Hegel Vengeance

parents et les proches de la victime souhaitent cette mort, par réaction naturelle de l'être humain blessé, je le comprends, je le conçois. Mais c'est une réaction humaine, naturelle. Or tout le progrès historique de la justice a été de dépasser la vengeance privée. Et comment la dépasser, sinon d'abord en refusant la loi du talion? [...] Le choix qui s'offre à vos consciences est donc clair : ou notre société refuse une justice qui tue et accepte d'assumer, au nom de ses valeurs fondamentales - celles

Sujet de dissertation Un acte de justice ne risque-t-il pas d’être un acte de vengeance ? Analyse du sujet Le terme justice renvoie essentiellement dans ce sujet à la justice pénale : dans nos sociétés occidentales modernes, celle-ci consiste en un ensemble d’institutions dépendant de cette entité politique qu’est l’Etat de droit. Un acte de justice se situe toujours dans un tel cadre institutionnel. Emanant de personnes qualifiées et compétentes – les magistrats -, s’appuyant sur des lois écrites

La vengeance est un acte d’attaque d'un premier acteur contre un second, motivée par une action antérieure du second, perçue comme négative (concurrence ou agression) par le premier. Il peut s'agir de personnes, de personnes morales, de groupes familiaux ou ethniques, d'institutions, notamment pour le second acteur. Ce comportement n'est pas exclusivement humain, mais c’est chez eux que la vengeance est la plus fréquente. On connaît notamment ces éléphants de cirque qui attaquent leur dresseur qui

bonheur et son avenir. Ses 14 années de prisons l'ont littéralement perverti. Le lien entretenu avec l'Abbé Faria symbolise le dernier lien qui le rattache à l'humanité. Dantès devenu le Comte de Monte-Cristo est totalement submergé par son désir de vengeance, et oublie tout ce que caractérisait l'homme qu'il était avant la prison. Le monde est désormais divisé en deux : Les amis, et les traîtres. Tout est alors mis en oeuvre pour satisfaire son désir vengeur. Chacun de ses ennemis sont éliminés ou

« La vengeance est un plat qui se mange froid », « Elle lui promit la vendetta » (de Maupassant, Une Vendetta). Ces citations expriment le sentiment de vengeance, qui est présent chez de nombreux êtres humains. Celui qui veut se venger veut rétablir la Justice, l’égalité par lui-même. Cette vengeance nous amène à nous demander : Peut-on se faire justice soi-même ? Oui, on peut « physiquement » se faire justice soi-même, mais on ne doit pas le faire. On ne doit pas se faire justice soi-même car

pas" (scène 3). Don Diègue est hors de lui, il doit se venger (scène 4). Il demande à son fils Rodrigue de le venger en combattant le père de Chimène (scène 5). Le dilemme cornélien apparaît avec la conclusion suivante de Rodrigue : "Courons à la vengeance" (scène 6).


ACTE II
Le comte ne regrette pas son geste et ne craint pas la colère du roi (scène 1). Rodrigue retrouve l'offenseur de son père et réussit à le convaincre de se battre avec lui (scène 2). Chimène, en visite chez l'Infante, craint

Il est intolérable que, dans une société démocratique, des innocents soient condamnés à mort à tort. Elle est trop souvent appliquée suite à des procès injustes, voire truqués. 3/ La vengeance. La violence n’est pas la solution contre la violence. La peine de mort, c’est favoriser les envies de vengeance au détriment de la raison. Conclusion : La vie est sacrée, nul ne peut y attenter, même l’État tuer pour montrer qu’il ne faut pas tuer . La peine de mort est la négation même du droit

civilisations. Si nous prenons le temps d’aller un peu plus loin dans cette réflexion, ne verrons-nous pas que tuer une personne déjà enfermée est inutile ? Il est compréhensible pour la famille d’une victime de ressentir une haine violente et un désir de vengeance contre le meurtrier. Mais est-ce que une vie en prison est réellement meilleure que la mort ? En fin de compte, le coupable devrait avoir à réfléchir à ses actes. Le laisser mourir est peut-être une solution trop facile et ne permet pas la possibilité

crée une instabilité, la justice est là pour rétablir l’équilibre, la stabilité) C) Justice publique et justice privée La justice privée, est la vengeance, les représailles, mais quel que soit le terme qu’on emploi il y a toujours l’idée d’un châtiment qui sera appliquée par la personne ou le groupe qui a été lésée, qui a subi le dommage. Vengeance et justice publique, sont basées sur un sentiment de souffrance consécutive à un acte qui est qualifié comme méfaits, ou à une agression. Ca entraine

Dantès) qu’elle n’allait jamais la trahir, l’abandonner. Elle devait rester fidèle avec lui. Monte-Cristo ne regrette rien parce qu’il veut juste se venger. Durant la nuit où Mercédès est venue voir Monte-Cristo, il n’a cessé de parler de sa vengeance même si cette dernière essayait de faire ravir les vœux qui se sont faits, il y a longtemps. (+argent de Fernand = solution la plus viable) Monte-Cristo, rendu en prison, a perdu tout contact avec le monde et surtout avec Mercédès. On apprend