Histoire De L Empire Byzantin

oublier qu’il sera qui unifiera la chrétienté sur tout son empire. C’est pour cela que lorsque le les rois Francs deviennent Roi, ils sont sacrés et deviennent les élus de dieux, ce sont des « rex francorum ». Ici l’auteur place Charlemagne au-dessus du Pape et de l’empereur d’orient. En effet, comme dit précédemment le Pape est totalement dépendant de Charlemagne qui l’a sauvé et à qui il doit son trône, et le trône de l’empire byzantin est vacant. Alcuin propose alors à son roi d’obtenir le titre

faisant prêter serment, en leur allouant des terres (seule richesse de l'époque) qu'ils doivent lui restituer à leur mort, en envoyant des missi dominici pour les contrôler et pour surveiller ce qui se trame à travers son empire30. Pour pérenniser son empire naissant, il doit chaque année convoquer son armée (les historiens l'estimant de 10 000 à 40 000 hommes) lors du champ de mai et la lancer vers de nouvelles conquêtes, chaque vassal devant apporter son équipement et ses vivres pour trois mois31.

* 3 civilisations se côtoient autour de la Méditerranée au XII°s : L'Empire byzantin, le monde islamique, l'Occident chrétien. * Chacune a construit son identité autour de la référence à Dieu. * La plus ancienne, Byzance, revendique l'héritage de l'Antiquité gréco-latine. Elle est fondée sur le christianisme orthodoxe et dominée par l'empereur. * Le monde musulman a une unité religieuse - l'islam - et linguistique - l'arabe. Il est divisé en royaumes et califats rivaux qui concourent

français de l' « Histoire mondiale de l'architecture » continue à paraître. C'est à un professeur d'Oxford, Cyril Mango, fouilleur à Istanbul, Chypre et Bargala, qu'on a confié le volume sur l'architecture byzantine. Il n'est en rien inférieur aux précédents, ni pour le texte, ni pour les très nombreuses illustrations : plans, relevés, axonométries et surtout magnifiques reproductions de photographies, ni pour les notes très référenciées. Qu'entend l'auteur par « monde byzantin » : dans l'espace

grecque au VIIe siècle avant Jésus-Christ, sont déterminées par la position de la ville. L’occupation romaine ne modifie pas cette identité, mais y ajoute l’activité propre à la présence de garnisons. En 330, à la suite de la scission entre les empires romains d’Orient et d’Occident, la ville devient capitale sous le nom de Constantinople, en hommage à l’empereur Constantin. Sa position de centre commercial, politique, militaire et religieux se renforce jusqu’à la fin du Moyen Âge. Des groupes ethniques

Histoire: Axe II Idée d'intro Du milieu du xivesiècle jusqu'au xviiesiècle, l'Empire ottoman s'étend sur un vaste territoire, des Balkans au Proche-Orient (jusqu'à LaMecque et Médine) et au sud de la Méditerranée: il fait le lien entre l'Orient et l'Occident, car il comprend une partie importante de l'Europe de l'Est. Il s'est également étendu jusqu'au Maghreb à la fin du xvesiècle. Empire puissant, il stoppe toute possibilité d'expansion de l'Europe occidentale vers l'est. 1° Une transition

représentés par des représentants).-il y a séparation du pouvoir : législatif, exécutif et judiciaire.-il y a 3 empires coloniaux représenté par les grecs, les romains et les Byzantins.-Le droit est sous les romains.-Tous représentants siège au Sénat et à droit de parole.-Leur empereur à tous est Dieu, il leur voue un culte. | -Il y a toujours une cité-état.-Maintenant c’est le Saint empire.-C’est encore une dynastie (donc le trône se passe dans la famille ex : de père en fils).-Fédéralisme -Il y a

semble fondée sur un système de succession de père en fils. La religion était polythéiste et les temples étaient des centres importants de la vie publique. Lorsqu’on passe de l’Arabie du sud et celle du centre et du nord, on est confronté à une histoire différente. Les sources assyriennes, bibliques perses mentionnent les peuples nomades de cette partie de la péninsule. Les premières informations datent de la période classique, lorsque la pénétration des influences grecques venues de Syrie firent

843. Le morcellement féodal des siècles suivants, puis la division de l'Europe en États-Nations rivaux condamnent à l'impuissance ceux qui tentent explicitement de restaurer l'empire universel de Charlemagne, en particulier les souverains du Saint-Empire romain germanique, d'Otton Ier en 962 à Charles Quint au XVIe siècle, ou encore Napoléon Ier, hanté par l'exemple du plus éminent des Carolingiens[3]. Pourtant, Charlemagne peut être considéré comme le « Père de l'Europe »[4],[5],[6], pour avoir

discours du pape, les versions varient donc entre elles et elles ne sont fort probablement pas tout à fait pareilles au vrai discours d’Urbain II. Le texte est un extrait du livre écrit par Robert le Moine intitulé Histoire de la première croisade. L’extrait provient en fait du premier livre, puisque l’ouvrage du Moine est séparé en neuf livres qui sont tous entièrement dédiés aux évènements de la première croisade. Robert aurait écrit ces neufs œuvres