Heinrich Müller

se dérobe pas à lui » A CAMUS 85-« L’art ne recourt au réel que pour l’abolir et lui substituer une nouvelle réalité » JEAN ROUSSET 86-« L’art n’est jamais un simple miroir de la nature. A tout ce qu’il accueille, il fait subir une métamorphose »  MULLER 87-« L’écrivain n’échappe pas à son environnement social ou culturel : il en est l’émanation .Mais avant tout cela, c’est un  artiste »  FLORENT COUAO ZOTTIS  88-« Le théâtre c’est d’être réel dans l’irréel »  JEAN GIRADOUX 89-« Le mensonge vrai

Dortmund et des mineurs. La décision est prise de manière très spontanée, ce qui explique que personne n'a pensé à chercher un nom pour ce nouveau club. Finalement, on opte pour « Borussia », le nom de la bière servie au café du coin. Dans la foulée, Heinrich Unrger devint le premier président du Borussia Dortmund. Dans les années 1930, le club de la Ruhr allait rapidement devenir l'une des équipes les plus en vue d'Allemagne. Pourtant, comme tant d'autres en Allemagne, le club a pratiquement dû repartir

pour lui la SS : chargée de sa garde personnelle, cet « ordre noir », futur instrument de la terreur policière et génocidaire, est une élite beaucoup plus dévouée à la personne même du Führer que les SA. Hitler a toute confiance dans « le fidèle Heinrich », comme il qualifie cet exécutant à l’obéissance aveugle, qui lui voue une admiration notoirement fanatique. Hitler, dont le train de vie personnel ne cesse de s'embourgeoiser, s'attache aussi à se rendre respectable et rassurant aux yeux des

Hitler termine en effet sa lettre avec une remarque selon laquelle les juifs « sont en effet les forces motrices de la révolution »[80]. Orateur charismatique du parti nazi (1919–1922) Quelques poses d'Adolf Hitler en train de discourir, photos de Heinrich Hoffmann, en 1930. Début septembre 1919, Hitler est chargé de surveiller un groupuscule politique ultra-nationaliste, le Parti ouvrier allemand, fondé moins d'un an plus tôt par Anton Drexler. À la fin d'une réunion dans une brasserie de Munich

d’accord de souligner devant la classe qu’il était un peintre médiocre. Ce dernier dit avoir admiré trois de ces toiles chez le Comte de Beaumont et celle du dictateur vierge, l’avait impressionnée. « «Une vie, ça ne se fait pas tout seul, continua Heinrich. Ce n’est pas vous qui vous la donnez. Ce n’est pas vous qui choisissez vos dons. Vous pouvez croire que vous êtes bon pour la musique mais la peinture vous préfère et ce sont les autres qui vous apprennent votre vérité.» Le monde vous reconnait

pensée correcte : le nationalisme et l’antibolchevique.» P 251-254 Dès lors, Hitler et les survivants de la guerre eurent des cours d’histoire politique et économique. Ils avaient un professeur d’université, l’historien Karl Alexander von Müller. Alors qu’il s’apprêtait à quitter l’amphithéâtre, un attroupement attira son attention. C'est là, qu’il vit Hitler en action, haranguant à voix basse plusieurs étudiants. De fait, il évoquait sa haine du juif et trouvait dans l’assemblée restreinte

fées, Johann ne soit pas l’imitation de quelque chose, mais qui aille plus loin en Heinrich Füssli (1741-1825) créant quelque chose de totalement original pour une civilisation nouvelle. On l'aperçoit aussi dans les formes les plus inattendues comme avec le retour à l’historicisme qui n'est autre qu'un moyen d’évasion[4] . Art nouveau 2 Les prémices de cet art sont perceptibles chez un peintre comme Johann Heinrich Füssli dont la dimension onirique de la peinture contient tout entier le thème

et l’emprisonnement de Hitler, la situation du parti nazi semblait presque désespéré. Les groupes paramilitaires s’étaient dispersés dans le plus grand désordre, et leur armes avaient été confisquées par les autorités. Le nouveau gouvernement de Heinrich Held dirigeant du parti populaire bavarois. Le séparatisme bavarois et les conspirations nationaliste cédèrent la place à une politique régionale plus conventionnelle. La situation s’apaisa avec le recul de l’hyperinflation et la mise en place de

années 1860, l’apparition des collections dans l’édition jeunesse dynamise la production. Hachette lance les « Albums Trim » avec Pierre l’ébouriffé, joyeuses histoires et images drolatiques, adapté par Louis Ratisbonne (Trim) du Struwwelpeter que Heinrich Hoffmann, un psychiatre allemand, avait écrit pour son fils. En 1862, c’est au tour d’Hetzel d’inaugurer la collection dont il sera le principal auteur, les « Albums Stahl », avec La journée de Mlle Lili, illustrée par Lorenz Frœlich (1820-1908)

l’Art Brut, « centre de recherche et d’exposition », s’ouvre en novembre 1947 dans le sous-sol de la Galerie Drouin. Des œuvres d’ALOÏSE CORBAZ, MIGUEL HERNÁNDEZ, HENRI SALINGARDES, FLEURY JOSEPH CRÉPIN, ainsi que des sculptures anonymes, les BARBUS MÜLLER, sont présentées et pour certaines proposées à la vente. À l’automne 1948, DUBUFFET crée une association type loi 1901, intitulée Compagnie de l’Art Brut, dont le bureau est composé de CHARLES RATTON, MICHEL TAPIÉ, ANDRÉ BRETON, JEAN PAULHAN, EDMOND