Hobbes Pouvoir Commun

souveraineté Introduction générale * Cornu : « Caractère suprême d’une puissance (summa potestas) qui n’est soumise à aucune autre ». * G. Burdeau : (Traité des sciences politiques, t.2, p.99) qui indique que « cette puissance, c’est le pouvoir de commander de telle sorte que l’on soit obéit ». Historiquement une cité était construite de façon logique d’abord une communauté constitué d’individus qui s’assemblent ensuite ils se rassemblent dans des villages et des villages ensembles vont

était le fruit de la Tradition (de l'expérience des siècles). Les philosophes du 18ème siècle viennent dire que les hommes eux même pouvaient créer un nouvel ordre (faire table rase de toutes les institutions pour reconstruire artificiellement un pouvoir et une société). Ces nouveaux codes sont composés au souverain qui très généralement les rejette (dans leur intégralité, mais il n'empêche que les souverains reprennent certaines dispositions de ces codes partiellement. En France en 1789, on décide

temps très anciens, a beaucoup changé (éducation et habitudes) mais les qualités que il a reçues n’ont pu être détruites. Il y a un âge auquel l’homme individuel eût voulu que son espèce se fût arrêtée, car mécontent de son état actuel, voudrait pouvoir rétrograder. Rousseau parle comme si allait en se dégradant constamment et inéluctablement « effroi de ceux qui auront le malheur de vivre après toi ». [Attention : est-il réellement nostalgique de cet état de nature et pense-t-il vraiment qu’il

menace l’équilibre de la société, il faut établir des lois, des règles communes loi= une règle organisant la vie ensemble, et sanction prévue en cas de désobéissance → loi pas au sens moral mais loi pas que nécessaire parce que le mal existe, mais aussi parce que la vengeance est la réaction naturelle de l’homme au mal qui lui est fait dans l’état de nature: les hommes s’affrontent sans relâche pour imposer «leur loi» (Hobbes, l’homme est un loup pour l’homme, homo homini lupus) respect des lois=

leur chemin les européens et aussi les habitants du moyen orient. En même temps que cette migration les indo-européens on apportés leur mythes qui se sont incorporés au mythes qui existaient déjà sur place. Ils sont alors comme un dénominateur commun ce qui explique les liens entre des peuples qui ne se sont jamais rencontré. → Cela explique que les mythe s'imbriquent, et explique aussi pourquoi la plupart les dieux se retrouvent d'une mythologie a une autre. D'un mythe a l'autre des aventures

l’observance de la loi et son acte délibéré, nous conduit à nous demander si précisément la liberté obéit à des limites. À ce titre, il convient en premier lieu d’analyser les termes du sujet. La « liberté » renvoie à trois définitions bien précises : le pouvoir d’agir selon son propre vouloir, sans contrainte; le droit de faire tout ce qui n’est pas défendu par la loi, et l’état d’une personne qui agit conformément à sa propre raison. A partir de cette terminologie, un double rapport s’établit avec le verbe

L’ETAT LE POUVOIR, LE DROIT, LA SOCIETE. Si on s'en remet au dictionnaire, on peut constater que l'Etat y est défini de deux manières fort différentes. 1) Un Etat (au singulier ou au pluriel) est un ensemble d'individus qui vivent sur un territoire déterminé sous l'autorité d'un pouvoir politique et qui peut être tenu pour une personne morale quant à ses rapports avec les autres Etats. Cette définition de l'Etat en fait un synonyme de "pays" ; elle donne son sens à l'expression : "L'Etat

INTRODUCTION Au sens le plus large, l'État est la manière d'être des personnes vivant en société. Cette définition, présentant l'avantage de pouvoir désigner une grande variété de formations sociales, ne permet pas de comprendre ce qui, précisément, distingue l'État de la société elle-même. Cette dernière se maintient et évolue en suivant des règles qui s'imposent aux individus. D'où émanent ces règles et qui en assure le respect ? Dans les sociétés primitives, la communauté ou société peut être

suffrage universel instauré dans l’article 3 de la Constitution de 1958, est reconnu depuis 1962 et garantit ainsi le droit de vote à tout citoyen de la République française. Ce suffrage universel adopté par référendum traduit la volonté de donner le pouvoir à tout citoyen, sans aucune distinction hormis une condition d’âge, de participer à la politique. Mais qu’entend-on par « la politique » ? Il s’agit communément de l’art de diriger les affaires publiques, de gouverner un Etat. Le droit de vote

Methode Dossiers Liens Aide Perso Fiches Bac Programmes Bibliographie Contact Accès Elèves Etre juste, n'est-ce qu'obéir aux lois ? Introduction : I- Le risque de référer la justice à la justice naturelle : Kant, et Hobbes (objectivité versus subjectivité). A- Kant. B-Hobbes : le positivisme juridique. II- Ainsi (suite à l'exemple du tribunal de Nuremberg), si la justice légale ne doit pas être fondée sur la justice comme sentiment, n'appelle-t-elle pas un autre fondement que la stricte légalité