Hincmar De Reims

sans doute pas indispensable, manifeste visiblement le choix de Dieu et lui donne toute sa mystérieuse portée : "L'onction très sainte se répand sur la tête du roi, descend ds son intérieur et pénètre le fond de son coeur." (Hincmar de Reims) Le roi possède ainsi une vertu surnaturelle, qui le rend notamment garant de la fécondité des animaux, de la terre et des hommes : pcipe nourricier. Détermine en outre une éthique de la fonction royale signifiée par le sacre : le roi est

belges : les Nerviens (en Hainaut et Brabant), les Ménapiens (provinces de Flandre et d’Anvers), les Morins, le long de la côte. Les territoires belges s’étendaient au sud jusqu’à la Seine et la Marne y étaient fixés les Atrébates (Artois), les Rêmes (Reims, Champagne), les Viromanduins (Vermandois, au sud du Hainaut), les Ambiens (Amiénois), etc. Ces Belges étaient des Celtes comme les Gaulois : la linguistique l’a établi de manière décisive, même si César affirme que la plupart d’entre eux étaient d’origine

succincte description dans la partie introductive, cette section retracera brièvement cette évolution du point de vue du Droit, c’est-à-dire en considérant l’ensemble des pratiques légales et des règles de droit édictées. I.1.1. Des origines à Hincmar de Reims Si  le phénomène associatif est attesté dès les débuts de l’Eglise « l’histoire des associations dans l’Eglise est aussi ancienne que l’Eglise elle-même »15, le droit y relatif ne peut se prévaloir d’une telle congénitalité, d’une telle

intentionnellement mal jugé. L’appel se met progressivement en place à partir du 12ème siècle. C’est le roi qui juge en appel. Le roi se fait, peu à peu, gardien des coutume. L’appel s’inscrit également dans les institutions de paix, ainsi le concile de Reims de 1157, fait du roi le garant de la justice dans le royaume. Les jugements seigneuriaux vont pouvoir être revues par les juges royaux. Il s’agit de donner le dernier mot aux juges royaux. Le processus de subordination par l’appel s’achève au 16ème

combinées parfois à des | |révoltes nationales éclatent, comme en 21, en pays trévire et éduen. La révolte de 68-70, plus générale, n'est plus antiromaine: | |elle est une protestation contre les abus de Néron: l'assemblée des cités gauloises tenue à Reims affirme la fidélité des Gaulois| |à Rome. A cette date, le Gaulois du temps de l'indépendance a fait place au Gallo-Romain. | |3/Les mesures de l'empereur Claude

encore des possessions grecques, pour avoir des textes grecs comme ARISTOTE il faut attendre le 12e siècle avec les musulmans. C) La production. On transmet les anciennes choses mais aussi une production nouvelle. Théologique avec l’évêque HINCMAR qui va écrire des ouvrages, mais il y a aussi beaucoup d’histoire comme la vitae de Charlemagne par EGINHARD qui s’est inspiré de SUETONE mais ce n’est plus à la gloire des Mérovingiens. DHUODA est une femme qui écrit pour son fils un manuel d’éducation

Saintin à Meaux, saint Taurin à Evreux, etc. En dehors de ces trois groupes principaux, nous voyons apparaître, à des époques diverses, mais avant le IIIe siècle, saint Crescent à Vienne, saint Bénigne à Dijon, saint Sabinien à Sens, saint Sixte à Reims, saint Memmie à Châlons, saint Sinice à Soissons, saint Clément à Metz, saint Front à Périgueux, saint Eutrope à Saintes, saint Pothin et saint Irénée à Lyon, etc. On pourrait bien signaler quelques divergences d'opinions sur tel ou tel de ces personnages

Bloch (années 30), fondateur école historique, École des Annales « L'étrange défaite » ouvrage de réflexion « Il est deux catégories de français qui ne comprendront jamais l'histoire de France, ceux qui refusent de vibrer aux souvenirs du sacre de Reims, et ceux qui lisent sans émotion le récit de la fête de la fédération ». Inviter à dépasser ce clivage (séparation) et à considérer l'histoire de France Montrer la façon dont sont nés les grandes notions du droit Approche historique La chronologie

que par Conseil des grands 877 : mort de Charles, lui succède son fils Louis le Bègue→il doit renouveler les grands dans leur fonctions pour qu’ils l’élisent roi Royauté fait une tentative de contrôle II. La promesse du sacre →Hincmar, archevêque de Reims veut limiter la tutelle des grands sur la royauté. Il veut établir gouvernement par un Conseil des évêques L’Eglise ne veut pas supprimer la royauté En 877, Louis le Bègue pendant son sacre promet la protection de l’Eglise et le respect

y trouve 57 formules actes royaux et 52 d’actes privés. 1_8 il explique les critères. 2. Le rôle de l’Eglise - Les relations entre le pouvoir mérovingien et l’Eglise.25 décembre 498. Clovis reçoit le baptême chrétien dans la cathédrale de Reims. Par St Rémi ainsi que 3000 de ces guerriers. Pourquoi ce baptême ? Influence de sa femme. Ou il serait intervenu pour remercier Dieu de sa victoire à Tolbiac. Mais aussi peut être le résultat d’un calcul politique. Dans la pratique, cet événement