Henri II de Montmorency

du cru et le Parlement de Toulouse ne bougent pas. Juillet : Le gouverneur du Languedoc Henri II de Montmorency, partisan de Gaston d'Orléans, se révolte. Il est vaincu et fait prisonnier à Castelnaudary (1er septembre) par le maréchal Schomberg. 29 septembre : Le roi pardonne à Béziers à Monsieur et à ses serviteurs. Gaston d'Orléans se soumet, puis s’enfuit à Bruxelles (6 novembre). 30 octobre : Montmorency est condamné à mort à Toulouse par sentence du parlement de la ville. Les États du Languedoc

conduit à la prison du Châtelet, il y vivra de 1623 à 1625 et y écrira quelques-unes de ses pièces les plus durables : la «Lettre de Théophile à son frère» et la «Maison de Sylvie», suite de dix odes commencées à Chantilly chez son protecteur, Henri de Montmorency. Grâce à l'intervention de son ami bien-aimé, des Barreaux, et à la maladresse de ses adversaires, Théophile échappera au bûcher. Banni, puis gracié, il mourra des suites de sa captivité, un an après sa libération, à l'âge de trente-six ans

Celles-ci se font principalement autour des destructions iconoclastes commises par les protestants sur les objets du rituel romain considérés comme sacrés par les catholiques ; reliques, Saint-Sacrement et statues de dévotion. À la fin du règne d’Henri II, le conflit se politise et à la mort du roi en 1559, la noblesse organise ses réseaux en fonction de ses accointances religieuses. Les guerres de religion commencent en 1562 et se poursuivent entrecoupées de périodes de paix jusqu’en 1599, avec la mise

duchesse d'Alençon, sa sœur François (?-1536), fils aîné de François I Le Roi, Henri II (1519-1559), deuxième fils de François I, roi de la France 1547-155Dans le livre : Il est le roi pour la plupart du roman avant qu'il ne soit fatalement blessé lors d'un tournoi vers la fin. Le duc d'Orléans (?-1545), troisième fils de François I Madame [Marguerite de France ou de Valois ] (1523-1574), fille de François I La sœur de Henri II; troisième et dernière fille de François Ier. Elle a épousé le duc de Savoie

de François I -Le Roi, Henri II (1519-1559),

sur une terrible guerre civile. Les premières persécutions contre ceux qui adhèrent aux idées nouvelles commencent dans les années 15201. Mais il faut attendre les années 1540 et 1550, pour voir le développement des clivages. À la fin du règne d'Henri II, le conflit se politise. Les guerres de religion commencent en 1562 et se poursuivent entrecoupées de périodes de paix jusqu'en 1598, avec la mise en place de l'Édit de Nantes. Les guerres de religion trouvent un prolongement aux xviie (siège de La

Les Montmorency – Châtillon Les Montmorency - Châtillon était une famille française de grande puissance durant les guerres de religions, conflits qui eurent lieu en Europe et opposèrent protestants et catholiques. Il s’agit d’une des familles les plus anciennes de France. La raison de sa puissance est l’extraordinaire fortune du connétable Anne de Montmorency qui exerçait une influence très importante sur le roi Henri II à cette époque. Cette famille contrôlait le centre de la France alors que

historique) il a été sous les ordres de François I et après d’Henri II. Nommé maréchal de la France et après amiral, il a commandé, dans le règne d’Henri II, les troupes contre l’empereur. 3) Cardinal de Lorraine- Charles de Lorraine : connu premièrement comme cardinal de Guise. Rôle important pendant les guerres de religion. Il participa au Concile de Trento. Il s’opposa à Catherine de Médicis. 4) Cardinal de Tournon- ambassadeur d’Henri II, il a passé 8 ans en Italie. Il est revenu en France après l’appel

sur une terrible guerre civile. Les premières persécutions contre ceux qui adhèrent aux idées nouvelles commencent dans les années 15201. Mais il faut attendre les années 1540 et 1550, pour voir le développement des clivages. À la fin du règne d'Henri II, le conflit se politise. Les guerres de religion commencent en 1562et se poursuivent entrecoupées de périodes de paix jusqu'en 1598, avec la mise en place de l'Édit de Nantes. Les guerres de religion trouvent un prolongement aux XVIIe (siège de La Rochelle

crée en 1527 le Conseil étroit, limité à 9 conseillers et grands officiers. [8] Si la Cour souveraine semble momentanément écartée du pouvoir sous les règnes autoritaires de François Ier et de son successeur Henri II, elle réapparaît dès 1560, soit une année à peine après la mort d’Henri II. A cette date, elle ne marque qu’une adhésion très timide et discrète au Conseil, mais dès 1561, les Etats généraux font entendre leurs revendications. Tout d’abord, ils demandent le droit de choisir les membres