Herméneutique

violence et la redondance de l’interprétation (la consonance narrative imposée à la dissonance temporelle, un éclatement exagéré de l’expérience temporelle, de son incommunicabilité). Risque de cercle vicieux entre temps et récit. « Le cercle herméneutique du récit et du temps ne cesse ainsi de renaître du cercle que forment les stades de la mimesis. » Dans La métaphore vive, il s’agissait d’exprimer le fait que la poésie, par son muthos, re-décrit le monde. Dans Temps et récit, c’est expliquer

ne peuvent nous fournir de vues objectives de la réalité. La « manière absolue de voir les choses » dont parla Gustave Flaubert ne se réalisera jamais. Il existe donc un problème herméneutique dans la représentation de la réalité, même s’il s’agit de la réalité qui nous entoure au quotidien. Ce problème herméneutique s’aggrave encore si nous essayons de reconnaître la réalité d’une civilisation étrangère à la nôtre. Et ce n’est certainement pas un hasard si c’est ce même Flaubert qui, après avoir

disciples → pose une question et répond par une autre question , il permettait à ses élèves et à lui-même de progresser dans la réflexion →démarche de Socrate envers ses élèvesDémarche herméneutique : Herméneutique → théorie de l'interprétation et de la réception de l’œuvre → questionne la textualité en elle – même , et son rapport à l'auteur Dans l’écriture sainte, on lit traditionnellement quatre sens différents

disjonctif, au contraire, « limite la genèse textuelle à la diégèse même » et peut dès lors présenter un tracé continu, ininterrompu (exemple : l’Histoire de Miss Jenny de Mme Riccoboni). La conclusion s’achève en évoquant les nouvelles prémisses herméneutiques qu’implique la lecture d’un filigrane textuel. Un rapprochement est établi avec la théorie du texte élaborée par l’herméneutique, selon laquelle les parties éclairent le tout et le tout est éclairé par les différentes parties, et plus particulièrement

du xixe siècle en Amérique du Nord dans les milieux protestants. La lecture fondamentaliste est refusée par la majorité des Églises chrétiennes actuelles, qui rejettent d'ailleurs le créationnisme littéraliste pour ces raisons, privilégiant une lecture herméneutique, c'est-à-dire interprétative. La plupart des traditions religieuses monothéistes (judaïsme, christianisme et islam), postulent en revanche, de manières diverses, la création du monde par Dieu. Pour les catholiques, la création de l'univers par

remarques perso c’est moi qui souligne quand en gras « j’étais le propre objet de mon étude » (Héraclite ) Introduction Hans Robert Jauss / Question de Dieu « Adam, où es-tu » : question paradoxale car Créateur omniscient, dans Pour une Herméneutique littéraire suggère que question posée pousse Adam à interroger la position de son être, signification de son geste, essence de sa personne.  dans décalage entre situation et question de la situation, existe une frange inquiétante d’interrogation :

« l’œil écoute ». _ Cette synesthésie est également reprise par Braunschweig qui écrit que « la scénographie favorise l’écoute par les yeux ». L’œil écoute au sens où il saisit un sens, se livre à un travail de déchiffrage. A une véritable herméneutique de l’image dans laquelle se rencontre la parole et le visible. L’œil est en quête de signe et de symboles. Ainsi, la parole et l’image sont intiment liés. Il serait intéressant de privilégier une approche phénoménologique du théatre. En effet

littérarité sous des fonctions sociales positives ni fétichiser le littéraire comme étant d’une essence à part. En maintenant la tension ou la problématique de l’esthétique et du social, elle se démarque à la fois des approches purement formelles( ou herméneutiques( science de la critique et de l’interprétation des livres sacrés), déconstructionnistes …) du texte littéraire et des approches purement contextuelles, institutionnelles, déterministes. La socialité des textes est analysable dans leurs procédures

substituer la question du sens des mots au problème de l’essence des choses. Le structuralisme et la phénoménologie, sans doute de façons radicalement différentes, vont opposer à cette métaphysique de la représentation une analytique du signe et une herméneutique du sens. 

ce dernier est la négation même d’une sphère publique-politique, est-il complètement étranger au – phénomène de la sécularisation - ? Inversement, le christianisme considéré dans sa problématique théologico-politique, n’offre t-il pas une autre herméneutique de la Modernité séculière, de nature, d’une part, à frayer une autre voie à l’intelligibilité des « retours religieux » sur le mode de l’idéologie, et d’autre part à la mise en œuvre d’une sphère publique-politique ? Les critères arendtien d’analyse