Hévéa

Cned, Histoire-géographie et éducation civique 5e — 21 c c c Séquence 2 Exercice 3 a) Les principales activités qui se développent en Amazonie sont : les exploitations minières (or, diamant, fer,…), les exploitations forestières (Hévéa) et les exploitations agricoles (cultures et pâturage). b) Des paysans sans-terre pauvres venus du Nordeste s’installent en Amazonie. Ainsi de nombreuses villes s’agrandissent (Manaus par exemple) et des villages apparaissent. c) Ce sont les

comprend deux types de clientèle : Les filiales des groupes internationaux (Groupe Grands Comptes) installées sur le territoire ivoirien Les comptes des entreprises exportatrices des matières premières agricoles et minières (binôme café-cacao, hévéa, diamant etc.…) regroupés sous le vocable de Financements Spécialisés (Groupe Produit) Le Pôle Analyste Commercial Entreprises (ACE) améliore les propositions de crédit des CAE et assure la gestion administrative de la relation commerciale des différents

| |GTZ |Coopération Allemande au Développement | |HEVECAM |Hévéa du Cameroun | |KFW |Kreditanstalt für Wiederaufbau (Groupe bancaire allemand) | |MINAS

individuels. Rétention d’huile de vidange (SAPH) Used Oil Retention, SAPH Dans le but de réduire le débit des effluents à traiter avant rejet, il convient de séparer les eaux usées de process des eaux de pluies et de ruissellement ; seules les filiales hévéa et SHB y sont parvenus. PALMCI et SUCRIVOIRE ont réalisé les plans des réseaux des eaux usées et des eaux de process, et évalué les budgets nécessaires pour leur séparation, pour mise en œuvre en 2010. Chez SANIA, l’action devrait être achevée à l’ouverture

l'opinion publique jusqu'alors peut interesser par les problemes coloniaux prend conscience que cette grandeur de la France d'Outre-mer va compter. Economiquement, cette production imperial se traduit par une tres active exploitations industrielles de Hevea, qui est activement exploité. De même l'exploitation des ressources minieres est elle fortement developpés, la meme constation peut etre relevés en Afrique, les cultures exportatrices sont tres activement developpés ( cacao, arachides ), des usines

sucrières (betterave sucrière, canne à sucre, érable, Cocos nucifera, bouleau à papier, Stevia rebaudiana, Palmier de Palmyre, sorgho, Lippia dulcis, Jiaogulan) - production de caoutchouc : l'hévéa - les arbres produisant des hydrocarbures insaturés : hévéa, gutta-percha - les plantes oléagineuses - huile de ricin → polymères (rilsan) - glycérol (sous-produit savonnerie) → acide acrylique → polymères - composés chimiques produits par les biotechnologies : glutamate....?.... 4.2. Le choix des réactions

contractuels. Le principal défi consiste à donner aux agriculteurs pauvres la possibilité de participer à cette expansion, compte tenu des coûts de l’investissement initial et de la longue période qui s’écoule avant la mise en saignée des nouveaux hévéas. Le caoutchouc offre une grande possibilité de diversification, au niveau tant du planteur que du pays. Une certaine imposition de niveau modeste peut se justifier, surtout si elle sert à réduire la pression subie par les cacaoculteurs surtaxés et

officiellement affirmé souvent que le succès de la Côte d'Ivoire repose sur l'agriculture ; en effet, celle-ci occupe une place prépondérante dans l'économie du pays. Les principales ressources proviennent des cultures industrielles (café, cacao, ananas, hévéa, palmiers à huile, coco...) le plus souvent destinées à l'exportation. L'exploitation forestière et la pêche sont aussi des activités très développées. Le secteur industriel comporte surtout des industries agroalimentaires. Si les industries

est totalement impliqué dans le projet. Cette exigence en cote d’ivoire a été concrétisée par le fait que le partenaire technique devrait avoir au moins 34% du capital du consortium. Par ailleurs que ce soit dans les secteurs agro-industriels (hevea, coton, palmier à huile, sucre), énergie, services (télécommunication, hotellerie, banque, transport, etc...) les opérateurs sélectionnés disposaient directement ou en association et ce de manière explicite, d’une longue expérience dans le domaine

l’autoconsommation, sont les aliments de base (le manioc, le maïs, l’arachide, le riz, etc.). L’élevage y est très peu développé. On y retrouve aussi quelques cultures industrielles mais qui sont faiblement développées (café, coton, palmier à huile et hévéa) et n’ont pas d’impact significatif ni sur l’économie de la province ni sur le revenu des ménages. II.3.5. ASPECTS SOCIOCULTURELS a) District de Tshilenge Le district de Tshilenge se caractérise par un sol minier riche en diamant mais relativement