Histoire de vie

fillette, de dix ans qui rentre en courant dans la salle d’audience d’un tribunal yéménite et regarde le juge bien dans les yeux puis prononce cette phrase insolite : « Je veux divorcer » ! La scène est invraisemblable mais elle est tirée d’une histoire vraie racontée par la fillette elle-même dans un roman autobiographique qui porte le même titre : Moi Noujoom, 10 ans divorcée. Nojood, dix ans, s'est échappée d’un homme de vingt ans son aîné auquel elle était mariée. Or, au Yémen, il n'y a pas

Roselyne OROFIAMMA Le travail de la narration dans le récit de vie "Les vérités inhérentes à tout récit personnel naissent d'un véritable ancrage dans le monde, dans ce qui fait la vie - les passions, les désirs, les idées, les systèmes conceptuels. Les récits personnels des individus sont autant d'efforts pour saisir la confusion et la complexité de la condition humaine. ” Ruthellen Josselson 1 Dans le cadre des sciences humaines, la narration autobiographique est autant affaire de psychologues

Bibliographie Annie Saumont Propos de textes à choisir Marcher dans les déserts. Calman-Lévy.1963 Jouer de l’harmonica. Mercure de France. 1968(2715207484) La vie à l’endroit. Mercure de France.1969(2715207474) Dis, blanche Colombe. Belfond 1974 Enseigne pour une école de monstres. Gallimard.1977 (2070296857) Dieu regarde et se tait. Gallimard 1979 u.a « Un Pique-nique en Lorraine » - voir Jgst11.02DOC nouvelle portant sur le thème des relations franco-allemandes à l’intérieur

Pourquoi les auteurs écrivent-ils des histoires ? Le monde dans lequel nous vivons aujourd'hui , est tel qu'il était à l’apparition de la vie humaine sur terre. Les écrits ont toujours existé , qu'ils soient sous formes de dessins , de hiéroglyphes , ou encore sous forme d'écriture actuelle. Cela n'est pas anodin s'il existe toutes sortes d'écritures différentes. Chacune à son rôle à jouer , son objectif à accomplir , et son influence à apporter. De tel que , la plupart des auteurs , sont

Pourquoi nous racontons-nous des histoires ? Introduction Pourquoi nous racontons-nous des histoires ? Qui ne s’est jamais posé cette question ? Depuis notre plus tendre enfance, on ne cesse de nous conter des histoires ou de nous en faire écrire pour que nous puissions nous même les conter, mais dans quel but ? Certains prétendent que ce n’est que pour faire travailler l’imagination, car on se mettrait à rêver des paysages et des actions que l’on nous conte, d’autres préfèrent à penser

  me   direz   mais   je   suis   plus   à   scruter   des   hommes   politiques   et   a   analysé   leurs   propos  qu’à  avaler  des  paroles  voire  croire  à  leurs  histoires.     La   politique   est   un   peu   déroutante   et   c’est   pourquoi   j’ai   voulu   m’axer   sur   cet   aspect  de  la  politique  pour  me  créer  ma  propre  opinion

______________________________________________ ______________________________________________ « Un roman se limite-t-il à l’invention d’une histoire ? » Ecrit en prose dès la fin du XIIe siècle, le roman est destiné à la lecture individuelle à la différence de certains autres genres tels que le conte. Le roman est un genre littéraire caractérisé pour l’essentiel par la mise en place de personnages présentés comme réels, de situations et d’intrigue. Sa

pourquoi il est légitime d’écrire une histoire des femmes et de comprendre comment cette histoire s’est elle construite, ceci en étudiant tout d’abord la conception de l’histoire de femme et de la féminité avant l’arrivée du mouvement féministe, ensuite la façon dont cette histoire est liée à ce mouvement et enfin l’évolution de ce nouveau courant historiographique I. Les femmes et la représentation de « l’éternel féminin » 1. Les femmes sans histoire Depuis la création d’une certaine « discipline

Suite à la lecture de votre dernière lettre, monsieur, j’ai pu constater que la mélancolie ne vous a point encore quittée. Même si d’ordinaire préférant les histoires gaies, je dois reconnaître avoir fort bien apprécié « La légende de l’homme à la cervelle d’or ». Je lui trouve un sens si véritable. Tout au long de cette histoire je me suis sentie éprouver, certes des émotions loin d’être joyeuses, mais votre conte a su susciter en moi un grand intérêt. Quand au début de votre conte vous

Notre vie, c’est toujours nous qui la vivons, qui y agissons, qui la ressentons au plus proche. Il n’y a nul parfum que je n’ai pas senti, souvenir que je n’ai pas vécu ou paysage que je n’ai pas vu. » Notre histoire nous appartient donc, et à personne d’autre, au sens où elle nous est propre (elle nous appartient) et que nous sommes les seuls à pouvoir la vivre et la raconter fidèlement. (§1 : Présentation de la thèse) « Étrange est donc l’idée qu’on soit pourtant toujours mené dans la vie par nos