Hilaliens

les plaines et certaines oasis, après ça une bonne moitié du pays fut arabisée, le berbère ne se maintenait plus que dans les montagnes, les plains adjacentes et dans certaines oasis du sud. Les dialectes issus de cette arabisation sont appelés hilaliens. Enfin, il faut noter que l'influx de population depuis le Moyen-Orient n'a jamais été suffisamment important pour arabiser une majorité d'algériens, au maximum ces immigrants moyen-orientaux et leurs descendants peuvent former 15 % à 20 % de

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Aghlabide 800 à 909 4.5.5 Dynastie Fatimide (909 à 972) 4.5.6 Dynastie Maghraoua de 970 à 1068 4.5.7 Dynastie Ziride : (972 à 1152) 4.5.8 Dynastie Hammadide (1014 à 1152) 4.5.9 Migrations hilaliennes (1052 à 1152) 4.5.10 Dynastie Almoravide (1063 à 1102) 4.5.11 Dynastie Almohade (1152 à 1247) 4.5.12 Dynastie Hafside (1230 à 1574) 4.5.13 Dynastie Zianide (1235 à 1556) 4.5.14 Dynastie

djebel Belezma. Il s’agit de Aïth Chlih dont les habitants vivaient entre Hamla (Condorcet) et Taghit (Victor Duray), Aïth Sidi Yahia dont les habitants vivaient à Parc à Fourrage, une partie de Bouakal et jusqu'à Lambèse, Ouled Aadi (d’origine hilalienne) qui vivaient au sud-ouest de la ville sur l’axe Tamachit, Bouakal Z’mala et aussi une partie de Kechida. Des ouvrages que des citoyens mais surtout des historiens, ont pu trouver grâce à la toile du web, indiquent et d’une manière formelle, que

d'abord l’œuvre des miliciens arabes qui s’installent notamment dans les forteresses byzantines du Constantinois puis à partir des cités telles que Tahert et Tlemcen. L'usage de cette langue devient plus répandu avec l'arrivé des tribus des Arabes hilaliens dans les plaines, les hauts plateaux et le désert. Plus tard, les immigrés andalous et les confréries religieuses contribuent à d'autres avancées de l’arabisation. Le berbère subsiste dans les massifs montagneux notamment en Kabylie, les Aurès, le

maritimes centralisées. En Péninsule ibérique : chute du califat de Cordoue et échec de la taïfa maritime d’al-Mujahid. En Ifriqiya : déplacement du califat fatimide au Caire, perte de la Sicile et conséquences « maritimes » de l’invasion hilalienne. Il en résulte un développement de la piraterie musulmane. 2) Un affrontement en deux étapes : XIe siècle en Méditerranée occidentale et en Atlantique : Conquête de la Sardaigne et raids latins contre les centres de pirates musulmans

parlé juif est celui qui a le mieux conservé les traits les plus archaiques de la langue importés au 1er siècle de la conquète arabe classée par les dialectologues de l'Institut de Hautes Etudes Marocaines de Rabat dans la catégorie de type pré-hilalien (arabe marocain montagnard : banu hilal membres dune tribu arabe qui émigra vers l'Afrique du Nord 6e siecle) Ce conservatisme est imputé, pour une large part à la double claustration dans laquelle vivent les populations juives du Maroc ; dans l'enceinte

françaises , gardant intacte leurs traditions conservatrices , féodales et moyenâgeuses , léguées par les civilisations andalouses , le royaume tlemçenien Abdel Wadid et le brassage communautaire des dynasties fatimides ,nasrides,hafsides et hilaliennes qui se sont succédées dans ces régions algériennes. C’est ce brassage communautaire et civilisationnel qui a débridé en un amalgame archaïque, la conception des rituels du mariage et imposé un clivage et un cloisonnement de classes en imposant

semaines de règne.  | Le Colisée, la plus vaste ruine du Maghreb, n'a jamais servi à rien, même pas aux jeux pour lesquels il était fait (148 m de long, 122 de large, 36 m de haut) : les Vandales sont arrivés trop vite, puis les Arabes, puis les Hilaliens. L'amphithéâtre ne fut jamais terminé. Transformé par les Byzantins en forteresse, il servit trop longtemps et trop souvent de carrière aux populations locales; fort heureusement une excellente restaura tion nous permet désormais aujourd'hui de l'admirer

vivacité. Les guslars croatiens continuent de chanter les exploits de leur peuple et de créer des récits liés à l'histoire récente. L'Égyptien Sayyed al Dowwi est à notre connaissance le dernier à connaître et à réciter dans sa quasi-totalité la Geste Hilalienne, récit épique de plus d'un million de vers dont la récitation intégrale dure plusieurs jours et dont le texte n'a pas encore été totalement collecté. On peut alors dire avec certitude qu’au niveau de sa forme écrite l’épopée peut se distinguer