre eux, ont un chef, se marient etc. On appelle cette forme de religiosité : l’animisme. Terme qui vient d’ « anima », l’âme. L’animisme prête une âme à tout ce qui existe (nuages, ustensiles, rivières etc). {cf Hume ; Hegel ; Comte} ° Après le stade animiste, les religions condensent leur attention et leur réflexion sur quelques entités plus particulières et plus générales qui concentrent des pouvoirs plus étendus et déjà plus abstraits. La religion devient polythéiste

ferme pas les portes de la diplomatie. Loi de montée aux extrêmes Alors que Hegel situe les antagonismes « Guerre ou Paix », dans une oscillation animée entre opposition et réciprocité, Clausewitz, après ses études sur les guerres napoléoniennes, adopte un point de vue plus tranché et affirme que la guerre résulte d'une montée aux extrêmes (vers la guerre sans merci). La conscience malheureuse de Hegel n’était qu’une manière de prendre acte du fait que les hommes sont désormais identiques