Hobbes Pouvoir Commun

aucun plaisir (mais au contraire, beaucoup de déplaisir) à être ensemble  là où n'existe pas de pouvoir capable de les dominer tous par la peur. Car tout homme escompte  que son compagnon l'estime au niveau où il se place lui-même, et, au moindre signe  de mépris ou de sous-estimation, il s'efforce, pour autant qu'il l'ose (ce qui est largement suffisant pour faire que ceux qui n'ont pas de pouvoir commun qui les garde en paix  se détruisent l'un l'autre), d'arracher une plus haute valeur à ceux qui

l'homme en vivant à l'écart des autres va se sentir malheureux car l'homme est un « animal sociable ». A la préhistoire, il était très rare de trouver des hommes qui menaient leurs vies en solitaire, il était commun de voir des groupes organisés. Aujourd'hui, il paraîtrait inconcevable de pouvoir vivre seul à l'écart de tout contact humain. A l'état de nature, la vie de l'homme sans lois est possible. Mais cette absence de lois aura des conséquences dramatiques pour celui-ci. En effet sa vie sera brève

problématique du pouvoir et de l'autorité (Machiavel, Hobbes) pour affermir l'autorité de l’État mais avant il convient d'essayer de définir ce qu'est le politique. 1 –il y a trois questions qui interroge le politique, la question du qui, du comment et du pourquoi QUI ? - qui sera le titulaire du pouvoir suprême, donc de l'Etat ? Cette question est la question préliminaire du souverain d'abord : Le souverain sera t-il incarné physiquement. Ensuite, en fonction du souverain, la forme du pouvoir sera t-elle

l’équité et la morale, voir des règles religieuses, étant entendu les cours de justice étaient chargées de faire respecter l’équité et la morale dans l’exécution des contrats. Si par ex, un bien avait été vendu beaucoup trop cher, les juges avaient le pouvoir de refaire le contrat et de baisser le prix. Autre exemple, la propriété n’était pas conçue comme un droit individuel mais comme une superposition de droit sur un même bien. Il n’y avait jamais, un bien qui appartenait en propre à un seul individu

L'Etat et la société | Problématique: “L'Etat restreint-il les libertés humaines? ” Introduction: Tout Etat est l'expression d'un pouvoir coercitif (: exercant une contrainte). On peut diviser l'Etat en trois ensembles distincts: -une institution juridique: système de lois -un appareil répressif -une administration L'Etat exerce une contrainte sur les individus par l'intermédiaire des lois. Par ailleurs, il est important de souligner le fait que la force de l'Etat surpasse infiniment

des antagonismes et des rivalités, la vie sociale est toujours confrontée a la violence, et donc au conflit. D’où la nécessité de s’allier et de s’unir contre un ennemi commun (c'est-à-dire contre celui qui menace le bien public, soit de l’intérieur soit de l’extérieur de l’Etat). La politique est donc d’abord une affaire de pouvoir, c'est-à-dire de capacité de contraindre : il faut s’allier avec une puissance capable d’assurer une protection. * La violence légitime chez Max Weber : Aujourd’hui

maintenir un ordre, une unité entre les individus puisque chaque homme à sa place. L’homme a dans ces sociétés une place de dominé ou de dominant. Pour illustrer cela prenons l’exemple des vassaux et des seigneurs au Moyen-Age. Les seigneurs exercent un pouvoir de domination sur les personnes sur un territoire déterminé, alors que les vassaux se lient à vie à un seigneur en acceptant sa domination, et en lui accordant son dévouement, le vassal s’engage sur différentes choses telles que l’aide et le conseil

l’Etat, n’est pas un phénomène naturel mais une création artificielle et donc volontaire. * La liberté constitue l’essence même de l’Etat : l’obéissance des hommes à un pouvoir ne peut résulter que de leurs propres engagements. L'idéal est donc de "trouver une forme d'association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun s'unissant à tous n'obéisse pourtant qu'à lui-même et reste aussi libre qu'auparavant." Rousseau établit

s’impose entre deux concepts de liberté qui, pour être concurrents, n’en restent pas moins sans commune mesure l’un avec l’autre : l’un qu’il appelle liberté « positive » et l’autre, liberté « négative ». Lorsqu’il parle de la liberté négative, son analyse est très proche de celle que – selon MacCallum et ses nombreux partisans – toute proposition concernant la liberté se doit d’adopter si elle veut pouvoir prétendre à l’intelligibilité. Si, donc, nous nous intéressons à la critique que Berlin donne

générale : Première partie : Théorie générale du pouvoir Le terme « pouvoir » vient du latin potestas qui signifie la capacité à agir. C’est donc l’aptitude d’une personne ; d’un groupe de personne ; d’une institution à exercer une compétence. Cette notion de pouvoir renvoit à la notion de puissance c’est-à-dire que ce que l’on appelle pouvoir politique renvoit à une dialectique, celle du commandement et de l’obéissance : en effet le pouvoir quel qu’il soit fait toujours allusion à cette capacité