Hegel La Vengeance

liberté, et mène au désordre ---> cercle vicieux, l'injustice ne peut pas mener à l'ordre. 2) Tolérer une injustice, c'est s'impliquer moralement : hegel " aussi bien le droit qui prend la forme de la vengeance constitue à son tour une nouvelle offense, n'est senti que comme conduite individuelle et provoque, inexpiablement, à l'infini , de nouvelles vengeances ." pour être juste, on ne doit pas être arbitraire. être arbitraire c'est tolérer l'injuste . Responsabilité morale . Goethe : " quand bien même

législateur; l'autre, la commodité du souverain; l'autre, la coutume présente, et c'est le plus sûr : rien, suivant la seule raison, n'est juste de soi ; tout branle avec le temps. Pascal, les pensées, (III.Misère) Sujet 11 : La vengeance se distingue de la punition. Hegel, Propédeutique philosophique. Sujet 12 : Faut-il rendre l'injustice pour l'injustice ? (problématique posée avec force dans l'Orestie d'Eschyle) - Voir une analyse de ce sujet ICI Sujet 13 : Si c'est un devoir absolu de n'être jamais

origine de la comédie. Se moquer des contemporains. Histoire d’Oreste, il a su que son père s’est fait tuer par sa mère. Oreste tu sa mère. Solution de la justice, Oreste est-il coupable ? Qui rend la justice ? La cité. Déesse de la colère, de la vengeance : Erilyes. C’est le politique et donc c’est la cité qui peut rendre la justice. Les déesses de la colère deviennent alors des Euménides, les déesses de la justice. C’est la politique qui les transforme. Eudipe coupable ou innocent ? Eudipe c’est

pas sûr… Voyez la pensée d’Alain à ce sujet. En revanche on peut se demander s’il n’y a pas de pires maux pour l’homme que la guerre ? Imaginer la réponse que donneraient à cette question  des individus aussi différents que  De Gaulle, Trotski ou Hegel. La perte de la liberté et le déshonneur national, la misère du prolétariat, l’assoupissement de l’activité dans le ronronnement des habitudes sont, à chaque fois, pensés comme les pires des maux pour l’humanité. Et par-là même s’ouvre la brèche qui

être : cette punition transforme Dantes, un jeune homme bon et sur le droit chemin, en un homme qui ne cherche que la vengeance : le comte de Montecristo. Ce dernier cherche à réparer les torts qui lui ont été causés, réinstauré une forme d’égalité dans l’injustice qu’il a subi, pour cela il va punir les trois personnes qui lui on fait du mal. Cette punition, qui est surtout une vengeance, semble pourtant plus légitime que la première punition, cette fois-ci légal, qu’il a connu. Ainsi, on en vient à

pas sûr… Voyez la pensée d’Alain à ce sujet. En revanche on peut se demander s’il n’y a pas de pires maux pour l’homme que la guerre ? Imaginer la réponse que donneraient à cette question des individus aussi différents que De Gaulle, Trotski ou Hegel. La perte de la liberté et le déshonneur national, la misère du prolétariat, l’assoupissement de l’activité dans le ronronnement des habitudes sont, à chaque fois, pensés comme les pires des maux pour l’humanité. Et par-là même s’ouvre la brèche qui

intolérable. Dans un premier temps, nous allons voir une violence justifiée par le pouvoir du souverain. Tout d’abord, la violence contre le souverain peut apporter certaines choses au peuple. La violence ainsi que le mal peuvent être considérés, selon Hegel, comme des moyens pour le progrès de se réaliser. Par exemple, pour la conquête de Napoléon, la violence a été un moyen nécessaire dans le progrès de la liberté. La présence du mal n’invalide pas l’idée d’un progrès dans l’histoire : le mal est un

modalités particulières s’exerce-t-il ? I] Existe-t-il un droit de punir ? II] Sur quoi ce droit est-il fondé ? III] Comment doit-il s’exercer ? I] Existe-t-il un droit de punir ? 1) Peut-on parler d’un droit de punir » ? Est-ce un droit ? Hegel, comme avant lui Kant, a cherché à montrer que l’idée de punition infligée à celui qui a commis un crime ou un délit, donc, qui a attenté aux lois, est impliquée dans le concept même de droit. La notion de punition appartient au domaine du droit, car

dans le corps des ondes de chaleur, des émotions, qui s'éteignent doucement. Et, comme la raison seule ne suffit pas à l'action et à la vie, «comme l'émotion signifie avant tout création», les désirs sont donc positifs pour celui qui les vit. Pour Hegel, les désirs -même excessifs- forment une véritable force de l'âme, une force à l'origine de tout ce qui s'est fait de grand dans l'histoire. Ainsi, les désirs sont la vie même. Sagesse et raison ne permettent que de survivre. -L'homme passionné

c’est cet autre qui est le but de son action, c’est de cet autre, c’est de la reconnaissance par cet autre que dépendent sa valeur et sa réalité humaine, c’est dans cet autre que se condense le sens de sa vie. »  Kojève, Introduction à la lecture de Hegel.                Sartre a voulu montrer que l’homme n’est jamais enfermé dans son intériorité et qu’au contraire, il est toujours livré à autrui. L’expérience du regard est en ce sens essentielle car c’est celui-ci qui témoigne de l’existence d’autrui