Heptasyllabe

apparaît comme une évidence absolue d'autant plus qu'il est mis en valeur par son détachement. B. Le rythme Il est étroitement lié à l'anaphore puisqu'il fonctionne à chaque fois avec le même effet d'insistance. Chaque quatrain est formé de : - 3 heptasyllabes - 1 tétrasyllabe martelé par des mots brefs                    ⋄ ouverture sur le monde                   ⋄ toujours relié à une idée fixe, obsédante C. Les sonorités • Quasi-absence des rimes traditionnelles • Eluard préfère le phénomène

rythme même et la coupe des vers, voilà la véritable ponctuation ». Cela peut permettre une libre interprétation du poète pour plusieurs phrases ambiguës. • Aucune métrique particulière. En effet, les vers peuvent autant contenir 7 syllabes (heptasyllabe) que 14 syllabes. • Aucune rime. Ce poème ne comporte aucune sonorité. En effet, l’absence de rimes, d’assonances (répétition d’un même son vocalique) et mêmes d’allitérations (répétition d’une ou plusieurs consonnes) ont font un poème

la perte d'identité * Variété et irrégularité de la métrique. La métrique introduit un élément de variété : diversité des strophes (distiques, quatrains, sizains...), des vers (octosyllabes, décasyllabes, alexandrins, mais aussi vers impairs, heptasyllabes). Le choix est toujours significatif : deux sizains massifs d'octosyllabes (strophe III) traduisent la pesanteur du temps. * Variété de l'énonciation. Apollinaire s'invente des interlocuteurs pour lutter contre la solitude, il « sonorise » sa

premier vers. L’enjambement produit un effet d’allongement, de prolongement, de développement, d’amplification. Harmonie imitative : répétition de sons qui peuvent suggérer un bruit particulier. V. Onomatopée*, assonance*, allitération* Heptasyllabe: c'est un vers de 7 syllabes (7 pieds) Hexasyllabe: c'est un vers de 6 syllabes (6 pieds) Masculines (rimes masculines) : V. Rimes Mesure : V. Rythme Mètre : longueur du vers, c’est-à-dire son nombre de syllabes (pieds). Exemples

du mal, de Baudelaire. Poème inspiré par Marie Daubrun : l'amour est ici spirituel et non sensuel. Il ne s'agit pas d'un voyage mais d'une promesse de voyage épanouissant le rêve. Composition originale : 3 strophes séparées par un refrain, heptasyllabes et pentasyllabes : le poème présente une forte musicalité. - Imaginaire, souhait de voyage   - Le lieu est idéal parce qu'imaginaire.   - Correspondance entre la femme aimée et le paysage qui permet une évasion   - Lointain, chargé d'exotisme

rimes embrassées, suffisante et féminine. -vers 35 et 36 : rimes plates, suffisante et masculine. -vers 37 à 40 : rimes embrassées, riche et féminine. -vers 41 et 42 : rimes plates, pauvre et masculine. Il y a des pentasyllabes et heptasyllabes. Il est construit en trois strophes séparées par un refrain. Il y a une présence d’une forte musicalité. Analyse du sens de chaque strophe : Première strophe : Un lieu magique. C’est imaginaire, un souhait d’un voyage idéal correspondant à

des mots un certain nombre de fois Personnification : donner une caractéristique humaine à quelque chose qui ne l’est pas. Syllabes : 1 : monosyllabe 2 : dissyllabe 3 : trissyllabe 4 : quadrisyllabe 5 : pentasyllabe 6 : hexasyllabe 7 : heptasyllabe 8 : octosyllabe 9 : ennéasyllabe 10 : décasyllabe 11 : hendécasyllabe 12 : alexandrin Strophes : 1 : monostiche 2 : distique 3 : tercet 4 : quatrain 5 : quintil 6 : sixain 7 : septain 8 : huitain 9 : neuvain 10 : dizain 11 : onzain 12 : douzain

chef-d'oeuve incontournablePrésentation textecompo très originale = 3 strophes similaires, douzains hétérométriques = triptyque puis refrain.1e + dernière = lieu exotique, extérieur ouvertstrophe centrale = invitat°Écrit en vers impairs (pentasyllabe + heptasyllabe) problématique→ que peut-on dire du voyage proposé par le poète ?annonce du plan → Il s'adresse à la femme aimée et l'invite à un voyage particulier, à la fois réel et imaginaire (I)

(fouille, interrogatoire, matricule...)- perte d'identité, déshumanisation : du prénom au vers 4 "Guillaume" au numéro mystérieux (matricule, cellule...) : v.11-12 "je suis le quinze de la / Onzième" + rupture renforcée par l'alternance vers long (heptasyllabe) et très court (dissyllabe) v. 9 à 12 et soulignée par les rejets v.10 et 12+ négation v.9-10 "non...ne...plus"+ "se mettre nu" : sens propre et figuré : laisser ses affaires personnelles, laisser son nom, mettre un uniforme, mais aussi répondre

et l’hirondelle. La Fontaine, en faisant référence à une époque antique, utilise des alexandrins (vers traditionnels) : « Tous regardaient ailleurs ; il en vit s’arrêter », « Nous sommes tous d’Athènes en ce point ; et moi-même » mais aussi des heptasyllabes tout comme dans La Cigale et la Fourmi : «Elle alla crier famine », « A ce reproche, l’assemblée ». • Anouilh a modernisé son modèle tout d’abord en faisant disparaître la majuscule du nom de tous les personnages «cigale », « renard », « serpent