Hérodote

Snéfrou, la pyramide rhomboïdale, a des fondations carrées[3]» C’est deux pyramides, fait d’elles-mêmes une révolution technologique. Maintenant ce qui concerne les pyramides, deux thèses s’affrontent dès l’Antiquité. La première fut rapportée par Hérodote, le premier historien, journaliste et explorateur. Celui-ci mentionna que les égyptiens auraient donc utilisé «des machines faites avec des morceaux de bois court, par lesquelles ils auraient soulevé des blocs de gradin en gradin pour les élever[4]»

français et n’apparurent pour la première fois, empruntés à l’anglais, qu’en 1769. » — Jean-François Lozier, Département d’histoire, Université d’Ottawa1 Premières descriptions: chez les Scythes[modifier | modifier le code] L'historien grec Hérodote est le premier à décrire la scalpation, qui serait selon lui une pratique des guerriers scythes : « Quant à la guerre, voici les usages qu'ils observent. Un Scythe boit du sang du premier homme qu'il renverse, coupe la tête à tous ceux qu'il tue

Vers d’Or qu'on lui attribue sont apocryphes et sont le signe de l'immense développement de la légende formée autour de son nom1. Le néopythagorisme est néanmoins empreint d'une mystique des nombres, déjà présente dans la pensée de Pythagore. Hérodote le mentionne comme « l'un des plus grands esprits de la Grèce, le sage Pythagore »2 ». Il conserve un grand prestige ; Hegel disait qu'il était « le premier maître universel3 ». D'après un écho marquant d’Héraclide du Pont, Pythagore serait le

fonda ensuite sa propre ecole, le Lycée. • Thucydide : est un homme politique et historien Athénien. (-460 av.J.C, entre -400 et -395) Il est l’auteur de "l’Histoire de la Guerre du Péloponnèse", qui raconte cette guerre entre Sparte et Athènes • Herodote : historien grec (-484 à -420 av JC). Il est surnommé le "Père de l'Histoire". C'est également le premier prosateur dont l'œuvre nous soit restée. | |

expédition pour venger son père. Les moyens levés cette fois sont infiniment supérieurs à ceux de -490, Xerxès prépare une flotte de plus de 1200 navires ainsi qu'une armée gigantesque pour l'époque, dont la taille est difficile à estimer aujourd'hui, Hérodote parle de 2 millions d’hommes dans son travail mais ce nombre est évidemment très largement abusif. On peut imaginer la crainte que les cités grecques ressentirent en apprenant ces préparatifs, mais Athènes se sachant le but premier de cette expédition

(412–485) conclut la polémique dans sa Vie d'Homère, en disant que celui-ci fut avant tout un « citoyen du monde ». En fait, nous ne savons rien sur la vie d'Homère. Huit biographies anciennes nous sont parvenues, faussement attribuées à Plutarque et Hérodote : elles s'expliquent probablement par l'« horreur du vide » des biographes grecs[18]. Elles datent pour les plus vieilles de l'époque hellénistique et regorgent de détails aussi précis que fantaisistes, dont certains remontent à l'époque classique :

français / universitaire, Géographe, à l'origine d'une refondation et d'une démocratisation de la géopolitique. Auteur de La Géographie ça sert d'abord à faire la guerre, 1976 cafe-geo.com/cafe2/article.php3?id_article=104) et fondateur de la revue Hérodote ; il ajoute à la géographie les concepts de territorialité et représentation (idées, perceptions imaginaires collectifs). La géopolitique n'est pas uniquement un " produit " de la géographie " -on ne peut privilégier les seuls facteurs géographiques

Vème siècle, Hérodote, grand historien, est le premier à parcourir et décrire le monde grec dans des Enquêtes (historia en grec -> histoire) XVIème siècle, même après les grandes découvertes de C. Colomb et Magellan la cartographie du globe reste très incertaine Rencontre avec les sauvages -> remise en cause des frontières de l’humanité. Les rituels sauvages (cannibalisme..) fascinent les humanistes. Le sauvage incarne l’innocence, la bonté et la simplicité face à la situation en Europe (Guerre

l'humanité en obligeant l'homme à s'améliorer sans cesse, sans jamais le dédouaner de sa responsabilité l'égard de cette obligation. 2 Chapitre II Subjectivité et objectivité en histoire I) La recherche de l’objectivité en histoire 1) Hérodote (Vème av. J.C) : le père de l’histoire. Son oeuvre demeure la source principale pour l'étude des guerres médiques (guerres opposant les athéniens à l’empire Perse) ; elle se présente comme un ensemble d'enquêtes menées par un esprit soucieux d’expliquer

de ces histoires prétendues est celle que l'on a continué d'attribuer à Hérodote, malgré les doutes et les conjectures de plusieurs savants ; mais on a trouvé piquant, sans doute, que le père de l'histoire eût écrit la vie du père de la poésie, et 1es choses en sont restées là. Quoi qu'il en soit, puisque Strabon n'a pas dédaigné de se faire une autorité de ce roman historique, ni le savant Larcher de le traduire (voy. HÉRODOTE), nous croyons devoir en donner ici une analyse rapide. Un certain Ménalippe