Hilaliens

malékites; déjà des massacres dc shi’ites avaient eu lieu vers 1015 et iox6. Cette rupture avec Le Caire satisfait à la fois les aspirations ifrîqiyennes et l’ambition de l’émir ziride al-Mo’izz (i). La réponse fatimide a été violente ce fut l’invasion hilâlienne. Des tribus nomades arabes, établies en haute Egypte après l’insurrection qarmate, les Banoû Hilâl et les Banoû Soulaym, y commettaient sans cesse des actes de pillage. Le vizir fatimide al-Yazoûrî se débarrassa des Banoû Hilâl en les expédiant

d’une part, de la création de Fès sous les Idrissides en l’an 808 et, d’autre part, avec l’implantation des premières colonies andalouses dans le pays Jbala. 3. Le renforcement de la présence de l’arabe est marqué par l’introduction des tribus hilaliennes en l’an 1118 par l’Almohade YaCqoub AI-Mansour et l’installation dans le Haouz et dans le Gharb des groupes Kholt, Sefyan et Beni Malek. La venue des tribus Beni MaCqil, dès les Mérinides et surtout sous les Saâdiens, affermit la présence des parlers

Tachfin conquiert Al-Andalus. À leur apogée, les Almoravides contrôlent un territoire long de 3 500 kilomètres mais ne forment pas un royaume unifié2. Arabisation des Berbères (1147-1405)[modifier le code] La lutte des Almoravides contre les Hilaliens (des tribus arabes venues de l'est, envoyées par les Fatimides) puis leur chute en 1147 aux mains des Almohades, contribuent à désorganiser les routes caravanières de l'ouest du désert, au profit de Tombouctou plus à l'est9. Les Sanhadja se retrouvent

Labbès des sources espagnoles) et la Medjana, fief des Mokrani. Ici passe le Triq essoltane (la route ˆ royale du Moyen-Age, la route de la Mehalla)32. Selon Ibn Khaldûn, les Ath Ya’la seraient partis de la Qal’a des Béni Hammâd, fuyant les Hilaliens vers la fin du XIe siècle (Gaïd 1990 ; Féraud 1868). Mais la région semble avoir connu une occupation humaine très ancienne et le massif du Guergour n’a pas manqué d’être la destination d’archéologues antiquisants (Leschi 1941). La tribu, comme

| |Parlers arabes |Algérie, Maroc, Tunisie, Libye, Mali |Souvent assimilés aux andalous réfugiés en Afrique du nord avant le décret d'expulsion de 1609 | | | |non-Hilaliens | | | |Mossis | |moré |Bénin, Burkina Faso, Côte

chef spirituel et idéologue, commence à asseoir les bases doctrinales du mouvement Almoravide. 1042-1052 : Les Almoravides réalisent la conquête du Sahara Marocain. 19 Sultan du Maroc – Abdallah Ibn Yassine (1043 – 1055) 1053 : Invasion des Hilaliens au Maghreb 20 Sultan du Maroc – Abou Bakar Ibn Omar (1055 – 1061) 1054 : Prise d’Aoudaghost, la porte du Soudan, «pays des Noirs» (Actuel Mauritanie) 1055 : Les Almoravides menés par Abdallah Ibn Yassin, berbère de la Tribu Lamtouna, s'emparent

fractions zénètes. Les Banou Ifrens attaquent les Berghouata et prennent plusieurs fois Fès, place forte maghraoua. Ces derniers rétabliront finalement l'équilibre du Maghreb el Aksa27. Le règne des 3 tribus zénètes s'achèvera par l'arrivée des Hilaliens et des Almoravides vers le XIe siècle en 1059. Les Zénètes seront évincés par les Almoravides du Maghreb el Aksa28. De tout temps, les Zénètes étaient seuls maîtres des routes et du commerce dans la région. Cette période est caractérisée par une

les fractionszénètes. Les Banou Ifrens attaquent les Berghouata et prennent plusieurs fois Fès, place forte maghraoua. Ces derniers rétabliront finalement l'équilibre du Maghreb el Aksa34. Le règne des 3 tribus zénètes s'achèvera par l'arrivée des Hilaliens et des Almoravides vers le XIe siècle en 1059. Les Zénètes seront évincés par les Almoravides du Maghreb el Aksa35. De tout temps, lesZénètes étaient seuls maîtres des routes et du commerce dans la région. Cette période est caractérisée par une certaine

fractions zénètes. Les Banou Ifrens attaquent les Berghouata et prennent plusieurs fois Fès, place forte maghraoua. Ces derniers rétabliront finalement l'équilibre du Maghreb el Aksa[23]. Le règne des 3 tribus zénètes s'achèvera par l'arrivée des Hilaliens et des Almoravides vers le XIe siècle en 1059. Les Zénètes seront évincés par les Almoravides du Maghreb el Aksa [24]. De tout temps, les Zénètes étaient seuls maitres des routes et du commerce dans la région. Cette période est caractérisée par une

monde méditerranéen qui supplantait Byzance en Orient [...]. D’ailleurs, du XII° au XVI° siècle, un mode de vie commun, des alliances [...], des impératifs [...] ont opéré un tel brassage parmi les fevrier 1953 . 26 populations zénètes et hilaliennes, une fusion tellement intime qu’on serait bien fou de vouloir déterminer les éléments ethniques. Il est difficile, en dehors de la langue, de faire la part de ce qui est arabe et de ce qui est berbère... En réalité, la lecture du roman s’amorçait