Hobbes Léviathan Chapitre 13 état De Nature

accord avec les règles supérieures. Les droits de l’homme, tels qui sont conçus en 1789 sont rationalistes. On adoptera une approche positiviste : le droit sont des règles posées par des hommes habilités à poser ces règles par la constitution dans un Etat donné, à un moment donné. Dans une approche positiviste, on va considérer que les droits de l’homme sont du droit positif car ils sont inscrits dans la constitution. Normativisme : le fait que l’on considère que les textes contiennent des normes. Dans

l’examen des régimes libéraux et ces régimes libéraux sont étudiés par les constitutionnalistes en fonction d’un sys constitutionnel idéal défini préalablement. Cela renvoie au serment du jeu de paume 20.06.1789 au cours duquel les députés du tiers (état) constitués en assemblée nationale jurent de ne pas se séparer avant d’avoir donné à la France une constitution et ds leur esprit la C devait être a la fois le symbole et la condition de la liberté politique. Cette conception classique de l’enseignement

appartenant au droit public. Le droit privé règle les rapports entre particuliers. Le droit public règle les rapports entre l’administration et les particuliers. Il y a quatre branches dans le droit public : - Le droit international (rapport Etat à Etat) - Le droit administratif (rapport administration et Français) - Les finances publiques - Le droit constitutionnel Le droit constitutionnel est autonome car il ne concerne pas les rapports entre l’administration et les particuliers

s’intéressent à la sauvegarde des intérêts individuels et particuliers (des intérêts économiques, des intérêts personnels). Distinction : droit interne/international Droit interne : ce sont les règles juridiques qui s’appliquent à l’intérieur d’un état donné, le droit interne englobe le droit privé et le droit public. Le droit international au contraire régit les relations entre les états souverains, il a pour objet non seulement les rapports entre états mais aussi le fonctionnement des institutions

qui dépasse les intérêts d’un seul état territorialement concerné. La gestion commune des r i Dans l’actualité, une telle tentative constitue la réunion fin 2008 d’une conférence au niveau du G7. Cette réunion devait envisager un nouveau modèle, un nouveau système financier international.Mais l’observation de la réalité internationale à démontrer que les r i t la société internationale (s i) étaient ingouvernable et chaotique comparé à la gestion d’un état. L’absence de gouvernance tient à

accord avec les règles supérieures. Les droits de l’homme, tels qui sont conçus en 1789 sont rationalistes. On adoptera une approche positiviste : le droit sont des règles posées par des hommes habilités à poser ces règles par la constitution dans un Etat donné, à un moment donné. Dans une approche positiviste, on va considérer que les droits de l’homme sont du droit positif car ils sont inscrits dans la constitution. Normativisme : le fait que l’on considère que les textes contiennent des normes. Dans

représente l’ensemble des règles général et personnel, général et impersonnel dont l’application va permettre à un individu de se prévaloir de prérogatives individuelles particulières (ex : article 1382 du Code civil, règle de droit objectif). Chapitre 1 – Le Droit objectif : la règle de droit. Peut-on intégrer dans le Droit objectif toutes les règles de conduite auxquels l’Homme se conforme ? Est-ce que toutes les règles sociales sont des règles juridiques ? Les règles de bienséance (règles

conventions de mère porteuse, etc. mais également la considération juridique de question jusqu’alors ignorées ou tabous, l’euthanasie, le transsexualisme, etc. Ces réformes sont, sans exhaustivité, les suivantes : – 14 déc. 1964, réforme des tutelles – 13 juill. 1965, réforme du mariage et des régimes matrimoniaux, – 11 juill.1966, réforme de l’adoption – 3 janv. 1968, réforme des incapacités – 4 juin 1970, réforme de l’autorité parentale – 3 janv. 1972, réforme de la filiation – 11 juill. 1975 réforme

Histoire de l’Europe moderne jeudi 16 janvier 2014 Introduction Chapitre 1 : la situation de l’Europe à la fin du Moyen-âge L’Europe apparaît constituée dans les grandes lignes qui seront retrouvées au siècle suivant. L’Europe ne subit plus de grandes migrations, ses populations sont implantées. Il faudra attendre le XXème siècle pour observer de nouveaux mouvements migratoires. En revanche, le mouvement de populations se poursuit aux frontières de l’Europe, dans sa région orientale, et il

conventions de mère porteuse, etc. mais également la considération juridique de question jusqu’alors ignorées ou tabous, l’euthanasie, le transsexualisme, etc. Ces réformes sont, sans exhaustivité, les suivantes : – 14 déc. 1964, réforme des tutelles – 13 juill. 1965, réforme du mariage et des régimes matrimoniaux, – 11 juill.1966, réforme de l’adoption – 3 janv. 1968, réforme des incapacités – 4 juin 1970, réforme de l’autorité parentale – 3 janv. 1972, réforme de la filiation – 11 juill. 1975 réforme