Hocine Aït Ahmed

Le 1er novembre 1954, une série d’attentats organisés par le FLN ouvre la guerre d’indépendance. Le FLN a été créé le 10 octobre 1954. Ses fondateurs sont Belkacem Krim (1922-1970) Mohamed Boudiaf (1919-1992) Ahmed Ben Bella né en1916 et Hocine Aït Ahmed né en 1926. Le FLN n’est pas au début le seul mouvement indépendantiste (il y a aussi le mouvement de Messali Hadj) mais, peu à peu, il finit par s’imposer. La IVème République sort du conflit indochinois et les gouvernements

← Quorum : 71 Etait présents Mr HASSANI Kamel (COMPETITION), représentant la presse. Le Quorum étant largement atteint l’Assemblée peut se tenir et délibérer valablement. Les travaux supervisés par Maître SAKHRI Ahmed Huissier de Justice se sont déroulés dans d’excellentes conditions. Le Secrétaire Général propose ensuite la composante du Bureau de Session qui est constitué de : Messieurs : • HAMMOUM Khellil Président du Bureau de

de l’UDMA et adhésion au FLN A la suite d’une réunion avec Abane Ramdane, Ferhat Abbas décide de dissoudre l’UDMA, de rejoindre le FLN et de renforcer la Délégation extérieure. Le 22 avril 1956, Ferhat Abbas se rend au Caire en compagnie de Ahmed Francis et proclame publiquement son adhésion au FLN. Au CEE et à la tête du GPRA Membre de la Délégation extérieure, Ferhat ABBAS voyage à travers le monde pour faire connaître le combat du peuple algérien et défendre les thèses du FLN. Lors

critiques ont pris le parti de ne s’intéresser qu’aux romans et témoignages émanant d’auteurs beurs (avec quelques nuances chez des critiques comme Michel Laronde, Susan Ireland ou Margaret Majumdar, pour ne citer qu’eux), du premier L’amour quand même de Hocine Touabti (1981) au dernier en date, Le marteau pique-cœur d’Azouz Begag (2005). Quel que soit le statut de cette littérature, toujours est-il que, pour être considéré comme texte beur, et au risque de tomber dans des raisonnements circulaires, la condition

éliminés par l’« armée des frontières », qui fait son entrée sur le territoire algérien. À l’intérieur du FLN, le rapport de force s’enclenche en juin 1962, lors du congrès du Conseil national de la révolution algérienne (CNRA) réuni à Tripoli. Ahmed Ben Bella, dont le prestige et l’influence ne cessent de croître, met en question la légitimité du GPRA. C’est lors de ce congrès que le FLN affirme ses principes idéologiques. « La Révolution démocratique populaire doit être menée par la paysannerie

ayant décidé de se soulever contre un pouvoir ayant renié ses promesses, à partir du putsch d'avril 1961. Vers l’independance de l’algérie La Délégation des principaux dirigeants du FLN (Mohamed Khider, Mostefa Lacheraf, Hocine Aït Ahmed, Mohamed Boudiaf et Ahmed Ben Bella) est arrêtée, à la suite du détournement, le 22 octobre 1956 par l'armée française, de leur avion civil marocain, entre Rabat et Tunis, en direction du Caire (Égypte). En 1959, Messali Hadj sort de prison, et est assigné

obtenir, pour arracher son émancipation. Elle est encore appelée décolonisation violente ou décolonisation arrachée. - Cas de l’Algérie Des militants du MTLD (Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques), parmi lesquels Ahmed Ben Bella, Hocine Aït Ahmed, Mohammed Khider, créent, en 1954, un Comité révolutionnaire d’unité et d’action (CRUA), qui devient rapidement le Front de libération nationale (FLN). Ils sont les instigateurs de l’insurrection qui a lieu dans les Aurès le 1er novembre

territoires alors dits « non métropolitains » du champ d’application automatique des dispositions de l’accord 2 Les droits de l’homme en Afrique, Kéba Mbaye, éd. A.Pedone 13, rue Soufflot Paris (commission internationale de juristes). P.42 3 Cité par Hocine Aït- Ahmed dans sa thèse sur les droits de l’homme dans la Charte et la pratique de l’O.U.A ANANGA Marie Juliette Sonia Etudiante en LSJP Page 2 DROIT DE L’HOMME : les Droits de l’Homme en Afrique. On fait comment ? précaire et qui rendent nécessaire

un important congrès dit « de la Soummam » où le FLN définit le but de sa lutte : une république algérienne, unitaire, sociale et démocratique. Le 22 octobre 1956 l’avion transportant les principaux dirigeants du F.L.N. (Ahmed Ben Bella, Mohamed Khider, Hocine Aït Ahmed, Mohamed Boudiaf et l’écrivain Mostefa Lacheraf) est détourné par l’armée française, pour amener ces dirigeants à Paris. L'armée utilise alors la torture sur les dirigeants du FLN, ce qui indigne l'opinion. Cet enlèvement marque

les Européens et juifs d'Algérie, et sa place dans l'Histoire commune de l'Algérie française de 1830 à 1962. L'argument nationaliste algérien est employé, par exemple, par l'ancien dirigeant FLN et instigateur historique de la Toussaint Rouge, Hocine Aït Ahmed, auquel le journaliste français Raymond Tortora oppose la fameuse citation du « nationaliste algérien modéré »[34] Ferhat Abbas : « j'ai beau scruter, interroger les cimetières algériens, nulle part je ne trouve trace de la nation algérienne[35]