Himalayen

qui est consommée pour la production et le transport d’une marchandise. Pour un concombre belge importé en Suisse, elle équivaut à 1,1 litre de pétrole. «Plus du tiers de la population terrestre tire son eau potable des glaciers du massif himalayen.» Vrai. 40% des habitants de notre planète dépendent des glaciers de l’Himalaya pour leur approvisionnement en eau potable. La fonte des glaciers due au réchauffement climatique représente à cet égard une grave menace pour des centaines de millions

de nos fromages ou 70% de certains de nos médicaments des plus importants. Des équilibres globaux et différents phénomènes comme la pollinisation, la qualité des eaux, la fertilité des sols, la protection contre les maladies. Dans une région himalayenne on a dû réintroduire des insectes pollinisateurs pour maintenir la production de fruits. En France 75% des rivières sont polluées par les pesticides. P3 La Biodiversité Terrestre Les principaux écosystèmes terrestresA Madagascar

Les Bengalis Parmi eux, des hindous et des musulmans. On estime qu’ils sont environ 180 millions d’individus et, se situent principalement dans les régions de l’est de la péninsule indienne. * Les Cachemiriens Originaires des régions himalayennes (territoires contestés et divisés entre l’Inde et le Pakistan), on considère que la population s’élève à environ 7,3 millions de personnes. (Cachemire Inde/Pakistan) * Les Cingalais Ethnie à l’origine du Bouddhisme, ils sont avant tout

le Brésil et le Mexique. Enfin, dernier groupe de pays, celui qui demeure totalement en marge de la mondialisation et que l’on peut qualifier de « marges évitées ». Ce sont des pays isolés et sans grandes ressources naturelles, comme les états himalayens ou certains pays d’Afrique australe par exemple, ou rejetés pour des raisons politiques par les démocraties libérales, comme la Corée du Nord, Cuba, le Myanmar et la Serbie ; ou bien encore qui sont en proie à l’instabilité politique et aux guerres

l’Inde sont transnationaux, ce qui contraint à une gestion parfois problématique avec les voisins comme le Pakistan, la Chine, le Bhoutan ou encore le Népal. Les relations les plus complexes sont celles entretenues avec la Chine au sujet des fleuves himalayens. Les deux pays ont des besoins énormes et décident donc de se lancer dans un politique de grands barrages. Par exemple, le Brahmapoutre est un fleuve qui prend sa source au Tibet et parcourt le sud-est de la Chine avant de traverser l’Inde et le

processus a des raisons complexes, en particulier en Asie : d’une part, le réchauffement global déstabilise les glaciers, et, d’autre part, les particules de suie émises par l’industrie indienne et chinoise se déposent à la surface des glaciers himalayens. Leur capacité à refléter la lumière solaire diminue et ils absorbent alors de plus grandes quantités de chaleur, ce qui accroît la fonte. Les fleuves alimentés par des glaciers, comme, en Asie, le Gange, l’Indus, le Mékong, le Yang Zi, le fleuve

La tectonique des plaques : histoire de l’émergence d’un nouveau paradigme en sciences. (Histoire des sciences)  L’aléa volcanique : méthodes de prédiction des éruptions volcanique. (Volcanologie)  L’orogénèse alpine, le cas de la chaîne himalayenne. (Géodynamique) M. FRUCIANO :  Peut-on dire d’une culture qu’elle est supérieure à une autre ?  Faut-il travailler pour être heureux (à Bruxelles) ?  Existe-t-il une frontière qui sépare la science de la non-science ? Mme GEBHART :

300 hab au km2, dans les grandes villes mais également dans les régions rurales. Sur tout l’espace indien on tombe rarement en dessous des 50 hab au km2.Les zones indiennes où on trouve ces faibles densités sont situé au nord avec les districts himalayens et le désert du Thar au nord-ouest, avec la frontière pakistanaise : désert chaud qui peut être rattaché à la grande écharpe aride eurasienne. On peut aussi noter que certaines zones de l’intérieur de l’inde sont aussi peu peuplée, ce sont des zones

d’accords entre les pays voisins. • C’est d’autre part l’archétype de l’interaction géopolitique plurielle et multiple qui existe entre des notions aussi variées que celles de « frontière », « montagne », « héritages coloniaux ». Sur ces hautes terres himalayennes, ce sont trois puissances nucléaires, Chine, Inde et Pakistan qui opposent leurs représentations géopolitiques respectives de la région. Les frontières sont ici acceptées de facto mais elles s’inscrivent dans un long héritage géo-historique, colonial

Trois grands fleuves, qui prennent leur source au Tibet ou dans ses confins, traversent cette région : l’Indus (2 897 km), le Gange (2 510 km) et, à l’extrême est, le Brahmapoutre (2 897 km). Ils sont alimentés par la mousson et la fonte des neiges himalayennes. À l’est de la péninsule, deux fleuves conduisent à des deltas qui progressent sur la mer : le Gange et le Brahmapoutre, dont les bassins hydrographiques cumulés totalisent 3 millions de km², et qui arrosent le Bengale-Occidental, la plaine de