Heptasyllabe

s' évader ou de s'enfuir. L'humour peut tout résoudre et peut même rendre les sourires. Et puis comme là dit Jean Lescure « rire est une heureuse ruse, uses-en » Le Glouton Nous avons choisis se poème pour sa particularité d'être écrit en heptasyllabe ( 7 syllabes ). Jean de la Fontaine critique les gloutons, qui ne pensent qu'a mangé même à leurs mort. À son souper un glouton Commande que l'on apprête Pour lui seul un esturgeon. Il soupe, il crève ; on y court : On lui donne maints

artificiels. A la lecture du titre, on sait déjà ses tentatives vouées à l'échec et ce poème prend donc sa place dans "Spleen et Idéal" comme relevant de la tonalité du spleen. Du point de vue de la forme, on pourra noter l'utilisation très rare des heptasyllabes mélangées aux plus classiques alexandrins organisés en 4 quintils.          La présence de la mort     Le champs lexical de la mort est présent tout au long du texte. "Soleil couchant", "nébuleux", "noirs et mornes", "poison", "gouffres amers"

vers, chacune aux rimes embrassées. Les strophes sont séparées l’une de l’autre par un distique (deux vers) qui se répète au total trois fois. Ce distique comporte cinq syllabes (pentasyllabes) à rimes embrassés tous deux encadrées d’un vers de heptasyllabes qui riment entre eux. Le schéma de rime est donc le suivant: aabccb ddeffe. Le distique a la fonction d’un refrain et contient les mots clés décrivant la destination du voyage. Les strophes peuvent être divisées en deux unités semblables dont chacune

extrait des Fêtes galantes, le poète laisse cette dernière syllabe absente, marquer l’oreille. Il y a un manque, presque physique : «  Voix de notre désespoir, le rossignol chantera ». Cette esthétique de l’inachèvement est si forte, que les heptasyllabes créent un silence. Il manque un complément : qu’est ce que le Rossignol chantera ? Il chantera, point. Lorsqu’on parle de musicalité chez Verlaine, on ne parle pas seulement de mélodie. Le rythme est une composante indéniable de la musique. D’illustres

suivies). Le vers brisé crée une instabilité dans une structure régulière. Cette 1 instabilité se retrouve dans le refrain qui revient par trois fois, en rimes plates comme les couplets. En effet, ce refrain est d’un rythme impair (7 syllabes - heptasyllabes). On note ici l’influence de Verlaine et le désir de souligner l’instabilité que lui procure la mélancolie éprouvée sur le pont Mirabeau, par l’usage du rythme impair (« De la musique avant toute chose / Et pour cela préfère l’impair » (« Art

Deux octosyllabes. b. Un alexandrin. c. Un alexandrin suivi d’un décasyllabe. d. Quatre heptasyllabes. e. Trois heptasyllabes. L’ É c o l e d e s l e tt r e s 2 0 0 9 - 2 010 , n ° 2 13 On pourra faire noter sous forme de tableau récapitulatif les noms donnés aux différentes mesures : LES Nombre de syllabes 12 10 8 7 6 PRINCIPAUX TYPES DE VERS Type de vers Alexandrin Décasyllabe Octosyllabe Heptasyllabe Hexasyllabe 3. L’hétérométrie L’exercice 2 a pour objectif de faire comprendre la

sa liaison. 3ème strophe : la fuite de l'amour. 4ème strophe : la fuite du temps. La Seine rappelle au poète son amour perdu. 4 quatrains et refrain sous forme de distique (2 petit vers qui reviennent toujours). Refrain : vers impaires, heptasyllabes. 1er vers repris à la fin = circularité du poème. Nombreuses répétition dont le refrain donne une impression de monotonie, de plainte, et rapproche ce texte d'une complainte. Vient de l'absence de ponctuation et du décasyllabe qui ne permet pas

MUSICALITE : Il présente des vers rimé en rime croisées, ces rimes étant réduite aux nombres de deux :en (el) et en (a). Ceci permet de mémoriser le poème plus facilement. Ce sont des vers réguliers, en 7 syllabes : on les appelle donc des heptasyllabes. L’heptasyllabe donne lui aussi une certaines musicalité au texte. Avec ces éléments ajoutés au refrain, aux rimes, aux allitérations, anaphores et répétitions, l’ensemble du poème s’apparente donc bien à une chanson. STRUCTURE DU POEME :

compare à un paysage, à la nature. Dans la strophe2, il décrit la chambre, sa chambre idéale où il aimerait emmener cette femme. Dans la strophe3, il décrit la ville. Ce poème est composé de 3 strophes (pentasyllabes), séparé par un refrain (heptasyllabes). Mon/ en/fant, / ma/ sœur/ (5 pieds) Refrain : Là, /tout /n'est /qu'or/dre et /beau/té, / (7 pieds) Ce poème appartient à une forme fixe et présente une forte musicalité, non seulement à l’intérieur, mais aussi à l’extérieur (rimes) du poème

est rêvé, fantasmé. C.L du rêve : songe, dormir, le monde s’endort. 2- Un lyrisme nouveau 1) la musicalité vers : propre à la chanson, au refrain. Rythme des chansons douces voir berceuse. 2 pentasyllabes en rimes masculines suivie d’un heptasyllabe féminine. Le lyrisme est lié à un rythme ternaire : « luxe, calme et volupté » Musicalité traduite par : - assonances en « en » - rimes internes, « Mêlant leurs odeurs » - grande musicalité : rime riche - Intertextualité : la chanson de