Henriette d'Angleterre

EXAMEN DU REVET SUPERIEUR BOSSUE ORAISON D'HENRIETTE ÉDITION FUNÈBRE D'ANGLETERRE ANNOTÉE PAR FRÉDÉRIC GODEFROY Auteur ol'Histoire Littérature d dela l française epuiseXVIesiècleusqu'à d j nosjoiirs OUVRAGE PAR L'ACADÉMIE COURONNE FHANÇAISE PARIS GAUME ET Cie, EDITEURS 3, RUE DE L'ABBAYE,3 1882 BOSSUET ORAISON FUNÈBRE DK HENRIETTE D'ANGLETERRE GAUMEet Gie éditeurs, 3, rue de l'Abbbaye,-àParis LE NOUYElU: TESTAMENT CHRIST: nouvelle DE N. S; JÉSUS Traduction

Saint Syran s’installe à port-royal. En 1650, sa mère se remarie avec le chevalier Renaud de Sévigné. En 1651, Marie-Madeleine devient demoiselle d’honneur d’Anne d’ Autriche. Elle se lie avec le poète Ménage. En 1661, Marie Madeleine suit Henriette d’Angleterre, devenue Madame, à la cour ; elle assiste aux fêtes de Vaux chez Fouquet. Donc elle connait les habitudes de la cour, ce qui lui aidera à écrire son livre. Elle va ensuite à Versailles avec le Roi et la cour, puis fait la rencontre La Rochefoucauld

Porus (roi dans les Indes) et Taxile (roi dans les Indes) pour l'amour d'Axiane (Reine d’une autre partie des Indes). Cette pièce connaîtra un franc succès. Le triomphe de la tragédie « Andromaque », placée sous la protection de Madame Henriette d'Angleterre, (1667) assure définitivement sa réputation et l'on commence à le présenter comme le seul digne de pouvoir être un jour comparé à Corneille. Après une unique comédie, « les Plaideurs », en 1668, il donne successivement « Britannicus » (1669)

Il s'agit d'un texte de Jacques-Bénigne Bossuet, l'Oraison funèbre d'Henriette d'Angleterre. Jacques-Bénigne Bossuet est un homme d'Église il devient évêque en 1669 et écrivain français du XVIIe siècle. Il prononce l'oraison funèbre de la duchesse d'Orléans, Henriette, morte à 26 ans en 1670. Une oraison funèbre est un discours solennel prononcé pour honorer la mémoire de quelque défunt. Comment l'auteur réussit t-il à rendre ce malheur comme une terrible tragédie ? Dans une première partie nous

littéraire et apprend l’italien, latin et est introduit dans les salons littéraires en vogue. S'introduit après son mariage dans la haute société de la cours et tiens un salon à paris jusqu'à la mort de son mari. Compte parmi ses ami(e)s : Henriette d'Angleterre (femme du frère de Louis XIV), le philosophe Arnauld et François de La Rochefoucauld Grâce à qui elle rencontre notamment les dramaturges Jean Racine, Pierre Corneille et Nicolas Boileau. La Princesse de Clèves, la plus célèbre de ces

une certaine renommée dans les milieux mondains. Elle se lie d'amitié avec Henriette d'Angleterre, la future duchesse d'Orléans. Elle côtoie Segrais, un poète qui entrera à l'Académie française en 1662. Par l'intermédiaire de Mme de Sablé, Mme de La Fayette rencontre le Grand Arnauld et La Rochefoucauld. Elle fréquente à l'Hôtel de Nevers, un cercle étroit. En 1661, son amie Henriette d'Angleterre se marie avec Philippe d'Orléans (Monsieur, frère du roi). Elle accède ainsi

important joué par les femmes en littérature et dans la vie culturelle du XVIIe siècle. Elle rencontre vers 1660 le philosophe Arnauld ainsi que François de La Rochefoucauld, avec qui elle se lie d'amitié. Grâce à son amie, Henriette d’Angleterre qui épouse le frère du roi, elle pénètre dans l’intimité de la cour. C'est ainsi qu'elle rédige la princesse de Clèves inaugurant la tradition du poème d'analyse grâce à son souci de vraisemblance, l'introspection des personnages et une construction

Racine. Racine publie alors deux pamphlets contre Port Royal et ses anciens maîtres qui désapprouvent fortement sa carrière théâtrale, il se fache avec Port Royal. Andromaque (1667) a eu un énorme succès, placée sous la protection de Madame Henriette d'Angleterre, qui assure sa réputation. Après une unique comédie, les Plaideurs, en 1668, il revient définitivement à la tragédie et donne successivement Britannicus (1669), Bérénice (1670), qui est l'occasion d'une joute théâtrale avec Corneille dont

noblesse s ; elle aura deux enfants avec son mari. Elle fréquente le cercle janséniste de l'Hôtel de Nevers et rencontre vers 1660 le philosophe Arnauld et François de La Rochefoucauld, avec qui elle se lie d’amitié. Grâce à son amitié avec Henriette d’Angleterre qui épouse le frère du roi, elle pénètre l’intimité de la cour. En 1662, elle publie anonymement ‘La Princesse de Montpensier’ et en 1670, ‘Zaïde’ qu’elle écrit en collaboration avec La Rochefoucauld et le poète Segrais. En 1678 parait son

origine. Après un court séjour auprès de son mari en Auvergne, de retour à Paris, elle se fixe dans son prestigieux hôtel de la rue Vaugirard et y ouvre son propre salon. Elle a comme amis sa cousine, Mme de Sévigné (cf. biographie et textes), Henriette d'Angleterre, la belle-sœur du roi, et surtout, La Rochefoucauld (cf. biographie et textes), son ami le plus dévoué, mais aussi un collaborateur car, poussée par deux de ces amis, elle s'est mise à écrire.


L'écrivain discret
En tant que femme noble,